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| Sujet: KaMiKaZe [ 100% ] -Devil- 22.02.10 19:26 | |
| » Âge : 2 ans et demi » Grade : Parjure Devil » Pourquoi celui-ci ? : La vie faisant ce qu'elle veut, Kamikaze à appris rapidement à bien mentir, si non d'utiliser la violence pour arriver à ses fins. Fourbe, cruelle, quand elle à un but fixé, elle sait y arriver, par tout les moyens qui lui passent par la tête. On la prendras pour une folle surtout car elle fait les missions suicide sans avoir peur. La mort ne lui fait pas peur, elle n'attend que ça. Rapide et puissante, elle est une excellente manipulatrice, par la menace ou tout autres moyens. » Pourquoi cette meute ? : La premiere raison de l'appartenance aux Devil de Kamikaze est due au fait que son père était un Devil et que la meute eue voulu l'enlever des Angels ( Voir histoire ). Son caractère en fait aussi une redoutable ennemie. Elle est sans pitier et sa double personnalitée l'aide quand elle ne veut pas faire certaines choses.
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» Famille : Née d’une jeune mère Angel et d’un père Devil, je n’eu qu’un seul frère mais qui mourut, je crois, après mon départ d’une maladie. Il était de faible stature, voilà pourquoi. Mon père et mort et ma mère ne s’en ai jamais remis. Elle n’a donc jamais eu d’autres loupiots, même sous les cajoleries des autres loups en chaleur. Je n’ai pas connu mes parents pour me rappeler d’eux, mais je sais que ma mère était belle et douce. Il y a des jours ou je la regrette. Je tiens mon pelage de mon père et ce qui est le plus bizarre c’est Ellana. D’où elle vient celle-là ? Mes parents étaient-ils aussi dérangés ? » Amour : Je ne crois pas à l’amour. Seulement une trop grande fascination entre deux loups avec les hormones dans les talons. C’est seulement pour que la race ne s’éteindre pas. Mais si vous y croyez, faites ce que vous voulez, mais moi, je n’en ai rien à faire. Et les petits mignons qui s’approchent en roucoulant, je les renvoie d’où ils étaient et ils se la ferme ensuite. Point à la ligne.
Le fait d'avoir des loupiots ne m'interesse pas. De un car ils mourront comme mon frère ou sous les crocs d'Ellana. Et je ne veux pas a avoir la mort de louveteaux sur la conscience. Déjà que je la déteste. » Relation/Amitié : Je n’ai pas eu beaucoup d’ami dans ma courte vie. Il n’y a qu’Ellana avec qui je m’entends bien, même si elle est un peu cruelle et sans-cœur... Bon peut-être pas un peu... Je n’aime pas particulièrement la présence des gens, j’aime mieux être seule. Peut-être quelqu’un seras capable d’être gentil avec moi ? De faire abstraction aux atrocités que j’ai faites dans ma vie ? Peut-être ne le sauront-ils jamais ? Oui, les gens me manquent. Je veux rire un peu, être une meilleure personne... Mais comment le pourrais-je avec Ellana qui viens toujours tout gâcher ?
» Comportement général : Moi, Kamikaze... Je me décrirais comme une louve agressive et possessive. Personne ne touche à ce que je veux, si non c’est la raclée. Je suis peu sociable, je n’aime pas parler. J’aime seulement Ellana mais encore, elle me casse les pieds quelques fois. Je ne crois pas être une bonne amie, une bonne sœur, une bonne maman etc. J’aime quand il y a du sang et on me prend pour une folle... Souvent... Non, toujours... Les gens ne m’aiment pas et moi non plus. Je sais que dans mes yeux, on voit beaucoup de haine mais ceux qui me regardent sont exactement pareils. Je n’ai jamais voulu faire du mal à qui que ce soit, je crois même que j’aurais pu être une bonne Angel si on m’avait laissé avec ma mère. Mais elle n’a jamais voulu de moi alors pourquoi ne pas rester avec les méchants ? Je n’aime pas les loups mâles. Ils sont stupide et trop pleins d’hormones. Tout ce qu’ils veulent c’est manger et dormir... Si non se reproduire. Les autres femelles aussi sont désagréables. Elle, c’est être belle et toujours être impeccable. Moi ca m’accable. Qui en a vraiment à faire de ce qu’on a l’air ? Tant qu’on mange, dormes et que nous ailles quelque part ou dormir, à quoi le reste sers vraiment ?
J’aime le danger. Peut-être c’est pour cela qu’on m’a nommé Kamikaze ? La mort ne me fait pas peur, je l’attends. C’est seulement le début de ce que nous n’avons pas eu conscience dans ce monde ci, à Wolf Angel. Là bas personne n’haï personne et les parents ne rejettes pas leurs enfants. Si j’ai de la chance, je verrais peut-être mon père là-bas ?
Je suis une âme torturé. Ellana est la cruauté elle-même. Elle apparait quand je suis furieuse ou quand les gens me font haïr la vie. La transformation psychologique nous fait mal à toute les deux, mais je sais qu’elle sait mieux se défendre que moi, Kamikaze. Elle est méchante et fourbe, mais je l’aime... Comment expliquer ca ? Je n’en sais absolument rien...
» Tic, Toc ou manie(s) : Pour se défendre, Kamikaze fait place à Ellana. On peut considerer sa double personnalité comme un trouble du comportement mais c'est une facon de se défendre. » Peur(s) et/ou phobie(s) : Kamikaze n'a peur de rien, si non d'avoir peur, justement. Elle déteste beaucoup de choses, par contre.
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» Taille et Poids : Une cinquantaine de kilos et 75cm au garrot » Couleur des yeux : L'oeil gauche de Kamikaze est marron, l'autre est plus foncé, une sorte de rouge boueux qui s'intensifie lors d'une rage intense. » Carrure : Pas très imposante mais autoritaire, Kamikaze est une louve de taille normale, peut-être un peu plus musclée que les autres. Son agressivité à fait qu'elle se bat souvent et donc, sa carrure s'intensifie de jours en jours pour éviter les blessures. » Capacité(s) physique : Kamikaze est une jeune louve avec une grande force de caractère. Elle s'impose toujours d'aller plus loin, mal ou pas. C'est ce qui détermine son excellente endurance. Elle est aussi rapide et vive mais seulement en mission,jamais elle ne courras pour aller dans la tanière, l'approche des autres loups la dégoutant. Ellana est une source de motivation pour Kamikaze puisqu'elle sait que l'autre partie d'elle même est meilleure qu'elle.
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» Passé :
« -On est jamais content ou on est »
Il y a un jour dans une vie, ou on se demande ce qu'on fait ici. Si la vie en vaut vraiment la peine, si la meute à vraiment besoin de nous. Je crois que non. Depuis que je suis petite, j'ai eu le don de tout foutre en l'air partout, defaire peur aux enfants, de faire peur aux parents. C'est pas ma faute. Dans Kamikaze, y'a ma démone... Je l'appelle Ellana. Elle a l'air moins menacante avec ce nom là.
Ma mère était gentille et mignonne comme la plus part des autres louves qui existent dans les Angels. Mon père était , lui, Devil. Il y avait une sorte de fascination entre lui et ma mère. Et c'est pour cela qu'il a changé de clan. Ensuite, il y eu moi, une loupiotte aux yeux étranges et aux manières dérangées. On m'aurais certe échanger pour une poignée de rien.
On vint à le tuer pour cause de déloyalité envers la meute et on réclama la louve qui portait ses gènes, en locurence; moi . J'avais environs trois mois dans ces temps-là. On m'a donc élevée en temps que Devil, me bourrant la tête de fourberies et de haine envers les Angel, ce qui à bien fonctionné.
J'ai tué plusieurs compatriotes en temps que Ellana, sans jamais le savoir. Il n'y avait que le sang qui coulait encofe dans ma gorge et de ce liquide chaud sur mes pattes qui trahissaient ce qui c'était passé à mon insu. Ellana est cruelle et le fait de vivre avec la haine des autres plus celle que je porte m'a rendu agressive, peut être anti-sociable aussi...
Mais bon...
J'ai finalement grandi doucement en étant toujours aussi bizarre et détraquée qu'à mes quelques mois de vie. J'était plutôt solitaire et réservée mais je faisait valoir mon point de vue quand il le fallait, quitte à donner quelques coups de pattes sur la gueule d'un autre loupiot. Je crois que l'attention maternelle me manquait.
J'avais presque deux ans quand j'ai tué un loupiot de huit jour. Ça, on ne me l'as jamais pardonner. On m'a dit de partir mais j'ai lutter. Longtemps et trop fort. J'ai du partir en désespoir de cause. Car quand c'est un contre tous, même avec Ellana, je ne pourrais pas réeussir.
« -La vie est nulle et ensuite on meurs... Tu parles... Je n'aurais pas cette chance !» » Aujourd'hui sur Wolf Angel :
Aujourd'hui est un jour nouveau. Je suis partie un moment le temps de me faire oublier un peu. C'est ce qui est arrivé. Ils m'ont tous oublié si ce n'est qu'il n' y a plus personne d'avant. Comme si la meute avait changé du tout au tout. Je n'ai pas peur des gens. Je saurais me faire respecter... Mais une ou deux gueule à éclater ferais passer ma gêne. Bah quoi ? Même avec un démon, j'ai bien le droit d'avoir de la réserve non ?
J'aimerais accomplir de bonnes choses ici, comme dompter Ellana et qu'elle me serves vraiment à quelque chose... Pas à effrayer les enfants. ëtre un peu utile à la meute en étant Parjure, ce qui me semble être un bon travail pour moi... Mais bon...
---------------------------------------------» Prénom :Lex ( Ou Alexia ) » Âge et date de naissance :Z'ai 13 ans ! le 5 juillet j'en aurais 14 ! » Présence sur le forum : Avant et après l'école, soit souvent » Puff - Pseudo - Surnom : Leexiiee ou Lex » A pris connaissance du règlement : » Ton niveau de RP : C'était sur un forum vampire/lycan. Mann est respectivement l'esclave de Louanne =)
- Spoiler:
> La journée avait été calme. C’était une belle journée, chaude et humide comme j’aimais. Louanne avait paressé au lit sans vraiment en avoir besoin, seulement car elle en avait envie. J’étais resté avec elle, blottie dans son dos. Je ne me suis jamais habitué à dormir autant en une nuit, surtout car dans une cage, l’inconfort nous réveille dès que le sommeil nous emprisonne. Il faisait drôlement chaud même lové contre une statue froide comme la pierre. J’avais le visage caché dans ses cheveux auburn et j’ai profité de ce moment de répit qu’elle m’accordait surement involontairement.
J’ai décidé de me lever vers les onze heures trente et j’ai enfilé un pantalon de toile blanche. J’avais le sentiment de perdre mon temps dans ce lit de velours rouge sombre. C’a m’avait toujours fait un peu peur cette couleur, celle du sang qu’on m’enlevait régulièrement et de façons que j’avais la permission de détester. J’ai caressé sa tête d’un geste de la main et je l’ai regardé dormir, roulé en boule sur un fauteuil adjacent à la grande fenêtre de la chambre. J’ai observé tout ce qui se passait à l’extérieur, les servants qui s’affairaient à nettoyer, faire paitre les chevaux et faire courir les chiens. Il y avait aussi quelques enfants curieux de savoir ce qui agitait tant cette grande cour qui appartenait à une seule personne. Ma maitresse.
Pour certain, le fait que je trouve Louanne attirante d’une façon puissante et si sensuelle étaient des attitudes incorrecte pour un esclave. Mais en fait, ce n’était pas moi qui agissais comme si nous étions en couple ! Mais bon, j’avais cette permission spéciale qui m’était dédiée spécialement et j’aimais me sentir important aux yeux de Louanne. Je l’aimais, ca c’était certain, mais elle, c’était encore à voir... Elle avait trop d’orgueil pour être avec un esclave sans qu’elle ne le justifie. Je détestais comment elle me rabaissait constamment. Comment aimer une personne qu’on aime d’une façon incontrôlable mais qu’on déteste à la fois ?
Elle c’est réveiller quinze minutes plus tard et c’est extirpée du lit en passant une main dans ses cheveux qui avait débouclés pendant la nuit, sous le poids de sa tête. La maitresse me regardait avec des yeux fâchés, mais doux à la fois. Je crois qu’il y avait toujours cette lueur de cruauté dans ses prunelles émeraude. Elle a pris ma main et nous sommes allés dans la salle des bains. Ca me rendait nerveux d’y aller, surtout car c’était le seul moment ou nous étions nus comme des vers. Car non, moi et Louanne ne couchions pas ensemble. Ces choses là ne l’attiraient pas. En tout cas, pas avec moi. Ou peut-être que oui, mais elle ne le montrait pas.
Je me suis glissé dans l’eau bouillante en premier, sentant son regard détailler mon corps et le rouge me monter aux joues. Et pas à cause de la chaleur. Elle a laissé tomber son peignoir de satin noir sur le sol et c’est avancé elle aussi. J’aimais le roulement de ses hanches est le mouvement de ses épaules qu’elle faisait quand elle marchait. C’était un roulement que j’adorais, trop, tellement.
Vers les 21h du soir, nous étions allés dans la chambre après avoir été chacun de notre coté. Quand à moi, je ne quittais jamais le domaine donc j’aidais aux cuisines ou a nettoyer les dédales de couloirs. J’avais donc aidé une autre esclave à nettoyer et j’étais remonté aux appartements de Louanne. Elle écoutait la télévision sur un poste qui ne disait rien de vraiment intéressant. Elle la éteinte quand j’ai franchis la porte, le sourire cruel que je ne connaissais que trop sur les lèvres. C’a voulait dire trop de choses. Les cernes violets peinturés sous ses belles prunelles turquoise confirmaient son besoin de sang. Elle en avait besoin.
Je me suis assis sur le lit à coté d’elle et je l’ai prise dans mes bras, la serrant contre mon corps tiède. Le contact de sa joue froide, quasi gelée, sur mon épaule nue me fit frissonner. Ses cheveux roux caressait les cent milles cicatrices que j’avais au cou et qui disparaissaient une a une. Comme à plusieurs reprises, elle caressait mon vente de ses doigts fins, dessinant mes abdominaux relâchés. J’avais les yeux fermés, angoissé. Je détestais cette douleur qui me perçait les tympans et qui m’empêchait de penser. Je me demandais même si je ne criais pas sans le savoir.
Après ce qui semblait des heures, elle à relever doucement la tête vers moi, plongeant son regard de tueuse dans le mien. J’ai, encore une fois, frissonné. Elle c’est assise sur le lit, les fesses sur les talons, à m’observer, mort de peur à l’intérieur mais d’une apparence calme comme à mon habitude. Elle n’a rien dit. Elle à seulement enfoncé ses petites canines dans ma chair et sur le coup, j’ai agrippé sa chevelure rousse sur sa nuque en serrant les dents. Je savais que cet état de panique faisait pomper mon sang et risquait seulement de me tuer plus rapidement, mais comment ne pas avoir peur ? Je l’entendais avaler mon sang et mon cœur qui battait comme un fou contre ma poitrine. J’aurais même pu croire qu’elle me l’avait mit sous l’oreille, la vilaine.
La douleur fût intense, presque insensée mais je n’ai pas bronché. Je suis resté dans la même position crispée quand elle à laisser mon cou en paix. J’avais déjà la sensation de fatigue qui m’avait prise. Quand elle prenait de mon sang de cette façon, j’avais ensuite l’impression de ne pouvoir rien avaler sans le dégobiller sur le champ. Je ne voulais que dormir. Mais cette nuit là, j’avais déjà trop dormi, mon corps n’en pouvait plus.
Je suis quand même resté blottit dans les draps de velours de mon coté, mais je pouvais savoir que Louanne était blottie contre la courbe de mon dos. Elle faisait toujours ca, comme si elle s’avait que ca allait me réconforter. Je m’étais habitué à ces cruautés de ce genre mais j’avais encore peur de ce qui arrivait. Car je s’avais que j’allais avoir mal. Toujours.
Je suis allé marcher dehors vers une heure du matin, la tête vide et les genoux flageolants. J’adorais le parc. Depuis que j’avais 14 ans, je l’avais toujours trouvé fascinant. Surement car à mes 5 ans, j’étais resté dans une cage jusqu’à être acheté sans pouvoir en profiter. À 18 ans, je restais assis dans mon coin à regarder ce dont j’aurais pu jouir voilà quelques années. Je n’avais pas trouvé la force de vêtir autre chose que mon pantalon de toile du matin tant j’étais courbaturé. Un peu comme on court pendant des heures et qu’on se réveille le lendemain avec des douleurs aux muscles qu’on ne savait même pas l’existence. J’ai marché un moment, mes pas suivant le rythme ralentit de mes battements qui résonnaient dans mon cerveau et dans mes poignets. Sans savoir pourquoi, je les ressentais plus intensément à ces deux endroits de mon anatomie.
Je me suis assis sur un banc du parc, la tête appuyée sur les mains et les yeux fermés pour relaxer un peu. Le froid de l’objet m’a fait la même sensation que le corps de Louanne qui se collait au mien. J’y suis resté une heure trente à ne rien faire que de fixer le sol, mes globules rouges se reformant dans mon corps. Mes cernes devaient c’être creusés encore plus.
Ensuite il y eu un jeune homme avec les cheveux foncés et l’allure étrange, un peu gringalet. Je n’avais drôlement rien à faire de ce qu’il me disait. Si bien que je suis resté le regard fixé au sol, à ne rien penser, un peu comme un idiot. Il a dit quelque chose, mais quoi ?
Et Louanne est arrivée, les prunelles me fixant doucement. Elle devait se demander ou j’était passé ce soir, surtout que je n’étais jamais sortit après l’avoir nourrie. Ce soir c’était différent. Le vampire c’est planté devant moi et j’ai relevé les yeux vers elle. Mais il y avait toujours cet homme à mes cotés. Je suis resté silencieux, Louanne aussi. Je crois qu’elle dévisageait le garçon. » Un mot pour la fin ? : CALIN-POWAAA !
Dernière édition par Kamikaze le 23.02.10 15:31, édité 20 fois |
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| Sujet: Re: KaMiKaZe [ 100% ] -Devil- 23.02.10 19:39 | |
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