Wolf Angel
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 Je Tu Il

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MessageSujet: Je Tu Il   Je Tu Il I_icon_minitime29.08.09 11:09

Je Tu Il
Je ne suis pas un criminel, je suis juste perdue


      20 Septembre 200…


    Je m’appelle Linda. Je suis châtains clair, j’ai des long cheveux que je noue souvent en queue de cheval. Je suis en Terminal, et j’espère bien passer mon bac pour en finir avec les études.
    Tu t’appelle Enson, je ne sais pas a quoi tu ressembles, et je crois bien que personne ne le sait. Tu n’es pas en cours, mais tu es là depuis la fin des temps.
    Il me connaît, pas moi, je ne sais rien de lui.
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MessageSujet: Re: Je Tu Il   Je Tu Il I_icon_minitime29.08.09 12:33

      21 Septembre 200..


    Les cours ont été vraiment très long. Je ne sais pas pourquoi je m’ennuie à ce point alors que je suis motivée pour passer mon bac. Peut-être que tout simplement ma seule motivation est dans finir. Je n’ai pas d’idée précise pour le futur et je m’en fous. Je serais dans un vieux magasin, je serais serveuse toute ma vie mais je m’en fous. Rien ne me motive si ce n’est d’en finir avec les cours. De me poser chez moi et de souffler. Peut-être direz vous que c’est tout bonnement impossible et qu’il faut travailler, mais je m’en fous, je ne veux pas être riche.
    Je rentre doucement chez moi. A pieds, et je crois bien que j’aime ça. J’ai encore louper le bus de 6 heures. J’ai attendu le prochain, celui de 7 heures, mais je l’ai aussi louper parce que tu as tonner. Je ne le fais pas exprès, c’est pas vrai ( loin de moi vos idées !). Je suis donc là à fouler le goudron pour rentrer. Je dois être à quelques kilomètres de chez moi, je vais arriver en retard, mais je m’en fous autant que mes parents. Ils ne s’inquiètent jamais pour moi, et même si ça m’arrange, j’aimerais bien qu’ils ait peur pour moi, qu’ils me prennent dans leur bras quand je reviens. Je demande pas non plus des câlins à la pelle.
    Il pleut et j’ai froid. La plus me martèle le dos à un point qui devient insupportable. Le froid m’engourdit, et pourtant, je traîne des pieds, m’arrête devant des magasins. Je n’ai pas d’heure fixe, et même si j’ai envie de courir, de m’abriter, je continue. Nous ne sommes plus beaucoup sur le trottoir. Seule quelques personnes munis d’un parapluie coure dans tout les sens pour rentrer. Je m’arrête un moment et mon regard se perd dans le vague. Un homme en face rentre ses poubelles et me regarde. Je plonge mon regard dans le sien et attends. Il s’enva, tant mieux. Lentement, je reprends ma marche. Il commence à faire sombre, tu me hantes. Pourquoi ? Je suis presque sur de ne t’avoir rien fait, je ne t’ai jamais vue, alors pourquoi t’acharnes tu sur moi ?
    Je sens mon T-shirt me coller à la peau et je frisonne. L’eau a transpercé mon blouson. Il n’est plus efficace. Je n’aime pas cette sensation d’être tremper de la tête au pieds, mais je ne bouge plus. De toute façon, personne ne m’attends, alors pourquoi bouger ? Il fait froid, et je ne sens plus mes doigts de pieds. Lentement, je reprends ma marche de nouveau et mon regard fixe le sol. Les ruelles sont sombres, et je ne vois a présent que les pieds des quelques passants restant. Soupir. Une étrange sensation s’empare de moi, comme si quelqu’un m’observait. Je tourne mon buste vers la droite et scrute le paysage. Il n’y avait plus personne, si ce n’est les quelques voitures qui passait, giclant de l’eau sur les trottoirs. Mais personne, il n’y avait vraiment personne. Je soupire de nouveau et sers un bout de papier dans ma main. Arrête de stresser pour rien ! C’est lui, un jeune garçon de ma classe. Grand, beau, respecté dans tout le lycée, d’une classitude sans égal, il fait crever de jalousie tout les mecs du bahut. Et pourtant, il l’aime bien. Je comprends pas trop. Peut-être qu’ils ont envie d’être classe alors en le côtoyant… Bref, il rend amoureuse toute les filles du lycée et il m’a choisis. Il m’avait écris un mot en cours. Je l’observa une nouvelle fois. C’était écrit : Fais attention… Je t’aime. Mon cœur se réchauffa et je retourna le petit bout de papier. Il avait été arracher à une feuille de SVT sur lequel on pouvait lire un bout de phrase : Le sang coule . Une ligne plus bas, on voyait un autre bout de phrase de notre cours : es morte . Nos cours était vraiment géniaux, non ? Il y avait un coup de blanc sur le t, était-ce délibéré ou une faute accidentelle ? Je releva le regard vers un lampadaire. Oublies ! Perdue dans mes pensées, j’entendis un bruits à gauche, provenant d’une petite ruelle et je sursauta. Je tourna ma tête dans la direction du bruit. Il était là. Tu grognes et je regarde furtivement dans le ciel. Je reporte rapidement mon regard dans sa direction.

    Il est ridé de vieillesse et une longue balafre traverse son visage. Il est d’une taille moyenne, sûrement plus grand que moi. Il possède un grand nez aquilin qui lui donne un air dangereux. Son main sont noueuse et puissante, ses bras sont a la fois musclée et gras. Son regard était profond et plein de haine. Même si on y trouvait un peu de tristesse, on le sentait sur les nerfs et méchant. Je détourna le regard pour regarder son buste. Le regarder dans les yeux vous infligeait une douleur psychologique affreuse. Je ne l’avais jamais vue, mais il me sembla tout de suite familier.



Dernière édition par Amaer le 30.08.09 7:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Je Tu Il   Je Tu Il I_icon_minitime29.08.09 13:16

    Son regard me fixe et m’oblige a me regarder, comme un aimant avec du fer. Lentement, je relève mon regard vers lui et je le fixe. Soudain, j’ai envie de courir, de fuir, le plus loin possible de lui. J’ai envie de ne plus jamais le voir, de ne plus jamais re-croiser son regard. Je fais un pas en arrière, prête à faire ma course. Ma course pour la vie ? Peut-être pas à ce point. Il me regarde, de haut en bas, comme pour savoir s’il était devant la bonne personne. Je déglutis et le regarda. Que faire ?

    « Tu me quittes déjà ? » Fit-il d’une voix rocailleuse et sans vie. On aurait dit une phrase préenregistré, une voix sans intonation.

    Je ne réponds pas. Je ne sais pas quoi répondre, que dire, que faire ?

    « Se serait tellement dommage… » Continua t’il.

    Je tremble légèrement. Je le vois sortir un couteau de sa poche et l’approcher dans ma direction. Je fais un pas en arrière et il me prend par le bras. Sa poigne est forte, et il me fait mal. Je penche mon bras vers le bras et je le regarde avec un regard désespéré.

    « Je… Je ne suis pas la personne que vous cherchez… » Balbutiais-je.

    Il me prit le visage et le cogna contre une paroi froide. Je m’écroula sur le sol et il s’accroupit. Un sourire était installé sur son visage. Pourquoi me faisait-il cela ? Etait-ce cela la violence gratuite ? Je déglutis et regarda sur mon côté gauche. S’était ma seule issue. Je pris ma respiration, comment s’en aller ? Il approcha son visage du mien et je sentis son allènes. Elle était horriblement puante, j’eus envie de dégager mon visage et je le pencha à droite. Il grogna et tu tonna. Pourquoi étais-tu en colère Enson ? Sers à quelques choses alors ! Foudroies le ! Il n’étais pas de bonne humeur, et n’appréciais pas le fait que je me débatte. Levant le couteau, il l’enfonça dans mon bras droit et j’émit un couinement. Je n’arrivais pas à crier. Je ne pourrais pas partir. Il se lève et je ne peut pas bouger. La douleur me clou sur place. Il tourne en rond, et fait semblant de réfléchir.

    « Qu’est ce que je pourrais faire de toi ? »

    Il eut un bruit dans la ruelle et il grogna. Il me fixa.

    « Tu bouges pas ! Je reviens dans dix minutes »

    Il escalada une poubelle et gravit un escalier pour aller d’immeuble en immeuble. J’avais ma chance, je n’en n’aurais sûrement pas d’autres. J’approcha ma main droite du couteau planter dans mon bras gauche. Je tira de toute mes forces et émit un nouveau couinement de douleur. Je laissa tomber le couteau sur le sol et je me releva. Marchant péniblement, le plus rapidement possible, j’avança dans la nuit. Je serrais les dents et avança, sur des mètres entiers jusqu’à a arriver à 100 mètres de chez moi. J’étais en sécurité. Libre. Il ne viendra jamais ici.
    Je n’y arrivais pas. Marcher était trop pénible. Je m’écroula sur le sol et gis sur le trottoir avec une jambe sur la route. J’étais libre. Je ne craignait plus rien. Je soupira de bonheur et ferma les yeux. Plus rien ne pouvait m’arriver de pire. La pluie me martelait le visage et je souri. Mon sang se mêlait avec l’eau. Et tu es morte…

    C’est jolie comme fin. Je pouvais m’endormir tranquillement a présent.

    [ Désoler pour la longueur de celui là ]

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MessageSujet: Re: Je Tu Il   Je Tu Il I_icon_minitime29.08.09 14:29

    23 Septembre 200..

    J’ouvre un œil et le referme rapidement. Une lumière blanche m’aveugle. Suis-je là haut ? Je t’ai rejoins Enson ! Je fais une grimace de douleur. Comment ça se fait que j’ai encore mal ? J’essaye d’ouvrir les yeux malgré la lumière qui m’aveuglait et j’entends soudain des voix.

    « Elle se réveille !
    « Vraiment ?
    « Elle est résistante la petite !
    « Seulement deux jours après !
    « Je la croyais presque morte !
    « Et moi donc…
    « Heureusement qu’elle a été trouvé par le voisin !
    « Peut-être étais-ce une forme de suicide ?
    « Je ne sais pas.
    « Le principal c’est qu’elle aille bien.
    « Exactement !
    » Firent deux voix de jeunes dame qui semblait pipelette.

    Je suis vivante ? C’est quoi ce bordel ? Il ne m’a pas tué ? Je ne suis pas libre ? Je vais vraiment devoir passer mon bac ? ! Merde. C’était pas prévue dans mon programme. Bon. Réfléchis rapidement, il faut que je partes. J’essaye de me relever quand une douleur au bras gauche me fais m’écrouler sur le dos. Je serre les dents. Il faut que je partes ! Vite ! Avant que mes parents soit au courant ! Avant qu’il soit au courant !

    « Chérie, arrête… » Fis une voix qui mettait connue, celle de mon père.

    Je n’essaye plus d’ouvrir les yeux. Qu’est ce qu’il fout ici, lui ? Je soupira et fis semblant de me rendormir. Les deux infirmières sortirent et fermèrent la porte. Et, mais ça veux dire que ce qu’étais écris sur le papier était faux, le sang coule, et je suis morte, et je suis pas morte.
    Ton sang était dilué…

    J’entendis mon père se lever. Prier, pars !

    « Mais qu’est ce que t’as FOUTU ! Pourquoi tu t’es fais poignarder BORDEL ! » Tonna mon père.

    Oh merci papa, tu es vraiment gentil et compatissant, c’est fou. Non c’est sur, ça donne envie de retourné à la maison. Ils vont pas arrêter de m’engueuler, de me demander ce que je foutais là-bas, depuis quand je ne rentrais pas avec le bus. Bref, ça allait être génial. Mon envie de partir s’éteint, j’avais surtout envie que mon père partes.

    « Hein ? » Fis-je avec une voix ensommeillé, les yeux plisser.

    Aller, part, laisse moi. Papa soupira, se leva et sortit. Je trouve d’ailleurs bizarre que ma mère ne soit pas venue.

    Un médecin arriva et me regarda. Il chuchota à l’infirmière.

    « Elle sortira dans deux jours, quand elle sera rétablie… »

    Deux jours de supplice !
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MessageSujet: Re: Je Tu Il   Je Tu Il I_icon_minitime29.08.09 15:12

      24 Septembre 200..


    Il est 18 heures. Je suis censée partir demain à la même heure, ni mon père ni ma mère ne sont venus me voir aujourd’hui et vous savez quoi non seulement ça ne m’étonne pas et en plus ça m’arrange. Ils doivent m’attendre bien tranquillement en cherchant des questions et des remarques pas très sympa. Bref, j’avais aucun intention de vouloir revenir demain, je voulais partir maintenant, loin. Hélas, j’étais au deuxième étage, pas possible d’aller par la fenêtre. Donc, faut trouver une idée. Il va me retrouver, il va me tuer, et ça sera finie. NON ! Je veux pas moi, je veux vivre, passer mon bac et avoir des gosses. Whow ! Arrête de délirer Linda, sérieusement, je ne vais pas passer mon bac, il ne va pas me tuer, et je vais vivre, loin de toi, loin de lui, loin de ma famille.
    Je me leva, enleva discrètement les quelques fils qui étaient attaché à mon bras. J’ouvra l’armoire et trouva mes habits. Merde, ils ne les avait pas nettoyer, y’avait une grosse tache de sang sur mon blouson. Bon, réfléchissons rapidement. Je me retourna et trouva un ciseau dans la petite commode, on va refaire une beauté au magnifique pyjama de l’hôpital ! J’enleva le haut, coupa les manche et coupa un bout en bas, c’était pas magnifique mais on le reconnaissait presque plus. J’enfila de nouveau le reste de pyjama découper ainsi que mon T-shirt. Ca faisait un peu un t-shirt avec des manches plus longues, c’était moche mais on s’en fout, on est a l’hôpital. Je remis mon pantalon, enfila mes converses et guetta à la porte. Je laisserai mon blouson ici, c’est pas grave. Je cacha mon bras en mettant mes mains dans les poches et sortit au moment où il n’y avait personne.
    Marchant d’un pas rapide, je croisa une infirmière et je lui souri. Je descendit par les escalier. Je devais passer devant l’entrée, et donc l’accueil. Il suffisait d’avoir l’air d’une petite fille qui était aller voir son grand père. Je traversa rapidement la cour et adressa un au revoir au dame de l’accueil. Autant avoir l’aire le plus normal possible.
    Libre !
    Je m’arrêta quand une bouffée d’air emplis mes poumons. Je me mis à trembler en regardant le paysage. Ou étais-je ? Pourquoi étais-je sorti ? N’importe qui pouvait me tuer ? N’importe qui pouvait me sauter dessus. Calme toi.
    Fais attention… Je t’aime


    Tout va bien, respire. Je fis un pas, puis un autre, je suis morte, ça va aller. Je devais y aller. Je mis un pieds devant l’autre et regarda devant moi. Plus j’avançai, plus j’avais l’impression que mes poumons se vidaient. Je m’étouffa. Je n’arrivais plus à respirer. Il fallait que je m’éloigne, que personne ne me voit, que personne ne me sauve. Essayant de respirer, je me cala derrière un buisson. Je continua de m’étouffer et quelques minutes plus tard, je réussi à respirer normalement.
    Où allais-je aller ?
    Il fallait que je me lève, et que je m’en aille. J’entendis un bruit derrière moi. Un léger crissement de voiture, sûrement qu’elle avait du ralentir, c’était classique.

    « NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON ! ! » Hurla une femme de l’autres côté de la route.

    Je frissonna. Que ce passait-il. Je sentis quelques choses dans mon dos. Il s’enfonça et je grimaça. Ca ressemblais à un pistolet. Oui, un pistolet. Je vais mourir, il m’a retrouvé. Un autres pistolet sortis du buisson, à ma droite et me pointa.
    Je vais mourir. Libre.
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MessageSujet: Re: Je Tu Il   Je Tu Il I_icon_minitime30.08.09 7:45

    Un silence s’imposa. Je respirais doucement en fermant les yeux. J’attendais ma mort prochaine quand une voix brisa le silence.

    « Léon ! Tu es en vie. Oh mon chérie, laisse la jeune fille tranquille ! » Fis doucement la femme de tout à l’heure.

    Elle s’approcha de moi et je me retourna. Complètement dégoutté. C’était un gosse avec des pistolets en plastique. Je souri à la dame et me leva. J’étais furieuse, même si je ne le montrais pas. Comme pour justifier le fait d’être caché derrière un buisson, j’expliqua à la jeune femme que mon père était à l’hôpital et j’essayais de penser à quelques choses d’autres. Elle me raconta que son mari avait un cancer et nous nous quittâmes. Je n’avais plus aucune confiance en moi même. J’étais livré dans un monde horrible. Calme toi… Mon regard parcourt l’environs. Il faut que je me trouve un abri pour ce soir ainsi que quelques choses a manger. Non, je n’irais pas chez moi. Je calcule rapidement le temps pour aller à mon lycée pour prendre le bus. Si je me dépêche, je serais à l’heure. Je cours le plus rapidement que je pouvais. Comme si ma vie en dépendait. Elle en dépendait ! J’arriva au bus, avec de l’avance ! Je monta tranquillement à l’intérieure. Personne de mon lycée. Parfait. Je m’installa à l’arrière et il démarra.
    Mes parents partaient toujours à 8 heures du soir voir un cinéma. Je pourrais aller chercher quelques choses à manger en ouvrant avec ma clé. Le bus me déposa à une rue voisine de la mienne et je marcha dans la direction de la vieille cabane. La vieille cabane était ma cachette quand j’étais petite. Mes parents n’ont jamais sue où elle était. Elle était juste derrière un vieux bâtiment. Je m’installa tranquillement. C’était certes pas le grand confort, mais c’était mieux que aller chez les parents.
    8 heures. Je pouvais y aller. Je marcha d’un pas tranquille et observa la maison. Pas de voiture, il était bien parti. Même alors que j’étais censée être à l’hôpital, il partait quand même voir un ciné… Je glissa la clé dans la serrure et pris quelques provisions.
    Je marcha d’un pas tranquille, un sac dans la main, en direction de ma cabane quand j’entendis un grognement.
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Thunder

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MessageSujet: Re: Je Tu Il   Je Tu Il I_icon_minitime12.09.09 14:42

Très bien rédigé et très belle histoire (même si non finie).
Continue sur cette lancée Wink
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MessageSujet: Re: Je Tu Il   Je Tu Il I_icon_minitime

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