[ x B. EAST LOOSE IN PARADISE. ]

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[ x B. EAST LOOSE IN PARADISE. ]
[ x Pv M. YSTERE ]
Si l'on pouvait appeler cette décharge un paradis. Les carcasses s'amoncellaient dans ce charnier qui dégageait une odeur pestilentielle. Le soleil était presque à son zénith, toutefois le ciel était gris et sombre. Une pluie drue s'abattait sur les terres Centrales, Ouverte a tous. Et outre les quelques rats qui filaient à travers les squelettes décharnés et les corbeaux dont les croassements lugubres se répercutaient à travers la forêt, une ombre de canidés. Ses contours se firent plus distincts, et révélèrent la silhouette de Pégase qui, la gueule entrouverte, marchait d'un pas traînant. Les dents serrées, Elle tentait vainement d'oublier les voix qui semaient la terreur dans son esprit.

Les voix, ces voix, qui lui susurraient des paroles horribles. Tailler la chair. Broyer les os. Les monstres de son passé emplissaient son crâne et la rendaient folle. Esprits pervers et malsains, ils le caressaient du bout d'une griffe, leur haleine chaude effleurant son museau, lui chantonnaient des questions sans réponses, et riaient de leur rire guttural.
Les yeux exorbités, la jeune louve à la fourrure aux multiples couleurs chaudes sentit ses muscles se crisper. Ses pensées devinrent saccadées, sa raison s'évapora. La haine seule l'aveuglait, la rendant pathétiquement faible. Et elle le savait. Encore une fois, ce foutu monstre lui filerait entre les griffes.

« Laisse donc la Mort t'entraîner dans son sillage... »
La Mort ! La Mort !
« Laisse donc la Mort t'emporter, cesse de courir... »
La Mort ! La Mort !
« Laisse donc la M... »

Elle fit volte-face et retroussa les babines, dévoilant ses crocs acérés. Son échine se hérissa et, les oreilles plaquées contre son crâne, elle poussa un grondement féroce. Les paupières plissées, elle scruta les alentours dans l'espoir de dinstinguer la silhouette biscornue de la Bête. Elle l'égorgerait, puis le viderait de ses tripes et lui crèverait les yeux, comme ceux d'une vulgaire proie. Enfin, elle serait délivré de ses griffes et se saisirait de la Liberté, qui ne pourrait plus lui échapper. Tel un affamé sur une proie inespérée, il s'acharnerait dessus autant qu'elle le pourrait.

« Ta gueule ! Je ne suis pas là pour mourir ! Je vainquerai la mort ! »

Son cri avait effrayé tous les charognards qui goutté au restant des pauvres loups morts, et en un battement de patte, étaient tous partis sans regarder derrière eux, leur prédateur. Les voix s'étaient éteintes dans un gargouillis sinistre. Un sourire s'étira sur les lèvres de Pégase, qui partit d'un rire hystérique. Les pupilles étrécies, ses épaules agitées de soubresauts, elle rit sans but précis, sa voix résonnant d'un puissant écho à ses oreilles. Et après un long instant, elle s'écroula sur le sol.
Son rire faiblissait, et finit par s'éteindre quant une odeur parvint à ses narines. Merde. Elle avait complètement oublier que bon nombre de loup roder ici, et que certains était en pleure, d'autre s'amusé à déchirer les corps mort de leur ainée, et encore une fois, d'autre se balader sans but. Pégase détourna la tête, ses iris ambrés brillant d'un éclat indéchiffrable dans la pénombre.

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Mystère s'avança. Il entendit les cris d'une loupiotte. Il accourru.
"Wahou quelle poubelle c'est dans le coin!! Faut pas dire c'est répugnant
Au pardon."
Il regarda la loupiotte et la dévora des yeux. elle était splendite mais il n'avait pas envie de parler comme ce que les grands disent amour.
"Escusez moi, je m'appellle Mystère mais appellez moi Mystéry, louveteau du fidèle clan des Sakarite allié aux Devils qui sont en guerre fadal contre les Angels. Connaissez vous les Celestials, ce sont des loups simples qui ne font rien. Fainéant comme je dis. Mais il sont nobles et beau. Et les dominate est lutôt jolie mais elle est pollisonne. Pollisonne veut dire Fainéante. Les celestials ne partiscipent à rien mais je ne suis pas un sujet de moquerie et de paroles négatifs envers les autres loups. A et les Solitaires!! très gentils. TRès gentils. Mais voilà y'en as qui ont des gros crocs qui vous mordrent quand ils sont pas cpontent. Comme Chad je crois. Quel vilain loup!! Sinon je suis nouveau. Et vous???"
Il se rendit compte qu'il avit un peu beaucoup trop parlé.
"Désolé".

[c'est pas un roman d'amour,sauf de l'amitié xD]

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[ Je cherche pô quelqu'un qui fait des romans xD ^^ ]

La jeune louve jetta un coup d'oeil par dessus son épaule, les sons s'était tues, et seul un souffle chaud au creux de ses oreilles brisa le silence angoissant qui survolait ce cimetière lugubre, tel une corneille dont le cri glaciale résonnait d'un faible écho, suivi d'un froissement de plumes et d'un virage serré sur l'aile. Une silhouette de nature bavarde enroulée dans un manteau de fourrure fauve, un visage d'une finesse indicible, des iris d'un marron glacé, des pattes petites et souples, comme un loup normal. Leste et vive, Pégase se déplaçait avec une grâce surnaturelle. Elle bondit avec agilité, puis elle entendit, concentrer sur l'inconnu, telle un murmure, parvint à ses oreilles. Mystère. La gueule entrouverte, Pégase fit un pas en avant, ses épaules massives roulant sous sa fourrure grise. Ses oreilles frémirent légèrement, et avec la souplesse qui faisait de lui un canidé / félins, la loupiotte grise fléchit les pattes postérieures et bondit pour atterrir sans un bruit à droite de l'inconnue gracieuse... Ses babines étaient retroussées en un rictus sardonique. Elle dévora l'inconnue immaculée du regard. Le ciel gris semblait rehausser sa beauté, soulignant les contours de chaque poil d'un halo blanchâtre. Il ne put s'empêcher de se demander ce que pensait cette belle inconnue, les pensées qui défilaient derrière son masque d'un blanc parfait. Une aura mystérieuse émanait d'elle, attirant inexorablement la guerrière vagabonde.

Mais peut-être allait-elle refermer ses filets sur lui s'elle se laissait prendre. Les oreilles dressées en avant, elle sentit un frisson courir le long de son échine. La jeune loupiotte était prêt à prendre le risque.
Ses iris ambrés brillaient d'un éclat indescriptible. Le monstre qui dévorait son coeur s'était replié au fond de ses entrailles, son souffle qui soulevait des vagues assassines s'était évaporé. L'esprit de Pégase s'était éclairé, la brume s'élevant en minces volutes aux marges de sa conscience s'étant dissipée subitement. Elle qui était habitué à vivre dans la crainte constante, sans penser à rien sauf à Ça qui menaçait de s'emparer de son âme, jouissait désormais du plaisir que procure la réflexion. Et avec un bref hochement de tête empreint d'un sourire léger, elle marmonna :

« Enchanté. »

Elle détourna la tête, pour finalement reporter son attention sur Mystère dont la fourrure était ébouriffée par les rafales. Elle se demandait évidemment ce qu'elle trouvait à se balader dans un coin pareil, mais se contenta de serrer les dents. La politesse était de mise.

« Pégase ou Pèg. C'est au choix. »
Dit t-elle d'une voix très peu rassurer.

Et une fois de plus, elle songea à son prénom des plus déplacés. Ses parents n'étaient donc que des monstres dont la raison se limitait à tailler la chair, broyer les os, tuer. Ses muscles se crispèrent alors que des images saccadés lui revenaient en mémoire. Les mâchoires du clébard dont les pattes martelaient le sol. Son haleine fétide effleurant sa nuque. Les corps de ses parents déchiquetés. Leur fourrure teintée d'écarlate.
La Mort chantonnant à ses oreilles.

« Laisse donc la Mort t'emporter, cesse de courir... »
Elle esquissa un sourire, et ses épaules secouées par un rire sardonique, elle releva le menton et toisa la loupiotte grise qui, immobile, se tenait devant elle. Et elle rit. Ses moustaches étaient agitées de tressaillements incontrôlés. C'était à croire que les fantômes de son passé le rendaient fou. Ils dévoraient son coeur et lui faisaient perdre la raison. Pégase dévoila ses crocs recourbés. Sa fourrure se hérissa, mais retomba aussitôt sur son échine. La structure sur laquelle elle était assis s'ébranla, pour se stabiliser aussitôt. Un rat fila entre deux squelettes de loups morts, et la jeune louve cligna des paupières.
Sur une étendue désertique et glacée, une flamme semblait s'être éveillée.

Pégase sentit le monstre Ca semblait l'avoir quitter pendant plusieurs minutes, mais il revint. L'inconnue allait pouvoir avoir la peur de sa vie en voyant cette scène qui allait se produire... La loupiotte Blanche (presque blanche ) s'agita. Elle sauta, et se roula. Pégase poussai des cris égus, fort et déconcentrant. La loupiotte se mit a souffrir, une goutte coulait le long de son visage, et elle tomba à terre. Pégase ne répondit plus au monde, elle était immobile, sur terre, sans bouger. Le monstre lui avait pris son souffle. Le ventre de la loupiotte bougeait étrangement, mais le reste de son corps, non. On aurait dit que quelqu'un toquer à son ventre... Et les griffes de la patte de la louve bougea. Pégase serrer sa patte, comme si elle se battait pour son souffle, tout en restant à terre. D'un coup, elle ouvrit les yeux, et sortit deséspérer ses mots là :

« Au s'cours... »

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[oh escuse du gigantesque retard...]

Mystère ne savait plus où donner la tête. Ce cimètière était étrangement silencieux, réveillant son instinct de fuite. La brume fucionnait avec une brise remplie de terreur et de murmures. Un vent chaud fait frissonner son corps de terreur. Comme la chaleur du sang. Le cimètière était devenu un endroit secret qui se révéle en silence un endroit de terreur. Mystère entendit un bruit sur son côté droit, il se retourna d'un bond.. Un hurlement glacée de terreur se fit entendre: "Tu es venu ici pour mourrir, tu vas mourrir, mourriiiir..." Puis un ricanement se fit entendre, une voie froide et puis un hurlement déchira la splendeur du cimètière...
Mystère était paniqué.Ses yeux sentaient explosées de peur. Son cerveau boullioné si fort qu'il était obligé de rester à terre. Pègase pousa une petite voix, de peur que Mystère n'avait pas besoin d'en savoir plus pour comprendre qu'elle aussi avit peur.
Le vent chaud avait laissée place à un orage menaçant de fondre en éclair. La panique s'installait sur le visage de Mystère. Puis la pluie éclata. Le corps gelait et frigorifié, la pluie battant folle rage avec un vent qui ressemblait à une tornade, des hurlemenst, des cris, des ricanements, la chaleur du sang, la nuit sinistre, la pleine lune brillante.Mystère n'entendait plus le monde tourné..
" Non, Non, je ne veut pas, non!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"
Son cri ruisella dans la nuit.......

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