Le ciel avait désormais prit sa belle teinte bleu marine et était saupoudré d'une pluie d'étoiles fines. Altaïr leva les yeux et soupira. Il marchait doucement, il avait mal aux pattes. Depuis combien de jour il avait chercher ces maudites "Veuves Noires" ? La mission de Flocon devenait très dure, car ces louves étaient pour l'instant introuvable ! Peut être qu'elle devenait folle... Non ! Flocon était sa chef est elle n'était pas folle ! Il poussa un petit grognement pour se redonner du courage. Son odeur Sakarite était parfaitement mise au point et il soupira.
Soudain, sortant des fourrées, une louve apparue, l'air triste, même désespéré. Altaïr la regarda doucement, neutrement et, poliement, lui dit :

-Bonsoir...

Rien de plus, rien de moi... A quoi bon ?

Altaïr regarda la louve d'un oeil suspicieux. Elle avait l'air envieuse de mourrir. Un sourire s'étira sur ses babines, voilà bien longtemps qu'il n'avait tué quelqu'un... Peut être se trompait-il après tout, car il eu la gentillesse de lui parler, un effort énorme pour ce loup réputé de ne dire que le stricte minimum.

-Tout vas bien ? Vous avez l'air... Triste...

Ses yeux pétillaient drolement et ses oreilles étaient pointées vers la louve. Oui ou non ? Il cachait sont impatience avec du mal. Puis, soudain, en regardant la louve il eu de la pitié. Pourquoi une louve aussi jolie pouvait-elle être aussi désespéré. Ce soir, Altaïr ferait un gros effort pour parler à cette louve, perdue...

Altair aimait bien cette louve, enfin, il la trouver spécial. Elle s'était assise dignement, ne laissant montrer aucun signe de faiblesse ou de peur, bien qu'Altaïr deviner sa frayeur dans le mouvemet de recul. Une louve comme elle ? Qu'est-ce que cela signifiait ?

-Une louve comme vous ? Pouruqoi une louve serait désireuse de se faire massacrer par un loup ?

Car il était clair que dans chacun de ses mouvements, il se montrer dangeureux et presque sadique. Il se mit à tourner autour d'elle ne quittant pas son cou fragile et tendre. Ses pas était gracieux et fourbes, ses épaules roulaient sous son épaisse fourrure noire, ses yeux lancaient des éclairs bleu marines. Sa morsure aurait pu être fatale, mais pour l'instant, il ne ferait rien sans l'accrod de la louve. Dailleurs, y avait-il un accrod pour tuer ? Cela l'étonnerait, mais un signe ou une faiblesse, un hochement et soupir lui montrerait qu'elle en avait assez. Il fallait qu'elle soit prudente...