Voila une nouvelle que j'ai fait avec un copain !

J'espere que ça va vous plaire !





Le Phénix ET Le Miroir



Alors que nous entrâmes dans notre classe, celle qui touchait la classe de musique, nous vîmes une nouvelle personne et nous remarquâmes que c’était le nouveau professeur de français.
Je m’assis au fond de la salle et sortis, tranquillement, mes affaires et jetai un rapide coup d’œil au tableau.
Le professeur pris la parole :
« Je suis votre nouveau professeur de français, mon nom est Henry, et je remplace votre ancien professeur jusqu'à la fin de l’année scolaire ! »
Le cours passa sans autre problème apparent, et, soudain, la sonnerie retentie.
Arrivé à la maison, je posai mes affaires dans le salon et pris mon goûter.
Ensuite, je montai dans ma chambre et m’allongeai sur mon lit pour me reposer.
Je me mis soudain à penser au nouveau professeur de français, un homme vraisemblablement mystérieux …
Le lendemain matin, je me levai pour aller à l’école ; une heure plus tard, je rentrai en cours. Alors le professeur m’interrogea.
« Pierre, récite-moi la leçon d’hier ! »
Je réfléchis un moment, mais j’eus un trou de mémoire.
« Je ne sais plus Monsieur… »
Le professeur passa rapidement à un autre élève en me disant qu’il m’interrogera le lendemain.
Une semaine plus tard, nous fûmes en rang devant notre classe et nous attendîmes patiemment l’arrivée du professeur. Au bout d’un petit quart d’heure, un surveillant arriva et nous annonça que notre professeur fût absent. Comme ce fût le dernier cours de la journée, nous rentrâmes chez nous. Ne sachant pas quoi faire, j’allai chez mon meilleur ami.
Deux semaines plus tard, notre professeur ne fût toujours pas revenu et nous n’eûmes aucune nouvelle de celui-ci. Je retournai chez mon ami pour lui parler de la mystérieuse disparition de Mr Henry. Nous décidâmes de mener notre propre enquête.
Le lendemain, nous fûmes en vacances. En me promenant avec mon ami, nous aperçûmes un oiseau multicolore, un perroquet. Nous le suivîmes car il sembla nous montrer un chemin. Il nous mena à l’extérieur de la ville.
Le perroquet disparut derrière une grande bâtisse. Mon ami et moi regardâmes autour de nous et décidâmes d’entrer dans le jardin. Nous avançâmes dans l’allée principale, nous fûmes pas très rassurés, le bruissement des feuilles et les craquements de l’écorce des arbres nous accompagnèrent jusqu’au seuil de la maison.
Je me demandai ce que je fût la, devant une maison inconnue.
Je regardai la sonnette, il y a toujours un nom sur les sonnettes.
« Monsieur Henry !! » m’exclamai-je.






Je me décidai a sonner…personne ne répondis. Nous nous posâmes des questions, mais nous finîmes par repartir vers la ville.
Vers la fin du second trimestre, nous fûmes tous rangés devant notre classe et un surveillant arriva. Il nous annonça une fois de plus que notre professeur de français fût absent.
Le premier week-end des vacances, j’allai, toujours en compagnie de mon ami, à la maison de notre professeur de français. Arrivé dans le jardin, je reçu la même impression, en pire, celle de frissons dans le dos sûrement due à l’atmosphère sombre, toujours comme la première fois. Je sonnai une nouvelle fois, mais, personne ne répondit. Cette fois, je me décidai à entrer. A peine la porte fût ouverte qu’un cri strident d’oiseau nous fît vibrer les tympans. Nous frissonnâmes d’effroi en voyant le grand escalier sombre qui surplomba le hall. Mon copain s’en alla en courant, mais je m’avançai vers l’escalier et m’arrêtai net,
Je vis une silhouette sombre… Un oiseau couleur or s’avança vers moi et je restai fasciné devant cette superbe créature… ce fût un phénix.
L’oiseau s’envola et je le suivis, il passa dans une pièce avec une petite porte noire.
Il se posa, comme s’il voulut que je lui ouvre. J’ouvris la porte et découvris une petite pièce sombre, au centre ce tînt une pierre. Il y eût de drôles d’inscriptions dessus ; à côté fût posé un manuscrit qui sembla ancien. Je le pris et examina la couverture bordée de feuilles d’or, je reconnus un mot : Elfique.
Pendant que je feuilletai le livre, sans comprendre grand-chose, j’entendis des pas et une voix :
« Qui est-là ? »
Je fus stupéfait en reconnaissant la voix du professeur de français. Je sortis par la fenêtre grâce aux lierres puis courus jusqu’au portail et dévala la rue a toute vitesse. Je vis que mon ami m’attendit chez moi, je le rejoignis, essoufflé, et lui expliqua ce qui ce fut passé. Nous nous quittâmes sur ce point.
Le lendemain, nous décidâmes de retourner dans la maison du professeur. Arrivé devant la porte d’entrée, je ressentis encore le même effroi, mais j’entrai, suivit de mon ami. Nous revîmes le phénix, mais je n’y prêtai même pas attention. J’emmenai mon ami dans la pièce et lui montrai la pierre. L’oiseau réapparut, perché sur la pierre, il nous regarda. Il s’envola et partit dans une autre pièce ; il y eut un escalier sombre qui descendit en colimaçon. Je m’avançai vers celui-ci et remarquai, sur le mur, des bâtons de bois. Nous en prîmes chacun un et ils s’enflammèrent d’un seul coup. Surpris, je la lâchai et elle s’éteignit. Je repris la torche et, comme je m’y attendis, elle se réaluma.
Nous commençâmes à descendre l’escalier, il sembla interminable. Le faisceau de ma torche ne faiblit pas et, au bout d’un quart d’heure de descente, nous arrivâmes dans une grande salle sombre. Soudain, nos torches s’éteignirent et il ne resta qu’une faible lueur, celle du phénix. Lorsque-nous fîmes un mouvement, toutes les torches s’embrasèrent en un seul coup. Le phénix s’envola et se posa sur une gigantesque pierre, où furent gravées les mêmes inscriptions que celle du manuscrit.






Heureusement, je l’eu sur moi et je le pris. Dans la roche, il y eu un trou de la taille du livre, je le posa dedans. Tout à coup, la pierre s’enfonça dans le sol et libéra un passage.
Nous aperçûmes un immense miroir. Le phénix s’envola et se posa devant le miroir et refléta l’image de notre professeur de français. Nous restâmes stupéfaits devant cette image pétrifiée. Soudain, un chat noir passa entre mes jambes et s’approcha prudemment du miroir. Il se mit à miauler et toucha de la patte le miroir ; il se fit instantanément aspiré. Quelque chose sortit du miroir, ce fut un phénix, plus petit que le premier. Le petit phénix refléta dans le miroir le chat noir qui sembla pétrifié comme notre professeur.
Je compris alors que ce miroir fut terriblement dangereux. Nous décidâmes de le briser. Je pris une pierre et la lança puissamment sur le miroir. Celui-ci ce brisa et tomba en milles morceaux. Les morceaux devinrent liquides et disparurent dans le sol poreux. Les deux phénix disparurent ensuite dans une lumière éblouissante. Les torches virèrent au blanc. Nous remontâmes dans le hall et découvrîmes que la maison ne fut plus sombre du tout. Nous sortîmes dans le jardin et découvrîmes un jardin magnifiquement fleuri.
Nous rentrâmes chez nous après avoir jurés de garder notre aventure dans le plus grand secret.







FIN

WAOU! J'adore les histoir mysterieuse comme sa! Super!

merci^^
(sauf que notre prof de ***** nous a mis 12/20 (moins bonne note))
alors que d'autres élève ont fait vraiment pire...

J'adore trooooooooooop
Elle est géniale cette histoire :)

mici^^

12/20?!!! Il va pas bien ton prof! Tu merites beaucoup mieu, je te le dit!

merci Avalou^^
je pense que j'ai eu cette note car ça doit pas ètre dans le registre de la nouvelle fantastique !

Lol, enfin, ten que tu en ais vontent, on s'en fiche!

c'ets vrai^^