[ Pas grave, je pensais que tu avais laisser ce topic à jamais sombrer dans l'oublie xD ]
[ Je savais pas qu'il était question d'amour mais on peu tenté si tu veux, aucun problème ^^ ]

Rawana regardait les noms sur les tombes, certains étaient amusants, mais quand parfois la cause de la mort étai indiquée, un frisson parcourait son échine. La guerre, elle ne comprenait pas, ça apportait la mort, la haine et la souffrance alors que la paix pouvait s'avérer être bien plus bénéfique. Elle ne s'imaginait pas non plus vivre dans un monde d'maour et en harmonie, elle même parfois appréciait se battre de temps en temps pour surtout se défendre, et les disputes pouvaient entrainer des amitiés encore plus fortes. La louve qui n'était pas sur Wolf Angel depuis longtemps n'avait pas conscience que le cimetière était d'habitude plongé dans la nuit et dans une brume opaque et inquiétante. Elle trouva donc que les loups avaient choisis un bien jolie lieu ensoleillé pour les morts, ce qu'elle pensait une bonne idée. Alors qu'elle s'amusait avec ses pensées, elle sentit l'odeur d'un loup inconnu. Tout de suite, son comportement changea, ses yeux de braises étaient méfiants et presques agressifs, ses crocs n'étaient pas dévoilé mais étaient prêt à le faire si elle devait s'en servir et elle était face au loup en positon de défense. Il s'approchait confiant, avec un semblant de sourire mais d'une méfiance désemparante, la louve ne bougea pas. Elle savait qu'il s'arrêterait, surpris et troublé.

- Que me veux-tu ? Sache que tu ne sais pas à qui tu as à faire !

Rawana était un peu détendue, étant donné que le loup ne semblait pas lui vouloir du mal. Mais elle restait méfiante, peut-être essayait-il de l'amadouer pour mieux la tuer. Cette méfiance provenait du fait, que dans son enfance un accident de ce genre était survenu, un loup charmeur aux premiers abords, très sympathique avait ensuite tenté d'abréger sa soif de sang avec elle. Heureusement elle avait pu s'échapper, grace aux pouvoirs de sa mère, pense-t-elle. La louve blanche se tenait d'une telle façon que l'on avait la forte impression qu'elle voulait portéger la tombe qui était derrière elle, ce qui n'était absolument pas le cas. Ses yeux intenses ne quitèrent pas la silhouette du loup, chacun de ses mouvements étaient inscrits dans sa mémoire, si il voulait gagner sa confiance, il devrait faire ses preuvres.

J'avais toujours étté de nature très méfiante, depuis que je savais que ma mère avait été amadouée par un loup au physique et au regard avenant. Ce loup semblait en effet très sympathique, mais je ne pouvais déjà lui accorder ma confiance, cela mettrait alors en péril ma vie. je le savais, et je ne pourrai m'envoler car il fallait encore que j'attende d'en avoir l'autorisation. Pourtant, pourquoi être de la sorte sur la défensive, il me suffisait d'être sur mes gardes, mais cela ne me servait à rien de l'agresser de la sorte. Et puis ... Si au moins je pouvais alors me faire un ami, une connaissance agréable sur cette terre. Pour le moment je ne connaissais personne, et ce n'était guère, je l'avoue, en me rendant au cimetière que je risquais de voir du monde sympathique. Mais les mortsd, eux, au moins, ne vous jugent pas, ne vous trompent ni vous dupent. Ils vous écoutent simplement, sans jamais vou contredire, mais aussi sans jamais vous répondre. Etre muet comme une tombe était désormais quelque chose d'acquis dans mon esprit. Mes yeux auquels on ne pouvait définir une couleur tel le nombre de reflet qui l'animait était nombreux étincelait de joie de vivre, de sauvagerie et de liberté, et ce regard brûlant qui était le mien vint s'éclater dans celui de l'inconnu. D'ailleurs, il ne l'était plus. Aoko. je retenais ce nom au find fond de ma mémoire l'y gravant dans mon âme, comme si je n'avais pas fini de l'entendre résonner dans l'air. Je laissais mes babines retomber sur mes crocs d'ivoires après y avoir passé dessus un coup de ma langue écarlate. Mes oreilles se redressèrent et je m'approchais prudament du loup noir. Je n'appréciai guère sa voix de gentleman, certe réconfortante, mais aussi inquiétante. certian loup empruntait cette voix pour dissimuler des intonations douteuses et malsaines. hésitante, je laissais ma patte au-dessus du sol puis me décidai finalement à la déposer sur le sol en avant. J'inclinais la tête sur le côté et lui dit d'un ton naïf et presque infantile :

- Tu es noir, le noir représente la guerre et la haine, pourquoi je devrais apprendre à te connaître ?

Je n'y avais laisser transparaitre aucun propos diffamatoire, aucun jugement, juste ce que m'avais enseigner la nature. Les corbeaux sont noirs, ils sont annonceurs de mauvaises nouvelles. La nuit, elle aussi est débène, et elle ne présage jamais rien de bon, dans l'obscurité de celle-ci, nous pouvons toujours nous perdre, buter sur un obstacle invisible ou faire une mauvaise rencontre. Jamais je n'avais vu quelque chose de noire qui était de bonne augure, il était tout à fait naturelle que je me méfie de ce loup. de plus, ma mère était blanche, mon père était noir, et il l'a trahie. je suis blanc,e et sa fourrure est de jais.