Qu'en est-il.

Invité

Qu'en est-il.

Pv Mistral

Qu'en est-il des chemins bordés de prairies enchantés, où l'herbe chatouillait les apaules et les fleurs sentaient jusqu'à notre museau ? Où étaient donc passés les arbres verdoyant, écrasés sous la couleur des pousses du printemps ? Parce qu'ici, les saisons n'avaient pas leurs places. Eté, printemps, hiver et automne, c'était la même chose, il n'y avait guère de différence, où alors il fallait être d'une sensibilité rare et très fine. La chaleur, peut-être, en juillet et août était encore plus insurmontable qu'elle ne l'est déjà. Le soleil n'était jamais absent, la lune pas moins mais toujours accompagnée d'un air lourd et chaud, les étoiles restaient fidèles à la nuit, mais elle sétaient voilées par les mirages de notre esprit qui ne peut supporter un tel pays. Et pourtant, dans ce paysage si aride, vide et dangereux qu'il puisse parraître, des loups y vivaient et l'aimaient. C'était les Sakarites, un peu timbrés peut-être qui sait, mais aussi sensible à la beauté d'une nature différente que ces sentiers bordés de jardin. Ils savaient admirer un paysage fait de sable, d'oasis et de danger. Mais ils pouvaient aussi parraître comme les guides du désert, des sables mouvents, des canyons et ravins. Sans qu'on ne puisse y penser, a force de vivre dans ce monde ci, ils décuplaient un excellent instinct de survie.

Helya marchait tranquillement, la tête mi-haute. Elle était bien, là, entourée du'ne chaleur poncutelle qui la mettait dans une sorte d'état de calme et de sereineté. Ce sable qui crissait sous ses pattes, cette terre brûlante et sèche l'apaisait, mais cela ne changeait rien à sa nature : toujours arrogante, insolente et méfiante. Elle avait tendance à se mettre un peu trop vite à l'aise, sa façon d'aborder les gens n'étaient pas toujours des plus polie et elle détestait être contrariée. C'était une louve de fort tempérament, caractère parfois désemparant, mais au moins, une chose qui parfois plaisait bien à des gens, elle était fixée et rien ne pouvait la dévier de ses idées, rien. Elle savait ce qu'elle voulait quitte à se faire des ennemies, elle s'était fait une vision de la vie bien à elle, surtout que son passé n'est pas des plus rose. La louve marchait d'un pas fière mais brusquement elle s'arrêta et poussa un soupir de soulagement encore un peu serré et nerveux. Quelques cailloux dégringolèrent le long du ravin, ces cailloux tombés par la pression de sa patte. Elle était tellement plongée dans ses pensées, qu'un pas de plus l'aurait plongée dans le vide.

Sujet: Re: Qu'en est-il. 23.04.09 17:33

Thinking and discovering ...
Mistral en etait encore a decouvrire ses nouvelles terres. Elle voulait la conaitre aussi bien que ceux qui avaient toujours vecu ici, nait dans le sable et forme par le soufle sec du sirocco. Elle savait bien qu'elle aurait du mal, et elle pouvait toujours observer, marcher toutes ces longes journees a transpirer, cela prendrait encore longtemps avant d'y arriver, a etre aussi a l'aise que des Pions, a conaitre chaque pierre des terres Sariques. Mais, malgre cela et loin d'etre decourage, Miss' avait au moins appris a reconaitre son chemin jusqu'a l'Oasis, qu'elle appreciait et conaissasit bien. Quand aux deserts, elle apprenait a l'apprendre dans ca facon de vivre, ou plutot, de survivre. C'etait comme, presque, un monde different, des terres qui pouvaient nous depayser.
Maintenant, elle arrivait au Ravin. Alerte, et regardant autour d'elle avec interet, elle apercu rapidement le creu qui menait loin, vers le centre de la terre, plonge en une mi-ombre. Mais elle avait remarque aussi une louve, qu'elle pensa Sakarite, car elle se douter de rencontrer beaucoup de loups d'autres meutes ici, dans cette chaleure presque insoutenable, que pourtant, jusque la, elle avait pense presque.. chaleureuse? x) Enfin, bref, elle decida d'aller a la rencontre de la femelle, comme elle l'avait avec chaque loup qu'elle croiser pour apprendre a, comme ces terres, connaitre sa meute.. sa nouvelle meute.
Les loups qu'elle avait rencontre etaient jusque la, elle trouvait, sympathique, ou meme, comme si etres allaient avec leurs terres natales, chaleureux, comme Celtiks qui etait entoure comme d'une chaleure etrangere et douce.. agreable.

" Bonjour! "

Dit elle, en un sourire, arrive a niveau de la louve innconue.

Invité

Je fixais le fond plongé dans l'ombre du ravin qui avait faillit m'arracher à la vie. Mes yeux bruns-roux s'égarèrent le long de la crevasse et rapidement, croisèrent une silhouette fine et élançée qui s'avançait vers moi. Je ne bougeais toujours pas et observa la forme qui semblait, à mon odorat être une louve, Sakarite en plus de ça. Même si j'étais quelqun de franc et de caractériel, il était peut-être temps de se faire des amis, au moins dans ma même, ou de bonnes connaissances si donner sa confiance à quelqun était une décision trop hâtive. Finalement. Après avoir fait un aller-retour de mes yeux de la louve au canyon, je reculai de quelques pas contrôlés et fixa de mes yeux l'inconnue. Je n'essayais pas d'être hypocrite et de me faire plus avenante et sympathique que je ne l'étais déjà. J'étais moi même, et ce moi même pouvait être insolent et provocateur comme attachant et protecteur. Cela dépendant de la façon dont on le voyait, certaine personne sont faites pour s'attirer et s'aimer, comme d'uatre pour se détester. Puis, quand la louve fut très proche de moi, à quelques foulées près, je fus surprise de reconnaître la personne qui venait à moi. Ce n'était autre que Mistral, notre dominante, en l'occurence, aussi ma dominante.

Ma réaction fut contrôlée. J'étais en réalité surprise, mais agréablement surprise, j'étais nimpatiente de faire la connaissance de ma chef, et j'avais peur que si je n'avais pas réussi à me reprendre, j'aurai émit un jappement de joie, puérile en me jetant sur elle l'assaillant de question. Ma queue fouettait l'air, nerveuse et impatiente et mes yeux scintillaient d'enthousiasme et d'admiration. Je ne respectais guère mes supérieurs et j'avais tendance à les traiter comme mes égaux. Mais je n'étais pas non plus agressiv ou délectable, cela dépendait de mon humeur et de mon premier jugement. Car j'avais un terrible défaut, je portais toujours un préjugé ferme et direct sur la première apparence et impression que j'avais sur une personne. La première impression que m'avait donnée Mistral était très bonne; Quand elle fut juste en face de moi, j'éxécutait brèvement un noble signe de tête, le premier et surement le dernier geste d'infériorité pour toute notre rencontre.

- Bonjour, je suis Helya, Chef des Pions, nouvelle dans la meute, et vous êtes ... Mistral, non ?

J'esquissais un léger sourire laissant le bout de mes canines pointues et mortelles dépassées sur ma lèvre. Me vint alors subitement l'idée que je me trompais de personne. Je déglutis, gêné et fit une moue presque amusante même si ça n'en était pas le but. Ma queue s'arrêta et je lançai un regard interrogateur et quelque peu désolé, au cas où j'aurais fait erreur.

- Vous êtes bien Mistral ? Si je me suis trompée, prenez(le pour un compliment, je l'admire beaucoup et elle est très belle !