Wolf Angel
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 Quand on cherche, on trouve parfois. [PV Segfried]

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QuatreSouffles


QuatreSouffles

Masculin
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Date d'inscription : 07/08/2009


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Alignement dans la guerre: Angel
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Quand on cherche, on trouve parfois. [PV Segfried] Empty
MessageSujet: Quand on cherche, on trouve parfois. [PV Segfried]   Quand on cherche, on trouve parfois. [PV Segfried] I_icon_minitime30.06.10 1:20

Deux loups guerriers en valent mieux qu'un excellent.
Le meilleur loup est équilibré pour l'entrainement
comme pour l'amitié, pour avoir la force et le nombre.
Conseils Pour Les Jeunes Loups de Chardon Nodrahc


Quand On Cherche, On Trouve... Parfois.
Morrigan (Angel)
PV Segfried


Ah... la vie. C'est si... vivant. Tant mieux. Sinon, ça pourrait être dramatique. Une vie morte, ça ne sert pas à grande chose. Tant que la vie reste vivante et la mort reste morte, on est heureux. Des morts vivants, c'est peu agréable à voir ou seulement à imaginer. Mais, je divague. De quoi je parlais... La vie... Oui... euh... Bug. Redémarrez le système... Ah, oui. je me rappelle.

Pour la beauté littéraire inexistante dans ce message, je vais dire «par cette belle journée ensoleillée», mais sachez que ce n'est qu'un grave mensonge. Et parce que c'est un mensonge, je ne le dirai plus, car le jour où Morrigan se promenait était une journée d'orage, où il pleuvait des scie électriques. (zut, je vous ai dit la fin de l'histoire) Le tonnerre grondait et les éclairs tombaient. Morrigan, prononcé Mo-Ri-Gan, donc la Angel, pour ceux qui ne lise pas tous mes messages avec admirations et avec l'envie d'en lire plus, donc, pour le reste de l'humanité. Mais commençons ce récit. je ne suis pas ici pour rien! Bon, oui, mais arrêtez de gâcher mon topic, public imaginaire!

Alors, c'était par une journée de grand orage que Morrigan descendit vers la plage. Elle avait prévu le faire la veille, mais ne s'était pas attendu à voir le ciel si sombre et la pluie tomber. Même que pendant quelques minutes, il y avait eu de la grêle. Pourtant, la veille, le soir, le ciel était rouge, et ce matin elle n'avait même pas vu le ciel. Tant pis, il fallait qu'elle fasse ce qu'elle devait faire, trouver ce qu'elle devait trouver. C'était important.

La louve blanche était complètement trempée quand elle arriva. Sa fourrure blanche tombait vers le bas sous effet du poids de l'eau et de la gravité. Mais elle n,avait jamais pensé à la gravité, puisqu'un loup s'intéresse rarement des lois de la physique. Dommage. Bref, elle était trempée. le sable collait à ses pattes. Elle était assez drôle ;a voir, mais elle s'en fichait. Et oui, une fille qui ne pense pas à son apparence, bien qu'elle parle tout le temps et pas toujours intelligemment. (AHHH! ON VA ME TUER xD) Elle avait aussi du courage et un gout du risque... Mais ne soyons pas sexiste,

Elle venait chercher quelque chose d'important. Quelqu'un à qui parler. Et oui, elle s'ennuyait bien. Elle ne trouvait aucun de ses amis, et elle s'ennuyait sérieusement. Pourquoi ne pas chercher quelqu'un pour parler, quelqu'un qui se promène sous la pluie, c'est soi un déprimé, un romantique, un neutre ou bien un grand débile. Les quatre étaient agréables. Il lui fallait parler, même si la personne devait être méchante. Niah. Elle l'étoufferait de paroles et de gentillesse. Muhaha.

Elle regardait la mer. WOAH! Si sur terre on dit orage, sur la mer, c'ets vraiment une tempête. Les vagues étaient hautes et forte. La mer ne reflétait que des nuages noirs jusqu'à l'infini. Partout, des éclairs illuminaient le ciel. Elle ne connaissait pas plus les règles de l'électricité, et ne pensa pas que sur une surface sans arbres, elle était en danger, ni qu'il ne faut pas aller dans l,eau quand il y a des éclairs.

Elle s'approchait donc de l'eau, quand une éclair tomba à 100 mètre d'elle, dans la mer. Spectacle ahurissant. L'énergie sépara les hauts en deux, une partie se tassant, l'autre s'évaporant. Puis, elle se refermèrent. Morrigan changea d'idée. De toute manière, elle était bien assez mouillée... Et l'autre fois elle avait réussi à traverser la terre des foudres de Paradise, pas besoin de risquer encore de se faire électrocuter. Mais elle resta fascinée devant cette puissance de la nature. Derrière elle, le vent faisait pencher les arbres. Le sable volaient. Elle en avait plein la fourrure. La pluie mouillait la louve, mais elle était séchée par le vent. Ses poils mouillée volaient au vent.

Elle se sentit vraiment petite, tout d'un coup. La scène était digne du meilleur fond d'écran de l'histoire des écrans d'ordinateurs. (Je vous conseille vivement la lecture du deuxième tome de cette histoire...). Une louve était sur le sable, entre une forêt sombre à l'arrière et une mer en colère à l'avant. le ciel était noir, et la mer aussi, à cause du reflet. Le seul point lumineux étaient les éclairs dans les nuages. Le vent soufflait dans le visage de la louve, ainsi que la pluie. Elle se tenait droite, la fourrure au vent, du sable dans celle-ci. Tout était si grand, si sombre, si menaçant, si puissant. si fabuleux!

Elle ne bougea que lorsqu'une éclair tomba à cent mètre d,elle, faisant voler du sable, maintenant roussis, puis elle rebondit, d'une certaine façon, comme les éclairs le font souvent, vers elle. Au moins, elle était à distance, mais le sable chaud tomba un peu sur elle.


*Le pire, là dedans, c'est que mourir dans cette grande crise de la nature me semblerait un honneur, comme mourir à la pire des guerres!*

Elle regardait ce spectacle. Elle avait oublier sa recherche. Ça pouvait la désennuyer, un tel spectacle. Mais, plus loin, elle cru voir une ombre. La pluie, qui avait un peu baissée, recommença encore plus fort. On ne voyait rien avec cette ombre et cette pluie, qu'une silhouette. La pluie cachait tout, sauf des jets de lumière par-ci et beaucoup de bruit.

«Il y a quelqu'un?»


Cria-t-elle, à plusieurs reprises. Puis, elle commença à marcher assez rapidement vers cette ombre...
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Quand on cherche, on trouve parfois. [PV Segfried]

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