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Prévention

Les histoires ci-dessous, ou plutôt nouvelles ou poèmes, sont basés sur l'épouvante, la mort, le sang... Bref, les tragédies. Je pense que vous l'avez deviné ^^'. Je souhaite devenir écrivain, et je m'inspire un peu de Stephen King, grand écrivain d'épouvante.
© Toute idée citée sur ces histoires peuvent être donc légèrement inspirées, mais tout cela vient automatiquement. Ces poèmes et histoires sont inventés ce jour-même. ©

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Poème
Lisez bien ce poème ; d'abord du bon sens, puis ensuite en commençant de la dernière phrase jusqu'à la première. Ce poème est travaillé pour avoir deux sens : le yin et le yang.




Donc ceci est mon ambition.
Chaque mot cité est crédible.
Le sang sera versé
Contre nos enfants
Mais nous nous battrons ;

La patrie a besoin de nous
C’est pourquoi
Les meurtres et crimes continueront
Jusqu’à ce que nous réagissions

Nous devons défendre
La vie que
Nous avons abbatu.

Nous couperons nos veines
A l’aide de notre couteau
Si cela peut se faire !!!

La vie continue
Malgré cela
Et les meurtres continuent !


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Cauchemar
Histoire que je dévellope pour un concours. Je la placerais ici quand elle sera imprimée au CDI de mon collège. C'est une petite nouvelle de 26 pages en écriture 12 sur Word. Une tragédie, évidemment, portant sur le cauchemar d'une jeune fille nommée Layn (qui est folle), qui va essayer de découvrir la Vérité sur la mort de son frère...

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L'Arme du Crime
Histoire que j'invente parmi vous, en ce moment-même. Une page Word pour le moment, j'en rajouterais plus après.



Chaque fibre de mon corps tremblait. Ses mains, gelées, me prenaient les miennes. En fait, je ne crois pas que tout ceci est réellement mon histoire. Je ne sais pas ce que je fais ici, dans cet immeuble inconnu. Ses mains noueuses me secouent comme un pantin.
« Vas-y ! Descend ! Va voir ce qu’il y a en bas !
- Hein ?! Répliquais-je, ahuri.
- T’as entendu le bruit, toi aussi, non ?
- Mais…
- Vas-y ! » Insiste-t-il en me jetant dans le sous-sol.

Je ne comprends rien. La douleur est telle que je faillis pousser un cri. Un cri d’alerte. Un cri de douleur. Mon genou est à présent déchiqueté, ensanglanté. Je suis mal tombé. Ses yeux de vipère insistent. Je préfère tout de même me jeter dans ce trou noir plutôt que de rester une minute de plus avec ce type. En fait, ce ‘type’, je ne le connais que depuis aujourd’hui. Mais je ne sais plus comment je l’ai rencontré. Je ne sais même plus mon nom, pour ainsi dire. Je ne sais plus rien depuis que ce bruit déchirant m’a fait tomber.

La lumière ne s’allume pas. Sans crainte, avec une moue de douleur, je m’avance. Qu’est-ce qu’il peut bien avoir là pour qu’il me jettes lâchement dans ce sous-sol ? Soudain, je me fige. Un bruit. Un grincement. Mon sang se glace. Lentement, je me tourne vers la lumière. Il est là, pâle, en haut de l’escalier. Je lui offre un sourire
courageux. On peut toujours faire croire qu’on est le plus fort. J’avais peur. Je pouvais plus bouger ! J’entendis un grattement proche. Les bruits continuaient. Il n’est pas seul. Lentement, les yeux remplis de larmes de terreur, je commence à me précipiter en direction de cet inconnu qui m’a poussé là-dedans. Mais mon genou me déchire. Je m’écroule, et soudain, sens l’odeur amer du sang. Je faillis m’évanouir. J’ai rien sentit.

Mais la douleur de mon genou a disparu. Je tente de me relever, mais ma jambe ne m’obéit pas, je ne sens pas le sol ! Je dois avoir eut quelque chose. Ma main glisse le long de mon corps. Elle longe mes hanches, ma cuisse, mon genou. Le vomi. Je vomis. Mes poumons ont recrachés la douleur. Mes doigts ne sentent rien, que du vide. Lentement, je longe le genou et un cri de douleur m’est arraché. J’approche ma main de mon visage et plisse les yeux. C’est du sang. Le mien. Un frisson. Non, ce n’est
pas possible ! Soudain, je tombe à nouveau et m’écrase à terre. Zut, mon bras a lâché ! Avec un juron, je tente de ramper en tendant mes deux bras en avant. A ma grande surprise, à la lumière, je n’en vois qu’un seul se tendre en avant, celui avec lequel j’ai longé mon corps. Je frissonne et, aussitôt, pose cette main visible sur mon épaule. Aussitôt, la douleur monte, en retard. Je cris, j’hurle, rien ne marche. J’ai perdu mon bras et ma jambe ! Affolé, je me tourne vers l’autre qui me regarde d’un air ébahis.
« VIENS M’AIDER !!! ».
Presque aussitôt, le goût du sang me remonte à la gorge. Je tombe à nouveau, la douleur est trop grande. Mes bras, mes jambes ne m’obéissent plus. Même ma tête ne bouge plus. Mes yeux, encore ouverts, ne voient que du flou. L’autre arrive, et me traîne par les épaules. Qu’est-ce que je fais là ?... Je m’évanouis, je suis mort, ça y est. C’est impossible que je vive encore. Qu’est-ce qui s’est passé ?... Ces grincements… Cette haine… J’ai mal… et pourtant, face à moi, il semble garder une certaine assurance. Il a peur. Si le monstre revient, il m’abandonnera. La douleur des marches sur mon ventre. Il me tire dans l’escalier, et je suis sûr de voir dans ses yeux se refléter mon sang qui se déverse lorsqu’il me traîne, formant mon trajet. Cette fois-ci, ce sont mes mains qui sont gelées. Pourquoi il m’a traîné là-dedans ? Pourquoi m’a-t-il tué ?...


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