Sans que le loup ne s'en apercoive, la silhouette fantomatique de la louve blanche avait suivi toute la scène, perché sur un étroit rocher de granite derrière le loup. Ses yeux de cristal brillait sous les rayons du soleil couchant. Il devait être deja tard mais dans les terres Sariques, le soleil se couchait bien plus tard qu'ailleurs et la chaleur persistait. L'Epionne se leva, grattant le sol dur et aride du rocher, s'étira et descendit du son promontoir. Ses bonds n'étaient que souplesse et silence ! Elle regardait le loup qui ne l'avait toujours pas remarqué et fit quelques pas en sa direction, démarche fluide et discrète.