Nouvelle rencontre [PV Kywin]

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Le vent se levait petit à petit sur les terres Sibeska. Un vent frais, mais particulièrement doux, sauf que un jeune loup au pelage blanc comme la neige n'aimait pas ce temps. Avec le vent ses poils s'envolaient dans tous les sens, une chose que Raja n'aiamit vraiment pas !

Le jeune loup décida donc d'aller s'abriter dans la grotte de sa meute, les Célestial, la première fois qu'il y avait été, aucun loups ne s'était montré à lui. Depuis qu'il était arrivé ici, à Wolf Angel, il n'avait rencontrer que deux louves, Syriana, une louve de sa meute et une autre louve, dont il ne se rappellait plus le nom tellement la recontre avait était brève. Mais qui c'est à chaque jour ses surprises.

Il s'allongea tranquillement sur le côté de la grotte pas très loin d el'entrée, près à acceuillir les nouveaux venus. Raja croisa lentement sespattes pour posait délicatement sa tête sur ses pattes. Les oreilles droites avec les yeux mi-clos il faisait attention à chaque bruit qui pénétrer dans la grotte. Parfois il relévait la tête lorsqu'il entendait des bruits suspect d'une nouvelle rencontre avec une femele ou un mâle...

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Kywin avait longtemps courur sous la tempête, savourant le contact glacé du vent dans sa fourrure et celui du sol gelé sous ses pattes. C'était le printemps, certes. Mais il n'y avait jamais vraiment de printemps sur les terres du Nord. Elles étaient tout le temps couvertes de neige et de glace, parcourues par des tempêtes plus violentes les unes que les autres.. La seule différence qui venait avec le printemps, c'était la diminution du nombre de tempêtes. Ainsi que de leur violence. Mais à part cela, le même manteau blanc recouvrait les terres. Le même vent glacé soufflait sans discontinuer. Fille du Nord, rien de tout cela ne la gênait vraiment. Au contraire ! Elle courait avec le vent, portée par ses tourbillons comme une plume légère. Ses pattes frôlaient la neige dans une caresse pleine de liberté farouche et sauvage. Le nez en l'air, ses yeux noirs vrillés sur l'horizon. Elle adorait les terres glacées de sa Meute, et y vivait en parfaite harmonie. Elle riait des tempêtes et partait quand bon elle le voulait, la nuit ou le jour, dans la neige ou dans la glace. Elle était l'enfant du froid.

Elle avait attrapé un lièvre, avec son pelage d'hiver. D'un blanc aussi pur que la neige, incroyablement difficile à repérer au milieu de tout cet éblouissement blanc. Mais elle était le chasseur, elle était le maître et il n'avait aucune chance. Sa vision avait remarqué les légers points noirs du bout de ses oreilles et de son museau, et leur mouvement. Spécialement adaptés à la chasse dans le Nord, ils souffraient peu de l'éblouissement de la neige. Seuls les fils du Nord supportaient - plus ou moins bien - cet éblouissement. Le reflet du soleil sur la neige avait tendance à brûler les yeux de ceux qui n'y étaient pas habitués.
ElLe s'était approchée sous le vent, avec une légèreté et une discrétion incomparables, frôlant tout juste le sol. Mais elle avait quand même fini par être repérée, et le lièvre avait détalé de toute la vitesse de ses pattes. Elle l'avait aussitôt poursuivi, savourant la force de ses propres pattes et la puissance qui courait dans ses veines. Ce lièvre n'avait pas une seule chance. Dans de la neige lourde, il aurait réussi à la distancer. Elle se serait enfoncée dedans tandis que lui aurait volé au-dessus. Mais cette neige était résistante, et permettait à la louve de prendre des appuis tout à fait corrects. Il était rapide, mais elle l'était tellement plus ! Elle finit par être à sa hauteur. Le lièvre faisait des sauts et des écarts, tournait sans prévenir et retournait à toute allure sur ses pas. Il voulait la semer, bien sûr, ou la fatiguer dans ses exercices.
Il fallait penser lièvre, il fallait penser comme lui. La louve ferma brièvement les yeux, puis les rouvrit. Elle était lièvre, lièvre poruchassé par un loup. Que faire ? Aussitôt, elle su. Elle su ce qu'allait faire sa proie, quand, comment, où. Et partant de là, elle pouvait bloquer sa route... et la coincer. Le lièvre bondit à droite, elle continua tout droit. Il n'avait fait qu'un crochet, et en prenant un chemin plus court, elle s'était rapprochée de lui. Le lièvre bondit à nouveau à droite. Kywin laissa passer une foulée, puis elle pila, se retourna, découvrit ses crocs et les fit claquer... droit dans la nuque de sa proie, qui s'affaissa avec des petits soubresauts. Les spasmes de la mort.

La louve entra dans la grotte pour porter sa proie à la réserve. Elle n'en avait pas besoin elle-même, ayant déjà correctement mangé ce jour-là. Et comme elle était chasseuse, son travail était de veiller à garder une réserve de nourriture remplie pour les siens. La louve blanche déposa sa proie au milieu des autres. Tiens ? Il y avait déjà quelqu'un, là...

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Dans l'ombre de la grotte le jeune loup admirait la tempête, il devait s'y habitué après tout, désormais il vivait sur ces terres, faisant partie de la meute des Célestial il devait s'habituer au manteau blanc qui recouvrait le sol pendant toutes les saisons de l'années, il devait s'habituer aux multiples tempêtes qui allaient faire rage aux moments où il s'y attendait le moins. C'était ça les terres du Nord, ou autrement dit Sibeska. Raja en avait déjà appris beaucoup sur le climat continuel de ce territoire, il avait questionner les quelques loups qu'ils avaient pu rencontrer.

Il entoura avec légére une de ses pattes arrière avec sa queue, lui donnant ainsi un peu de chaleur, les poils épais de celle-ci réchauffer la partie du corps touchée. Raja était en position confortable, près à s'endormir en voyant qu'aucun autres loups venaient à sa rencontre, d'un soupir il ferma complétement les yeux, mais à ce moment là il sentit l'odeur douce et délicate d'une louve, à croire que le jeune loup attirait que les femelles, il avait eu la chance, si l'on peut dire celà comme ça, de rencontrer trois louves, du moins trois avec celle qu'il va rencontrer, d'ailleurs l'odeur se faisait plus intense, plus fine à la fois. Dans cette odeur Raja sentait les parfum de la chasse, une louve souvent dehors qui n'avait pas peur de la tempête, se disait-il, mai aussi une louve habituait à ce climat !

Après avoir bien enregistrer l'odeur de cette louve dans sa tête, il la vit, elle entrait dans la grotte. Raja voyait le lièvre dans sa gueule, une chasseusse, c'était sûr, il avait beaucoup d'intelligence et avec celle-ci il arrivait à déduire des choses plus ou moins bonnes ! Raja adcmirait la silhouette de la louve, il la regardait, sans arrêt. Mais ayant peur de la gêner, il se leva et salua d'un signe de la tête la louve brune en ajouta amicalement un petit:

-Bonjour.

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Ah ben oui, il y avait un loup, là. Les yeux couleur encre de Chine de la louve blanche se posèrent sur cet inconnu. Impénétrables, troublants, presque accusateurs. Kywin était une louve très froide et distante, qui ne se liait pas facilement d'amitié. Lorsqu'elle le faisait, sa loyauté était inébranlable, mais il était difficile de l'atteindre, ce niveau de confiance. La perte de ses souvenirs et les multiples blessures résultant de l'accident qui les lui avait ôtés l'avaient rendue très méfiante, bien qu'elle n'éprouva que rarement la peur. Elle avait confiance en elle et en ses capacités, mais elle n'accordait pas sa confiance à n'importe qui, voilà tout. D'ailleurs ce n'était pas étonnant. Qu'elle soit froide, je veux dire. Après tout, le nord n'est pas réputé pour son ambiance chaleureuse...

- Bonjour.

Un petit 'bonjour' très sec, presque inamical, mais pas impoli. Il ne fallait pas prendre ce ton assez irritant pour une marque de moquerie ou d'insulte. En fait, elle ne le faisait même pas exprès. A force de ne faire transiter que de l'air glacé dans sa gorge et ses poumons, sa voix était un peu cassée et cela donnait ce ton-là. Bon, il faut avouer qu'elle ne faisait rien pour le radoucir.

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Raja avait l'habitude d'avoir à faire à des caractères dans ce genr-là, après tout tout le modne ne peux pas être sympathique, et rigolait avec un inconnu, c'était normal, mais au début quand un loup veut se faire des amis, tout comme Raja, il doit ce montrer sympathique, enfin être lui même; ça ne gênait en aucun cas Raja de voir que cette louve lui répondait sur un ton sec. Faut avouer qu'il avait été surpris que la louve soit aussi distante, mais il s'y faisait vite. Avec un regard toujours aussi doux, il continuait de fixé amicalement la louve blanche, comme lui, mais pour éviter de faire une sortes de provocations il fit tourner son regard vers l'entrée de la grotte. Juste avant de répondre à la louve il s'asseya.

-Je me nomme Raja, et vous ?

Pour lui, c'était une évidence de vouvoyer les loups qui lui était encore inconnu, et quand il avait fait connaissance avec la personne enfin il se mettait à la tutoyer, mais pour l'instant il se montrait poli.

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[ Je suis désolée ! ]

Kywin détailla attentiveent la physionomie de l'inconnu. En même temps, presque inconsciement, elle analysait la situation pour connaître les lieux à la perfection en cas de bataille. Chaque creux, chaque bosse dans la roche, les dimensions de l'endroit où elle se trouvait. Avec le temps, la louve avait appris à ne faire confiance à personne, pas même aux siens..

- Je suis Kywin.

Elle aimait bien rajouter tous ses noms, comme Fille du nord. La louve blanche aimait bien les noms à ralonge de ce genre, mais comme personne d'autre qu'elel même ne se les attribuait, elle ne trouvait pas poli de les mentionner. Cela aurait fait style vantard, non ?

- Chasseuse. Et vous ?

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[Pas grave ça arrive à tout le monde Wink

]

Raja se doutait bien que la louve se méfiait, après tout c'était compréhensible, sa mère à lui aussi, lui avait appris à se méfier des inconnus, bien qu'il soit de sa meute, il avait tant de souvenirs sur elle, elle lui manquait beaucoup mais en volant de ses propres ailes il avait fait un choix, laissait sa famille derrière lui pour vivre une vie différente. Bref... Raja attendait patiemment la réponse de la louve, depuis son arrivait il avait appris à être moins gêné en présence de d'autres canidés, et en plus il devait s'habituer à voir du monde et a parler avce les autres.

Enfin la louve se mit à parler, il sourit et resta à sa place, vu qu'elle se méfiait il ne voulait pas tentait une approche du style faire un pas en avant, celà marche parfois mais là il préféré s'abstenir et attendre qu'elle soit plus en confiance, car jamais Raja oserait l'attaquait, et puis si ils se battent c'est lui qui perdra !

-Enchanté ! Je suis guérrisseur.

Le loup blanc avait toujours son fin sourir sur les babines, il avait l'air niais comme çelà mais il était heureux, y'avait-il un mal à être heureux et le montrer ?

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Le vent du nord s'engouffra dans la grotte. Impérieux. Rempli de colère et de rage froide. Monstre furieux, haine et colère mêlées, la voix et le cri des glaces. Il ne fait pas bon d'être la cible de son courroux, mais il est difficile de ne pas l'être. Le vent du nord n'aime personne. Vraiment personne. Kywin ne frissona pas. Sa fourrure blanche la protégeait très efficacement contre cette colère déferlante qu'était le vent, rempart d'aiguilles claires. Mais il n'enmpêche que la bourrasque raffraîchit considérablement l'atmosphère et ébourriffa de manière peu élégante sa fourrure.

- Guérisseur ? C'est un poste utile. Très utile.

La louve le pensait vraiment. Sans les guérisseurs, qui soignerai la Meute ? La majorité des loups pensait à eux comme des bons à rien, mais à son avis ils étaient plus utiles que la majorité des guerriers.

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Fallait l'avouer, guérrisseur était un poste très important pour une meute, lui aussi savait que certain pensait que les guérrisseur était des bons a rien et ne savait pas se battre, c'était sans doute vrai qu'ils ne sachent pas se battre aussi bien que des guerriers, mais lorsqu'eux ils sont bléssés, les guérrisseurs viennent à leur secours, alors oui c'est un post utile, même très ulite comme venait de le dire Kywin, la louve qui tenait compagnie au jeune Raja.

-Il faut l'avouer, mais les chasserus aussi sont utiles.

Comme la louve qui venait de complimenté son grade avec sincérité il fit de même, il le pensait réellement, c'est vrai, sans les chasseurs qui pourrait remplir la réserve de nourriture et sans cette réserve remplie par les chasseurs comment les loups de la meute mangerait dans un jour de tempête ce qui était très fréquent dans les terres Sibeska.

La tête toujours aussi droite, il souriait toujours, ce sourir stupide qui illimunait son visage. Ce sourir qui en disait long...