Une louve blanche marchait, la langue pendante, sur la terre humide d’un pas lourd et douloureux. Elle suait et sa tête tournait. Son ventre était un peu plus gros que d’habitude. Bon, c’était bien vrai ; ses jours ci elle mangeait beaucoup et chassée de moins en moins bien ! La femelle n’avait jamais était une superbe athlète mais la louve courait plus en plus lentement. D’ailleurs, à l’instant elle aurait même pas pus courir !

La louve passa devant un petit olivier pas plus grand que trois pommes. Elle sourit. Si elle n’avait pas eu soudainement mal au ventre elle se serait bien arrêté un peu plus longtemps.

Pourquoi se sentait elle aussi pleine d’amour pour des petit détails comme celui si alors qu’au paravent elle ne se serrait même pas rendu compte ?

La pauvre louve en avait assez et était fatiguée. Au loin a quelques kilomètres, il y avait quelques rochers recouverts de mousse, qui formait une petite cave.
S’armant de courage, la louve respira fortement et marcha de son plus vite dans la direction de la petite cave. La nuit allée tomber, et il fesait plus frait malgres le printemps qui arrivait.

Il y avait un magnifique coucher de soleil que l'on pouvait voir entres les grands arbres. Le soleil était orange, le ciel rose et les nuages violets éclairé par les rayon. A bout de souffle et enfin arrivée, la louve hurla des brefs, petits hurlements. Se laissant tomber sur la terre recouverte d'un peu de mousse et des petites touffes d'herbes. La louve arctique s’allongea et ferma les yeux. Elle ne dormait pas mais attendait en silence…

* Satan je t’en pris, dépêche toi ! *

C’était un silence de paix qui régné, un silence agréable et à la foi énervant ; le silence de la foret de pins, d'arbres hauts qui semblaient la surveiller et venirs plus pres, se penchant et murmurants des mots inaudible. Ils observaient...

Avalanche arrivée droit de la plaine fleurie. Elle avait traversée une jungle, montagne et un lac, fleur dans la gueule. La louve était épuisée. Des contractions lui vinrent et elle serra les dent contra sa tulipe rouge sang ramené de l’ouest. Avalanche se rappela de se que disait souvent sa mère : « l’amour et une fleur fragile » ou bien, « chaque loup à des épines »… En pensant à Satan, son diable à elle, Avalanche savait qu’il pouvait maintenir cette chose précieuse malgré la fragilité et qu’il pouvait la tenir même épineuse ! Souriante, elle savait qu’elle avait fait le bon choix. Ouvrant les yeux elle sourit encore, puis les coups dans le ventres revinrent et elle referma les yeux, serrant les dents. Quelque par au dessus de la petite tanière un oiseau survoler tranquillement le environs, le vent effacé peu a peu le traces et un écureil noisette grimpa sur la branche au decu. La nuit n'était pas encore tombee, mais ne tarderais pas. Avec un dernier regard vers son ventre, Avalanche attendit son loup, mais aussi ses amies et sa famille.

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Ouvrant un oeuille, elle regarda devant elle.
Elle avait entendue des voix, au loin.
Non, pas si loin apres tout, car elle voillait a present plusieurs formes a l'horizon.
Sur l'espace d'un instant, elle recnnu la fourrure de Nanuk, son amie qu'elle aimait tant.
Ensuite, ses petits etonament grand, qu'elle regardait a present avec deux yeux.
Aemar, Maëly, et le petit maintenant grand qu'elle aimait beaucoup; Kanook.
Un sourir tendre eclara son visage mais elle ne bougea pas, incapable de faire un geste.
Puis, peu apres elle vit les pattes d'un lopu noir qui lui avait offert cette belle fleur, Dream Lost.
Elle rit interieurement, penssant au moment ou il refusait de lui dire son nom.
Lui aussi etait maintenant un amie..
Un autre mal au ventre la fit mordre plus fort.
Ses yeux bicolors, doux et severes parcoururent tous les visages des loups en silence...