Encore toi... [PV Ifreann]

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Encore toi...

[.Ifreann.]

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Le son de l'eau perçait au milieu du bruissement de la foret, il renifla et l'air humide le fit saliver tellement la soif le tenait. Il hésita une longue minute puis s'élança, trébuchant et tombant vers l'eau. Une fois sortie de la foret et arrivé au contacte de l'eau il la lapa avec précipitation. Relevant le nez coulant d'eau il perçu enfin un présence qu'il reconnu alors. Heureux il se glissa hors de l'eau et se dirigea vers la louve.

"Bonjour serwan! cela faisait longtemps que je ne vous avais pas vu ... enfin je crois ... comment allez vous depuis le temps? "

(désolé pas d'inspi)

Invité

- Ifreann ! C'est bon de vous revoir... Oui, cela fait un peu de temps que nous ne nous sommes pas vus, comment allez-vous depuis le temps ?

[ Pas grave, je déborde pas non plus ^^"]

Invité

Le son de la voix de la louve était enjoué, trop enjoué pour être naturel. Si un loup normal ne l'avait pas senti, If' et son ouïe plus développée le senti. Il se leva et passa son nez dans la fourrure de la louve, reniflant et soufflant dans son pelage. Il chercha du nez l'oreille de la louve et une fois trouvé, murmura.

" dans ma meute, chez moi, lorsque l'on respire de pelage d'un loup l'on partage son odeur et ses sentiments .... on dis que lorsque un loup triste et blessé partage son souffle avec un autre il lui transmet une partie de sa tristesse et de sa blessure pour les unir dans ce sentiment et libérer l'autre du poid trop lourd sur ses épaules .... on raconte alors ... que l'on peut se soulager ou soulager son ami sans le forcer a parler et partager ses secrets .... on raconte aussi que partager son odeur c'est mélanger l'autre à sois et faire qu'un .... tu es la première avec qui je ne fais qu'un autre que mon clan .... "

Le grand loup blanc renifla a plein poumon et plusieurs fois le pelage de la louve puis se frotta contre elle tendrement et calmement avant de reculer un peu et d'afficher ce qui semblait être un sourire tendre et doux.

(ta sign' déforme un peu, non? ^^' )

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[Euh, pas chez moi ^^"]

Le loup s'approcha de moi et je fus tétanisée, incapable de bouger ne serait-ce qu'une patte. Non, mon coeur s'emballa quand il vint me parler à l'oreille et je ne pus m'empêcher de lâcher un soupir. J'écoutais avec attention tous les mots qu'il disait, comme à mon habitude. Ifreann me passionant, chaque mot sortant de sa bouche était pour moi une nouvelle connaissance, une nouvelle source de curiosité. C'était la première fois que je m'interressais autant à ce qu'un loup pouvait me dire aussi je buvais ses paroles. Mes yeux or brillèrent à la fin de sa phrase, un sourire gêné et timide apparut sur mes babines et je bessai les yeux, incapable de garder la tête droite devant une telle... Déclaration ? Non, je ne devais pas me faire des idées, mais au plus profond de moi-même, j'esperai en silence que c'était le cas. Je le laissais se frotter contre moi, toujours incapable de bouger, simplement droite et en même temps molle. Un sourire soudain chaleureux se dessina sur mes babines quand le loup recula. Il me sourit comme aucun loup ne m'avait jamais sourit. Je rougis légèrement et pensai avec tristesse que ce loup aveugle méritait mille fois mieux qu'une vie dure de solitaire. Il avait tout pour lui, personne ne voyait qu'il était doux, calme, interressant (voir passionant dans mon cas) ? A moins qu'il soit déjà prit, qu'il soit en couple avec une autre louve qui était tombé sous son charme mysérieu mais serein. Je plongeai mon regard lumineux dans celui du loup, et ésperer qu'il comprenne ce que je voulais lui dire. Me râclant nerveusement la gorge, je bessai les yeux soudainement désarmée. Je n'avais jamais été face à une situation pareille et ma fois, je ne savais que faire. Prenant mon courage à deux pattes, je vins vers lui et frôlai sa truffe de la mienne, doucement.

- Merci, tu ne sais pas ce que ça fait de savoir qu'on peut... Enfin, je veux dire que... Je n'entretiens jamais de longues relations avec les autres, mais ça me fais plaisir de savoir qu'au moins, je peux compter sur v... Toi.

Pour la première fois, je l'avais tutoyais. J'esperai qu'il ne le prenne pas mal, et en songeant qu'il puisse m'en vouloir je me raidis légèrement. Le perdre serait catastrophique pour moi, et peut-être que ce serait trop catastrophique pour que ce soit seulement de l'amitié.

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(a bon?)

" je serais toujours là si tu as besoin de moi .... mon peuple crois au fait que si un loup en appel un autre, même loin, celui ci le ressentira au plus profond de son être si celui ci est pur et qu'il croit en notre dieu la lune .... "

Souriant doucement a la louve il se leva et alla boire l'eau, son pelage blanc et son allure était signe d'une bien meilleur santé que lorsque il était perdu au milieu des glaces. Se redressant il s'ébroua avant de retourner un sourire à la louve. Se laissant tomber sur le sol pour se coucher il soupira doucement et tendrement.

" je dois vous embêter avec mon peuple mais depuis que je l'es quitté il me manque et personne sur ces terres ne fait ou faisait partie de ma meute d'en tant "

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[Oui oui ^^"]

Je le regardais, admirative de ce loup spectrale. Sa voix était une bénédiction pour moi, et le voir en meilleure santé me rassurait un peu. La dernière fois que je l'avais vus, il était fatigué et dans un état pitoyable. Pourtant, aujourd'hui il semblait en bien meilleure forme et cela me plut. Je n'aurais pas besoin de soigner, même si cela me laissa un arrière goût amèr. Aussitôt, je songeais à mes terres et repris mon humeur maussade. Etirant sur mes babines un faible sourire, je vins boire moi aussi, plus doucement, plus lentement. Je regardais mon relfet dans l'eau quand le loup se coucha près de moi. Fixant la louve blanche dans le liquide azure, je contemplai en silence ses yeux or, son expression joyeuse mais on sentait qu'elle n'allait pas bien. Au fur et à mesure, je découvris une louve faible et amoureuse de ses terres, je vis dans son regard flambait une flamme de passion. Une passion pour quoi ? Ou non, plutôt pour qui... Je rougis et détournai mon regard, soufflant dans l'eau pour faire disparaître ce visage intriguant. Posant mon regard sur le loup blanc qui s'était couché, je soupirai et vins m'asseoir près de lui, regardant autour de nous, comme si je guettais la moindre choses anormales. J'étais stupide ! Ce loup avait vécut toute sa vie sans que personne ne l'aide, et voilà que je faisais le guet. Oui, mais je ne pouvais m'en empêcher. J'esperai qu'il ne le prendrait pas mal et pour ne pas qu'il en parle, je pris la parole d'une voix douce, mélodieuse mais presque murmurante.

- Non, tu ne m'ennuies pas. Je ne viens pas d'une famille interressante, tu as de la chance d'avoir eu un clan. Tes histoires sur eux sont passionantes, j'aimerais un jour les rencontrer. Et je pense que c'est normal que tu en parle, ils doivent te manquer.

Cette phrase fut suivit d'un soupir mélancolique et je me laissais glisser sur le sol. Me couchant, je regardais la forêt qui nous entourait, ne sachant que faire exactement.

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" tu ne pourras pas les rencontrer .... ils vivent loin d'ici, tellement loin que les croyances sont différentes et que les étranger ne connaissent pas eux mêmes wolfs angels ..... j'aime parler d'eux car je sais que je ne le reverrais jamais et j'espère sans doute au fond de moi que je ou un autre puisse fonder a son tour un clan de la lune sur ces terres .... "

Souriant dans le vide il ne nota pas le fait qu'elle regardait presque comme un guet autour d'elle. Il n'aimait pas trop dépendre de la louve mais cela lui fit le plus grand bien. Se laissant fondre au sol il se détendu totalement ne guettant que simplement des mouvements brusques venant de la louve. Il se sentait bien près d'elle, il n'avouerais jamais qu'il l'avait pisté pour retrouver sa trace en ces lieux, recherchant sa présence et sa compagnie près de lui. Fermant les yeux comme si cela changeait quelque chose il murmura comme pour seulement eux deux.

" je ne sais plus si je vous l'es déjà demandé et je m'excuse d'avance si c'est déjà le cas mais .... avez vous un compagnon? "

Ne bougeant pas d'un poil comme si le sujet ne l'intéressait pas plus que ça il savait que ses oreilles bien dressées vers la louve trahissait son envie flagrante et timide de le savoir.

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up !!!

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La question d'Ifreann me donna de quoi réfléchir. En réalité, j'aurais adoré avoir un compagnon, mais par n'importe quel compagnon, lui. Posant mon regard sur lui, je le regardais, remplie d'une tristesse sans limite. Etait-ce possible un jour d'être aux côtés d'un tel loup ? Lui qui avait tout pour plaire, la sagesse, la beauté, n'importe quelle louve aurait aimé être sa compagne. Pour l'éternité même, ça ne me dérangerais pas. Le fixant, je sentis des larmes perler au coin de mes yeux, je bouillonnais de lui dire que je l'aimais. Mais toujours cette boule au creu de mon estomac qui m'empêchait de lui dire la vérité, je n'avais aucune idée de comment commencer cette longue discussion. Et puis, il y avait ce lourd nuage qui planait au-dessus de ma tête, me menaçant, me rappelant qu'avant moi, il avait toute une vie. Qu'avais-je avant lui ? Rien, juste du néant, aucunes relations. Puis, au milieu du rien qui hantait mes pensées, il y avait ce loup étrange et attirant. Avais-je un compagnon ? Non, mais je donnerais n'importe quoi pour en avoir un. Soupirant rapidement, je me secouai pour essayer de reprendre mes esprits, ceux je perdais à chaque fois qu'Ifreann s'imposait en maître dans ma tête.

- Euh... Non. Et toi ?

Je brûlai de connaître la réponse ce qui aggrandis mon malaise face à ce loup. Tournant ma tête vers lui, j'étais à la limite de retenir ma respiration en attendant la réponse, celle qui peut-être allez changer ma vie ou, au contraire, la détruire...

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" si vous acceptiez de devenir ma compagne j'en aurais une en effet, mais si vous refusiez je n'en n'aurais pas "

Restant d'un calme sans limite on aurait dit qu'il avait parlé du beau temps, le regard toujours dans le vide il souria doucement à la louve. Gêné et inquiet, oui; il le montrait, pas du tout. Il avait eu une vie avant WA, avant elle, mais remplie de solitude et de souffrance, remplie des visions de mort et de destruction de ce qui était, à l'époque, la chose la plus importante a ses yeux : sa meute.

Aujourd'hui il ne lui restait rien de tout ça, juste ses yeux creuvé, son pelage blanc, ses croyances, ses conaissances et ses souvenirs. La dernière vision qu'il avait eu passa devant ses yeux et lui glaça le sang, des griffes acerée venant se planter dans ses yeux qui s'inondait de sang comme dernière couleur vue.

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Je ne savais s’il y avait un dieu, mais s’il y en avait un, alors il avait entendu mes prières muettes. Regardant le loup avec surprise, ce qui me marqua le plus fut son ton. Il disait cela comme s’il me demandait d’aller chasser, ou un truc dans ce genre. A mes oreilles, cela sonnait presque faux. Mais en y repensant, Ifreann était tout ce qu’il y avait de calme et sage, et c’était sûrement sa façon de dire les choses. Lâchant un petit soupir, je me rendis compte que je ne respirai plus. Prenant une courte inspiration, la boule au creux de mon ventre semblait s’être envolée et maintenant il ne restait plus que le silence et ma réponse, celle que je devais fournir au loup. Bon, évidemment que c’était oui, mais comment le dire. Je commençais a paniquer, ne sachant exactement que faire, comment lui dire alors que lui était tout ce qu’il y avait de plus décontracté. Prenant mon courage à deux pattes, je tournai ma tête vers lui.

- Je… D’abord, commence par ne plus me vouvoyez, ça me donne l’impression d’être une louve du troisième age. Ensuite… Je pense que c’est parfaitement envisageable.

Je me sentis ridicule par ma réponse mais c’était tout ce que j’avais trouvé pour lui dire. Il n’avait pas utilisé de grand mot, je ne le ferais pas non plus. De plus, je m’imaginais mal lui sauter dessus en hurlant « Je t’aime ! ». Pas trop trop mon genre, ni le sien d’ailleurs. Bougeant, je me levai et vins m’asseoir tout près de lui, silencieuse. Mon regard se plongea dans le sien, noir. Je me demandais ce qui lui était arrivé mais je n’en parlerais sûrement jamais. Un long sourire s’étira sur mes babines, malgré le fait qu’il ne puisse le voir.

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La réponse de la louve le surprit, il se sentit presque vexé pendant une seconde puis éclata de rire. Il sentit la louve s'asseoir tout près de lui, il se releva et s'assis tout contre elle. Lechant doucement la joue de la louve avec tendresse il lui souria doucement comme si il avait sut qu'elle aussi souriait.

" chez nous vouvoyer est une marque de respect et le tutoiement est réservé à ses amis proches et sa famille .... et pour moi vouvoyer une personne m'aide a lui dire des choses que je n'auserais pas dire en tutoiement .... au fait, je voudrais te rassurer d'une chose ... j'ai beau être aveugle aucun de nos petits ne devraient l'être à la naissance car c'est une blessure et non une maladie "

Posant de nouveau sa langue sur le doux pelage de la louve il lui lechouilla la joue et le cou avec tendresse et amour.

Invité

Il vint s’asseoir contre moi, je me blottis contre son poitrail, heureuse comme jamais. Je me sentais légère, tout d’un coup n’importe quel malade ne serait rien, je pourrais faire n’importe quoi. Et entre mes cotes, mon cœur battait comme un fou, comme s’il faisait tout pour qu’Ifreann l’entende. Je n’avais pas a y croire, il était désormais mon compagnon. Je ne comprenais pas comment des louves pouvaient tromper leur compagnon, car pour moi, c’était impossible un jour que je lui sois infidèle. Et je savais qu’on devrait sûrement se séparer pour que je retourne sur Sibeska pour mon grade. Puis, quand soudain les mots « nos petits » traversèrent le silence, je me raidis légèrement. Je me mordis les babines et sentis les larmes affluer. Ah… le point délicat. Les louveteaux, ma plus grande peur. Etre une mauvaise mère, être dans l’incapacité de m’en occuper avec mon grade. Et pourtant, au plus profond de moi-même, je désirais follement en avoir. Mais je ne me sentais pas prête mentalement, je ne me sentais pas prête tout court. Sûrement parce que ça signifiait des sacrifices, j’aimais trop mon grade. Des enfants… Un frisson manqua de parcourir mon dos, je déglutis en tentai de récupérer le sourire qui, il y a quelques secondes, rayonnait sur moi visage. J’y arrivais tant bien que mal. Quand il me lécha la joue je sourie et soupirai. Blottissant et frottant mon front dans sa fourrure blanche, je lâchai un soupir. Riant tout bas, je senti les larmes affluer.

- Des… Petits ? Ifreann je… Enfin, regarde je suis… Pfiou.

Abandonnant cette phrase, la tentative d’expliquer ce qui me passait par la tête, je fermai les yeux et écoutais en silence la respiration de mon compagnon.

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" ce sera compliqué .... et puis ton travail doit te prendre du temps, soigner tout une meute doit être du travail .... mais je pourrais m'en occuper moi aussi on viendra te déranger juste pour avoir un bou de viande parce que papa a déjà du mal a chasser pour lui tout seul alors pour des petites boules affamée .... "

Il ria doucement et se frottant contre sa compagne, il se sentait bien .... cette sensation de solitude avait subitement disparu et espérer le future le rendait étrangement heureux. Reprenant doucement son calme et lui lécha doucement le bou du nez.

" on a tout notre temps pour en avoir de toute façon .... "

(pas d'inspi)

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[Ca te dirais des louveteaux ? =)]

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( vuiiiii ♥ )

Invité

[Voilà ce que je te propose : après ton avis sur ce que je vais te proposer, je réponds en disant que Serwan est appelé d'urgence pour soigner un loup et elle fonce, et quitte donc Ifreann. Puis, on recommence un topic quand les chaleurs seront lancées ! Je prendrais surement un petit bout de chou =D T'es daccord ?]

Invité

(ça marche ^^ )

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Encore toi... [PV Ifreann]

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