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| Sujet: Le papillon meure[pv Hell] 26.10.08 8:28 | |
| Hum, tu croit vraiment pouvoir continuer, Tu croit pouvoir résister, Résister à mon pouvoir ?
L'air était frais. Le vent se cachait derrière la montagne, peureux. Comme si le brouillard, oh grand et épais fumée nacré, étouffant ses victimes. Le vent qui rapportait de temps en temps un air chaud, qui pendant les grosses chaleurs ne faisait que vous achevez avec sa chaleur du désert. Et qui, pendant l'acre Hiver, vous fouettait de tout ses forces, amenant froid et malheur. Qui, vous faisait fuir dans un abri, pour échapper au supplice, malgré le faîtes d'être endurcis, et malgré le faîtes de vouloir continuer. Le vent n'était que méchanceté et orgueilleux, se croyant le plus puissant, faisant fuir les nuages, effrayant le brouillard et ravivant le feu, bougeant l'eau de sa puissance, déracinant la nature de sa colère.
La fraîcheur du matin engourdissait le paysage, le rendant plus clair, gelant l'herbe du matin, enfin, ce qui restait d'herbe dans cet endroit maléfique. Le froid, ce combinant souvent avec la pluie, le vent ou la neige, ne grandissait encore quand le vent grossissait, fouettant. Le peu d'arbres qui restait, d'un habituel noir comme brûlé, était blanchâtres, du à la rosée qui avec le peu de chaleur matinale avait gelée. Leur branche était plié, sous le poids d'une neige invisible, qui épousait le sol de son sommet.
Le brouillard épais, autrement nommée le tueur, celui qui vous piégeait avec les ombres, était sûrement à son apogée et semblait à vouloir s'épaissir. Le paysage semblait d'un blanc naturel, et pourtant, ce n'était qu'une des illusions du brouillard.
Cours, cours, Cours de toutes tes forces si tu ne veut pas mourir, Mais tu vois, Tu vois, tu es piégé...
Dans le brouillard, on pouvait distinguer une forme, une forme irrégulière, bougeant lentement. Une forme presque apeurée. Dans la terreur de mourir, dans la terreur de ne pas sortir de cette purée de pois. Cette forme avait des griffes prêtes à tuer et des moustaches gelés, croulant sous la rosée solide. Elle était noir, mais nuancer de rouge vif, masi qui ne se voyait que très peu dans le brouillard. |
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| Sujet: Re: Le papillon meure[pv Hell] 03.11.08 13:00 | |
| Si tu ne trouve pas de raison a ta vie, alors fais en ce que tu veux ... La terre dévasté n'était pas des plus sûres en ce temps humide et brumeux. Les devils y avait toujours déposé les cadavres de leurs proies et ennemis, n'améliorant guère l'allure effrayante de cette plaine brouillardeuse. Pourtant, sans sa terre retournée a l'odeur fraîchement retourné, sans ses cadavres apeurants qui gisent sur le sol, elle ne serait pas vraiment ce qu'elle est. Les devils ne la considérait plus pareille comme jamais, et même si ce lieu pouvait parraître peu sympathique aux premières allures, c'était bien pour cette raison qu'on aimait la foulée de ses pas. La brume épaisse flottait dans l'air et camoufflait les rares arbres qui trônaient sur la terre dévasté, elle semblait être l'annonciatrice d'une mauvaise nouvelle, de la fin d'une bataille ou d'un revena,t la brume annonce beaucoup de choses, mais jamais celles-ci ne sont gai, tout dépends de la façon dont on la prçois. Il faisait froid, frais plutôt, un froid ragaillardit par un vent du matin et une humidité engourdissant d'autant plus les membres d'un solitaire. La nature et la flore de ce lieu était basse, quelques arbres, un peu d'herbe qui disparaissait bien rapidement sous le poids de la pluie ou du brouillard, et les fleurs ne semblaient pas y avoir trouvées une place. Si 'lon pouvait distinguer avec de bons yeux la silhouette sombre qui se mouvait rapidement a travers la brume, celle du grand louveteaux blanc était invisible a tous regards loups. Hellboy, se cammouflait parfaitement a travers la nuée blanchâtre qui surplombait la terre dévasté. Seul ses yeux d'un rouge équivalent a une braise d'un feu ardent contrastait avec l'atmosphère ambiante. Hell' n'avait jamais eut peur de ce lieu, au contraire, il s'y sentait roi, lucifer même, rien ne lui résistait et depuis le temps qu'il parcourait ce lieu, ses yeux s'étaient facilement habitués a perçé le brouillard. Il nne manqua pas de distinguer et sentir une autre présence de la sienne mais n'y porta aucunes intentions particulière, la solitude était une de ses vertus, mais il dû bien y faire quelque chose quand il vit la silhouette en question courir en sa direction. |
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