Crac,bim,boum,splatch,aïe!
Voila le genre de bruits que l'on entendait lorsqu'une louve s'entrainait.
Elle sautait de la rivière,se limait les griffes,cassait un arbre puis se cognait et ensuite criait de douleur.
L'entrainement du genre mouvementé quoi.
Mais Minerva n'était pas ainsi,trop digne,trp sûre d'elle.
Et bah ouai,vous l'imaginez sauter comme une grosse patate la rivière.
Nah,elle était aussi gracieuse qu'une biche et discrète que le vent.
La louve blanche se lima les griffes puis hrla.
Elle appelait une personne,quelqun en particulier.
Miner' s'occupait d'une petite loupiotte qui avait su gagner son estime,ou plutôt,une part de son estime bien sûre.
Car la veuve noire ne prenait jamais trop d'affection pour quelqun,trop agaçant et dangereux disait-elle.
Enfin quand elle vit la loupiotte arrivée,elle sourit un peu sadickement même.

*L'entrainement va commencer et tu vas en baver!*

Miracle?
Hum...ouais l'on pouvait dire ça.
Si ça amusait la loupiotte après tout,elle pensait ce qu'elle voulait.
Mais c'est vrai que Minerva s'était un peu étonnée elle-même quand elle avait prit l'initiative d'entrainer la loupiotte.
Miner' regarda la boule de poils pleine d'énergie ,comme a son habitude, se driger vers elle.
Elle mit en avant non pas sa beauté et sa grace mais sa force,son imposance et sa puissance.
Et ouai,car le premier qui expliquait que les veuves noires,c'était juste de simples séductrices faibles.
Nah,car après avoir eut leurs informations ,les veuves noires tuaient leurs proies sans difficulté.

Minerva dévisagea la loupiotte.
Elle evait l'entrainer,mais elle ne savait pas par quoi commencer.
Un combat,un test d'agilité,un test de puissance.
Na,l'agilité serait parfait pour commencer,en rajoutant l'endurance.
L'énergie débordante de la loupiotte allait bientôt disparaitre...

-Bien,tu vas d'abord slalomer entre les arbres le plus rapidement possible,puis tu nageras dans la rivière jusqu'a l'autre rive,attention le courant est puissant.Ensuitte tu devras faire une série dde différents obstacles las-ba,puis ensuite,ne reviens pas avant d'avoir tué une proie,plus elle seras dangreuse,plus j'aurai de l'estime.

Voila,tout étais dit,au moindre oublis,Mononoke allait souffrir de la sévèrité de Minerva.
Elle lança un regard froid sur son élève et attendit qu'elle execute ses ordres.

Mononoke buvait pratiquement les paroles de Minerva, et détala aussitôt que celle-ci eût fini de donner ses ordres, sans oublier de lancer un "Oui, maître", auqeul elle semblait beaucoup tenir. Son impatience faisait bouillir son sang, mais elle parvint à garder la tête suffisament froide pour se rapeller encore et encore les instructions de Minerva.
Encore prétentieuse, elle pensait que tout ce que la Veuve Noire lui avait demandé serait d'une simplicité remarquable.

Elle s'engeaga dans le slalom constitué par les arbres à toute vitesse. La loupiotte appréciait toujours autant le fait de courir. Au premier virage, elle tourna le plus serré possible, enfonçant ses petites griffes dans la terre et les feuilles pour mieux tourner sans perdre trop de vitesse. Pleine d'énergie, elle rasa de très près l'écorce rugueuse de l'arbre, sans pour autant s'y frotter.
Au second virage, elle répéta son manège, tendant la tête dans la direction vers laquelle elle tournait, enfonçant ses griffes dans le sol pour ne pas déraper et tordant légèrement son corps pour lui faire épouser la courbe du virage.
Au troisième virage, elle comença à perdre un peu de ses illusion de facilité, car sa patte postérieure droite dérapa dans la terre, plutôt molle à cet endroit, et la déséquilibra au moment de tourner. Elle eut à subir une perte considérable de vitesse.
Mononoke étant une battante, elle ne se découragea pas - au contraire, l'échec accru sa concentration et sa détermination, envoyant ballader les pensées parasites. Elle reprit de la vitesse rapidement, utilisant tout son corps pour accélérer ses foulées et pour les faire plus grandes. Elle rasa de près la quatrième arbre, faisant voler un peu de terre sur son tournant brutal. Il faut dire que pour choper l'arbre suivant, il fallait pratiquement faire trois quarts de tour. Elle tourna donc très sec.
La loupiotte ne dérapa plus de tout le slalom et conserva la même cadence rapide. Elle jeta un bref coup d'oeil vers Minerva, puis sans ralentir bondit dans la rivière, appréciant la fraîcheur de l'eau écarlate sur ses muscles en feu. Mais ce plaisir ne dura pas longtemps. Elle se fit happer par le courant - effectivement très fort. Sentant la panique monter, elle ferma les yeux pendant quelques instants pour retrouver son sang-froid, tout en agitant ses pattes avec précision.

Le courant continuait de l'entraîner, et après avoir tenté en vain de lutter contre lui, elle préféra l'utiliser. Se mettant dans le sens du courant, elle se laissa porter par lui tout en exerçant une poussée horiontale vers la rive qu'elle souhaitait - non, qu'elle devait atteindre.
On gagne de toute évidence plus à faire avec la force de la nature qu'à faire contre elle, car elle parvint sans trop de dommages à l'endroit désiré, et pas si décalée que ça de l'endroit d'où elle était partie.

Mononoke s'ébroua, son pelage gris clair ruiselant du sang de la rivière. Le sang ne la dérangeait pas, et baigner dedans lui était pratiquement indifférent.
Elle resta quelques instants sur la rive, reprenant un peu de forces, la tête baissée.
Elle finit par relever la tête, déterminée, et par regarder la série d'obstacles que Minerva voulait qu'elle franchisse. Ce qui fallit faire vaciller sa belle détermination. Néanmoins, elle reprit le galop - moins rapide que le slalom, bien sûr - et s'avança vers le premier obstacle. C'était une magnifique haie, pleine d'épines et sûrement de chausses-trappes invisibles cachés derrière. Soupçonneuse, Mononoke préféra sauter très large et elle s'envola au-dessus de la haie avec une souplesse toute relative. Lorsqu'elle vit ce qu'il y avait derrière la haie épineuse, elle se félicita de cette idée : en effet, elle venait de passer par-dessus une espèce de flaque de boue dégoûtante, qui l'aurait obligée à passer plusieurs heures à se nettoyer - sans parler des difficultés qu'elle aurait eu à s'extraire de cette boue traîtresse et collante.

Le second obstacle n'était qu'un tronc abattu, assez petit. Le principal piège était le fait qu'il était creux et rongé par les termites. Si quelqu'un s'appuyait dessus pour le franchir, il s'écroulerai. Mononoke n'y pensa pas et utilisa le tronc comme tremplin pour aller plus loin. Heureusement pour elle, elle ne l'utilisa qu'à a dernière partie de son saut et ne s'appuya pas non plus dessus de toutes ses forces. Il s'effondra sur lui-même lorsqu'elle toucha terre, sans présenter de risques.
Mis à part la distraction qu'il occasiona. La loupiotte faillit prendre en pleine figure l'obstacle suivant, et ne dû qu'à un réflexe irréfléchi de ne pas s'y écraser. Le saut fut éprouvant, car elle dû presque franchir le gros rondin - dur cette fois-ci - en partant de l'arrêt. Ses pattes postérieures frôlèrent le sommet, mais ne le percutèrent pas.

Mononke aperçut l'obstacle suivant du coin de l'oeil et dû faire un virage en épingle à cheveux pour l'aborder correctement. C'était simplement une buette de terre, sur laquelle il fallait grimper - sauter sur le sommet plutôt, car toute la partie qui aurait pu aider à monter était inexistante. En fait, c'était comme si on avait coupé la bosse en deux, et qu'ele présentait là son côté abrupte. Mononoke bondit, parvint à atteindre un endroit suffisament élevé pour atterir sur la butte sans mal. Elle la descendit ensuite au galop, la pente aidant, pour se retrouver face à une jolie combinaison de ronces, de morceaux de bois et de pierres. Ele n'eut pas trop de mal à la franchir. Un morceau de liane parvint tout de même à s'enrouler autour de l'une de ses pattes, mais elle put s'en débarasser d'un petit coup sec.

Après quelques sauts et pièges supplémentaires, elle arriva enfin au bout de cette série d'obstacle.
[ C'est surtout que je commence sérieurement à avoir mal aux doigts. ]
Le souffle saccadé, Mononoke se remit en mémoire les instructions de Minerva. Qu'y avait-il, déjà, après les obstacles ? Ah oui. Elle devait rapporter une proie, la plus dangereuse possible.

* Ya-hou.. *

Mononoke repartit donc, tous ses sens en alerte, tentant d'ignorer les vigoureuses protestations de son corps. Elle se plaça comme il le fallait par rapport au vent pour pouvoir mieux capter les odeurs. Elle sentit presque tout de suite celle d'un lièvre, mais elle l'écarta tout aussi rapidement. Pas assez costaud. Elle sentit aussi une concentration assez forte en petits rongeurs - probablement un festin. Mais elle écarta aussi cette idée, pour les mêmes raisons.
Un porc-épic fut balayé de la même manière, et un furet ne fit pas long feu non plus. Un sanglier retint son attention, mais elle n'était pas stupide au point de s'en prendre à lui. Une autre odeur l'attira, celle d'un ourson. Mais l'odeur plus forte de sa mère la dissuada aussitôt de porter une attaque contre lui. Elle n'était pas suicidaire à ce point-là.
S'éloignant de plus en plus, elle délaissa une autre famille de lapins, quelques oiseaux et autres petits rongeurs.
Finalement, elle porta son choix sur une autre odeur, caractéristique. Celle du porc-épic. Ce n'était pas un animal particulièrement belliqueux mais ses attaques d'épines étaient redoutables. Elle le savait pertinement pour avoir déjà pris une vollée d'épines en plein dans le museau et pour les avoir traîné pendant plusieurs jours, le nez en sang et feu, douloureux.

Elle s'avança donc aussi discrètement qu'elle pouvait le faire, et parvint bientôt en vue du porc-épic, qui mangeait paisiblement, sa redoutable armure d'épingles douloureuses au repos. Mononoke le contourna, ne le perdant pas des yeux. Lorsqu'elle jugea le moment propice, elle bondit sur le rongeur, un éclat meurtrier dans les yeux. Celui-ci se retourna, claqua des dents et dressa ses épines. Un fraction de seconde trop tard et pile au bon moment.
Mononoke parvint à entailler profondément son flanc, mais en retour et se prit une volée d'épines dans les pattes. Cela lui arracha un cri de douleur et, clopin-clopant - car elle en avait aussi entre les coussinets - elle se mit à l'écart.
Le porc-épic était salement blessé. Il ne pouvait pas reconstituer son armure, elle était imparfaite, car son flanc blessé entravait ses mouvements. Il claquait des dents avec fureur, tentant d'impressioner cet adversaire qui venait de le condamner à mort.
Mononoke arracha avec ses dents les épines du porc-épic. Du moins la majorité, elle ne pouvait pas atteindre celle qui se situait juste au niveau de son épaule, à pôrtée de ses crocs mais trop, proche pour qu'elle puisse vraiment la saisir. De plus, elle était enfoncée profondément.
A chaque épine enlevée, un petit flot de sang s'échappait, tel un geyser capricieux qui vient de se réveiller. Mais il stoppait rapidement, coagulant très vite au niveau de la petite coupure. Chaque épine était un véritable martyr, plus ou moins enfoncée et dure à enlever.

Du coin de l'oeil, Mononoke surveillait le porc-épic qui mourrait lentement, sans parvenir à reconstituer ses défenses. Au moins, elle l'avait eu. Piètre consolation face à ces multiples points brûlants qu'elle avait gagné de son attaque.
Après s'être fait une raison sur le fait qu'elle ne pouvait pas enlever cette fichue épine logée au sommet de son épaule, elle s'approcha prudement du rongeur agonisant. Et se coucha, attendant qu'il rende son dernier soupir.
Elle eut à attendre quelques temps, mais lorsqu'elle se fut assuré qu'il était bien mort - et qu'elle ne risquait pas de se retrouver à nouveau avec des épines un peu partout dans le corps - un autre problème se posa à elle.
Comment ramener cette bestiole à Minerva ? Il lui fallait trouver un endroit où elle ne risquait pas de se faire piquer. Difficile..
Finalement, elle saisit le porc-épic au niveau de la nuque - elle était plutôt dénuée d'épines, du moins d'épines dressées.

Mononoke revint en trottinant vers Minerva, qui se trouvait assez loin de l'endroit où elle était elle-même. Son épaule touchée la faisait souffrir et ses muscles étaient remplis de fatigue, mais elle alla déposer le porc-épic devant Minerva sans montrer de faiblesse, bien que son corps tentait à grands cris de la persuader de tout laisser tomber.

[Quel poste,bravo!!Va soigner tes doigts maintenant xD]

Minerva regarda Mononoke executé tout ses exercices.
Elle y voyait beaucoup d'erreurs et se demandait si elle se souviendrai toujours de toutes a la fin.
Elle savait que la loupiotte faiblissait,sa sautait aux yeux.
Elle sourit,l'énergie de Mononoke avait étrangement disparue d'un coup,satisfaite,Miner' s'asit pour mieux admirer le spectacle.
Quand son élève arriva a la rivière,elle failli venir a son secours et commençait a se lever,mais finalement,elle pu se rasseoir.
Elle était étton é de la capacité de détermination que possédait la petite.
Elle ne désespérait pas et continuait malré les difficultés et la fatigue.
Minerva se redit pour la énième fois qu'elle avait bien fait de la prendre sous son aile.
Enfin vint les obstacles,elle fit beaucoup d'erreurs la ssui,mais la chace était avec elle.
La veuve noire claqua la machoire a un certain moment,non mais c'était quoi cete chance,elle aurait pu se faire avoir au moins plus de 2 fois mais y avait échappé.
Minerva fit la moue et observa de ses yeux experts la suite.
Enfin vint le moment de la chasse.
Qu'allait trouver sa protégée.
Elle sentit elle aussi l'odeur du sanglier et pria la ciel que Mononoke soit assez pertinente pour ne pas avor l'idée de le chassé.
Ce fut de même pour l'ourson.
Mais en effet,l'élève de la louve blanche était plutôt intelligente.
Quand Mononoke revint avec le porc-épic elle sourit sincèrement et dit:

-Tu es blesser a ce que je vois, applique ces plantes sur tes blessures,ça t'aidera a surmonter la douleur.

Minerva tendit quelques plantes a la loupiotte et retira brusquement,sans savoir si elle faisait mal,les épines que Mononoke n'avait pas pu retirer.

-Tu as fait du bon boulot,mais avoue-le,c'était ton premier entrainement n'est ce pas?

La louve blanche marqua une pose et posa un regard un peu plus doux sur la loupiotte pour montrer qu'elle était fière d'elle.
Puis es yeux redevinrent sévères et froids;

-Le mieux serait que tu trouves toi même tes erreurs,a ton avis?Quellles-sont elles?

[ xD Je crois que je vais être plus raisonnable cette fois-ci mais franchement, c'est quoi ça, tu me redonnes encore de quoi écrire des lignes et des lignes >.<
Je vais avoir du mal à ne pas en mettre des tartines moi]

Mononoke laissa échapper un tout petit cri lorsque Minerva retira l'épine qui était plantée dans son épaule, mais ce fut le seul son qu'elle produisit. De même, l'un de ses yeux se plissa pendant quelques secondes avant de revenir à la normale.
Elle était peut-être petite et encore jeune, inexpérimentée, mais elle tenait à prouver à Minerva ce qu'elle valait. Il faut dire que le statut "déesse" de la Veuve Noire y était pour beaucoup dans cette résolution. Mais Mononoke était de toute façon bien décidée à faire ses preuves.
Elle accepta les plantes avec soulagement et les appliqua conscienscieusemt sur ses plaies encore sensibles. En effet, la douleur s'estompa progressivement, devenant une simple gêne, un petit fond beaucoup plus facile à ignorer.

- Merci, dit-elle, reconnaissante.

La loupiotte puisa un peu plus dans ses réserves et se redressa, le corps en miettes mais tendu, prêt à bondir à nouveau en dépit de la stupidité manifeste d'une telle chose, pour le moment.
La loupiotte rougit légèrement, mais très légèrement.

- Euh, oui... enfin je m'étais déjà battue avec mes frères et j'ai fait la course avec eux, mais j'ai arrêté parce que ce n'était pas drôle, ils étaient trop faibles, je gagnais pratiquement tout le temps...

Mononoke considérait toujours ses frères comme des bons à rien, et il est vrai qu'ils ont toujours été beaucoup moins motivés qu'elle. Alors qu'elle grandissait et renforçait ses capacités, ils avançaient plus lentement. Ils n'avaient pas spécialement un esprit combattif et lorsque c'était le cas, la loupiotte avait eut tôt fait de le réduire en miettes.

- Mes erreurs ?

Mais elle en avait fait tellement ! Elle réfléchit pendant quelques instants puis se lança :

- Pendant le slalom, j'aurais dû faire attention à la qualité du sol. Si j'avais remarqué que la terre était plus meuble à un endroit, je n'aurais pas glissé car j'aurais pu prévoir le coup..
Dans la rivière j'aurais dû me mettre au travail immédiatement au lieu de me reposer un peu. Et je n'aurais pas dû essayer de lutter contre le courant, je n'ai pas assez de force pour ça...Comme je me faisais entraîner, j'ai paniqué et ça n'a fait qu'empirer la situation jusqu'à ce que je me calme.

Ensuite, la série d'obstacles... A son avis, c'était là qu'elle avait commis le plus de bourdes.

- Le deuxième obstacle était de toute évidence trop faible pour supporter mon poids. J'ai bien vu qu'il était creux et j'ai aussi remarqué quelques insectes sur le bois. J'aurais dû y prêter attention et sauter le tronc sans m'appuyer dessus.
Ensuite, l'effondrement du bout de bois m'a distrait, alors que j'aurais dû me concentrer sur l'obstacle suivant. Résultat j'ai bien failli m'écraser dessus et j'ai eu beaucoup de mal à le franchir.
Pour la chasse, il aurait fallu que je m'approche plus du porc-épic, pour qu'il ne puisse pas réagir à temps et que je l'atteigne sans me prendre toutes ses épines.

Mononoke grimaça à cette simple évocation. Elle haïssait sincèrement les porcs-épics.

[ Au passage, avec la réouverture du grade Veuve Noire Baph' a bien voulu que Mononoke change de futur grade et passe en future Veuve Noire ^^ ]

[Désolé ^^']

Minerva écouta attentivement la loupiotte.
Elle ne fut pas surprise d'entendre des erreurs si bien comprises et précises,et tous ce qu'elle aurait voulu dire.
Si elle avait recruter cette loupiotte, c'était bien parce qu'elle était déterminé,intelligente et qu'elle possédait un bon pon potentiel.
Elle sourit a la loupiote pour lui montrer qu'elle était satisfaite de son discours.
Sans se laisser aller,Minerva était toujours aussi belle et noble,le regard froid posé sur la petite louve consciente du nombres assez grands d'erreurs qu'elle avait commise.

-Bien,reconnaître ses propres erreurs est une bonne chose,c'est ainsi que l'on apprend.Tu as dit un peu près tout,et les derniers détails,je préfère que tu les découvre toute seule.

Miner' avait bien conscience que cela pourrait lui couter la vie en un combat de ne pas connaître ses autres erreurs,mais c'était justelent en risquant sa vie qu'on les corrigeait a tout jamais.

-Tu as bien trvaillé,je t'aime bien finalement,tu es plus déboruillarde que les autres!^^

[ Aucune importance ^^ ]

La queue de Mononoke s'agitait légèrement, faisant de très petits allers-retours gauche-droite et droite-gauche. Le mouvement était très infime, mais bien présent. Ses oreilles étaient poitnées vers l'avant.
C'était sa manière à elle de montrer qu'elle portait une très grande attention à Minerva, et aussi à quel point elle souhaitait y arriver.
Ses yeux brillaient, remplis de détermination et de volonté.
C'était ce qu'il y avait de mieux chez elle.

Surtout lorsqu'il était question de tuer une certaine personne...

La loupiotte eut un sourire sincère, très léger mais pourtant bien présent, ux dernières paroles de Minerva.
* " Je t'aime bien finalement ! " *
Pour elle qui avait la louve blanche en très haute estime, ces paroles valaient plus que tout l'or du monde.

- Qu'est-ce qu'on fait, maintenant ? demanda-t-elle.