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| Sujet: Tsarkhane - Solitaire - 100% 24.09.10 15:10 | |
| ------------------------------------------------------------------Tsarkhane. Solitaire. ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------_ ------------ Parce que c'est moi et pas les autres. » Âge : 3 ans » Grade : Solitaire » Pourquoi celui-ci ? : ( Facultatif ) Pour ne jamais dépendre de personne et vivre comme je l'entends. » Pourquoi cette meute ? : ( Facultatif ) Une meute? Mais à quoi bon avoir une meute? Être une solitaire, sans personne pour me dicter ma conduite ou punir mes actes, tel est ma seule manière d'exister. -------------------------------------------------------------------------------_ ----- Parce que vous ne pouvez pas tout savoir. » Famille : ( Facultatif ) Personne, je vous dit que je suis seule. » Amour : ( Facultatif ) L'amour? Merci, mais pas pour moi. Ce n'est qu'une forme d'entrave comme une autre, une laisse au bout de laquelle un autre m'aurait attacher. » Relation/Amitié : ( Facultatif ) ... Si je dis "personne" c'est parce que ça veut dire "personne"... » Comportement général : ( 7 lignes -pleines- obligatoires. ) Méfiante. Aucun autre mots ne pourrait mieux décrire le comportement que j'adopte face à d'autre, connu ou pas. Si au bout d'une rencontre avec un loup, je perds cette méfiance qui me caractérise, la prochaine fois que je rencontre ce même loup, tout est à recommencer. La méfiance seras de retour, probablement plus puissante et apparente que la première fois. Plus des liens se créer, plus je deviens méfiante et renfemée sur moi-même. Je me refuse à avoir une vrai relation avec d'autre. En fait, ce n'est pas que je ne veux pas, c'est que j'en suis incapable. De même que je suis incapable de rester à moins d'un mètre de distance d'un loup en colère. Mon instinct de survie m'en empêche.
On pourrait bien sur me décrire par d'autre mots dénué de sens tels qu'orgueilleuse et irritable, ou encore traumatisé par un passé trop lourd à supporter, mais en général le seul mots qui vient à l'esprit pour me décrire est méfiante tant je suis sur mes gardes face à d'autres. Oh, et aussi sarcastique. Très sarcastique. » Tic, Toc ou manie(s) : ( Facultatif ) Je suis incapable de rester immobile plus de trois secondes d'affiler. Que ce soit ma queue, mes pattes ou peut importe quelle partie de mon corps, il doit toujours y en avoir une en mouvement. » Peur(s) et/ou phobie(s) : ( Facultatif ) Ma plus grande phobie est la colère des autres. C'est une peur primale, impossible à contrôler. Quand j'y suis confronter, je perds toute notion du temps et je me retrouve à nouveau sous son autorité. Vous ne saisissez pas? Une fois mon histoire lue, vous me comprendrez mieux... -------------------------------------------------------------------------------_ ---------Parce que je suis ce que je voulais être ! » Taille et Poids : ( Facultatif ) Je ne suis pas une géante, mais je ne suis pas non plus une petite chose fragile. 75cm au garrot pour environ 40kg de muscles. Pas mal non? » Couleur des yeux : Rouge-orange » Carrure : ( 5 lignes -pleines- obligatoires. ) Un physique atlhétique, faites pour la course mais avec des muscles juste un peu trop développer qui me donnerait un air étrange si mon pelage brun et noir ne cachais pas le tout. D'alleurs, sous ce beau pelage bicolore se cache un nombre interminable de cicatrices fraîches et moins fraîches, grandes et moins grandes. Certaines me font souffrir quand le froid m'enveloppe, mais la pire de toutes est celle qui court le long de ma colonne vertébral; quand je marche trop longtemps ou qu'un choc, même léger, l'atteint elle devient une brulûre si douloureuse que j'en hurlerais si je n'étais pas aussi orgueilleuse. » Capacité(s) physique : ( Facultatif ) J'aurai tendance à dire très bonne, voire excellente, mais ce serait un mensonge. En vérité, on peut dire que je ne suis pas le moins du monde apte à vivre seul tant mes conditions physique sont atténuer par les nombreuses douleurs accumulé en trois années à peine d'existance. Je chasse, je survis, mais à quel prix? Chaque petit choc réveille la brûlure dans mon dos, chaque pas de trop fait se rappeler à moi mes nombreuses plaies qui n'ont jamais reçut les soins nécessaires et qui continuront à me faire souffrir jusqu'à ma mort. Non, vraiment, mes capacité physique sont désolante. Et surtout humiliante. --------------------------------------------------------------------------------_ -----Parce qu'il vous faut connaitre mon passé. » Passé : ( 10 lignes -pleines- obligatoires. )
La vie n’épargne que rarement mais elle laisse toujours une porte de sortie face à la douleur. La seule qui m’as été refusée jusqu’à maintenant. La mort n’a jamais voulu m’accueillir dans ses bras réconfortant comme elle l’as fait pour tous les autres. Moi, elle me repousse. Pour me maintenir en vie, loin d’elle, elle a pris la forme de mon frère, puis celle d’une promesse faite à un mourant. Elle me pourchasse, m’as pris tous ceux que j’aime, mais elle m’a toujours refusé le droit à un repos bien mérité. Voici comment ma vie fut détruite…
Chapitre 1; La naissance et l’enfance.- Spoiler:
La nuit était chaude, la belle louve bicolore souffrait le martyre sous les yeux implacables de son compagnon blanc comme la glace. Elle l’aimait, oh, elle l’aimait tant qu’elle serait prête à mourir pour lui. Lui qui, pourtant, se contenterait d’observer sa mort comme il observait sa souffrance en ce moment à la fois joyeux et triste. Emplis d’amour et de rancœur. La nuit était encore jeune, la douleur aussi. Il fallut attendre que la lune soit haute dans le ciel nocturne avant que le premier louveteau pointe le bout de son nez. Petit mâle blanc comme le père qu’il haïrait jusqu’à sa mort, il fut nommé Dalk’Stän. Le premier né, l’unique et irremplaçable. Il fut suivit par une femelle de la même couleur que lui. Faïrye, la plus fragile et attachante. Finalement, au bout d’un dernier effort, la mère au pelage étrange mis au monde son dernier louveteau. De la même couleur que sa mère, cette petite faisait contraste avec le duo blanc comme neige né avant elle. Cette petite chose toute tremblante qui goûtait pour la première fois au lait de sa mère, c’était moi. Tsarkhane, la dernière née. La survivante.
Les mois passait, paisible pour Dalk’Stän, Faïrye et moi, tourmentés pour notre mère. Elle venait tout juste de réaliser à quel point elle s’était trompée sur lui, sur Tsolik (Même à cet âge j’étais incapable de le considéré comme mon père.). Il était violent, la blessait souvent pour une broutille. Souvent, il avait faillit nous attaquer, mais Mère s’était interposé et avait reçut à notre place les morsures toujours plus violente de son compagnon. Elle commençait à vouloir s’enfuir avec nous, mais il devait le sentir car il ne la laissait jamais seule avec nous. Je n’ai jamais compris pourquoi il refusait de la laisser partir, pourquoi il tenait tant à nous garder tout les quatre à ses coté. Peut-être, au fond, nous aimait-il vraiment, mais j’en doute.
Nous continuions donc à vivre ainsi, protéger de lui par Mère. Cette vie continua jusqu’au jour de nos six mois. Faïrye, qui était encore et toujours la plus faible d’entre nous, se blessa sur une pierre et se plaignit en appelant Mère. Dalk’Stän et moi tentions de l’aider, mais elle avait si mal qu’elle en pleurait toujours plus fort. Il finit par s’énervé. Je me rappelle encore la scène dans les moindres détails…
Chapitre 2; La fin de l’innocence, le début de la démence- Spoiler:
- Tu vas te taire à la fin !? hurla-t-il
Pour celle réponse, Faïrye gémit encore, moins fort cependant. Elle tentait vraiment de se contrôler, mais elle n’avait jamais sut le faire aussi bien que Dalk’ et moi. Si elle avait sut… les choses aurait put être différente, ma vie, mon caractère… Mais toujours est-il qu’elle ne savait faire taire sa douleur. Tsolik s’énerva encore plus, si c’est possible. Mère était partie chasser, elle nous avait prévenus d’être sage. Elle ne serait pas là pour nous protéger. Aujourd’hui, personne ne s’opposerait entre lui et nous. Nous devions faire front seuls. Mais nous étions jeunes et innocents. Nous pensions encore que malgré tout il nous aimait assez pour ne pas nous faire de mal. Nous nous trompions. Avec un grognement exaspéré, il s’approcha de Faïrye qui tentait de s’éloigner en boitillant sur trois pattes tout en pleurant.
- Je t’ai dit… de… te… TAIRE !
Son dernier mot fut noyé dans le hurlement de douleur et de terreur que poussa Faïrye avant de se retrouver dans la gueule de Tsolik. Celui-ci la secouait avec rage, une rage qui faisait briller dans ses beaux yeux noirs une flammes de folie. Soudain, un cri de stupeur retentit et une forme floue, éclair de brun et de noir, se jeta sur Tsolik. Mère était revenue de chasse. Faïrye, qu’il avait libéré de ses mâchoires sous le coup de la surprise, tomba mollement par un terre, ses os fragiles réduits en mille miettes. Son doux pelage blanc était souillé de rouge et ses beaux yeux bleus avaient été désertés par la vie. Ma sœur était morte. Un sentiment nouveau se mit à grandir en moi, comme une bête que ma peine avait réveillé et qui réclamait le sang du meurtrier. Regardant vers mon frère, je vis dans ses yeux le reflet de ce que je ressentais. Me détournant, je concentrais mon attention sur le combat qui se déroulait devant mes yeux. Mère n’avait jamais été une force de la nature, mais la rage et la peine aidant, elle se battait comme jamais je ne l’avais vue se battre. Elle ressemblait à une déesse vengeresse, habiter par une soif de sang qui la possédait entièrement, consumant la moindre pensé logique et ne laissant derrière elle que l’instinct du tueur. Pendant un moment, elle mena le combat et sembla même sur le point de gagner. Mais, l’espace d’une seconde, son regard se dirigea vers le petit cadavre et il en profita. Se ramassant sur lui-même, il lui sauta à la gorge qu’il déchira d’un mouvement de la gueule. Comme Faïrye avant elle, Mère tomba par terre et le temps sembla se figer. Aux yeux du louveteau que j’étais, une mère ne pouvait mourir. Une mère endurait les pires traitements et les pires blessures mais elle se relevait toujours. Une mère était un être divin, immortel et infatigable. Alors pourquoi la mienne restait-elle étendue de tout son long, la gorge arrachée? Pourquoi ne se relevait-elle pas en grimaçant comme chaque fois qu’il lui faisait mal? C’est alors que l’évidence frappa la jeune louve de six mois que j’étais. Ma mère était morte. Plus jamais elle ne me sourirait d’un air mi-amusé, mi-irrité après une de mes gaffes typiques. Plus jamais elle ne nous offrirait son ventre chaud pour que nous dormions contre elle les nuits trop froides. Plus jamais elle n’ouvrirait ses beaux yeux pleins de rêve. Elle était morte, comme Faïrye. Plus personne ne s’interposais entre Tsolik et nous. Personne…
Chapitre 3; La révolte de Dalk’Stän- Spoiler:
Nous avions maintenant deux ans. Nous étions assez fort pour nous débarrasser de lui, mais au bout de deux longues années à se faire battre par lui chaque fois qu’il avait l’un de ses excès de colère nous en étions venus par le considérer comme une force imbattable, un être au-dessus de la douleur physique qui pouvait tuer même les plus puissants. Nous étions effrayés. Particulièrement moi. J’étais celle qui ressemblait à Mère, j’étais sa réplique parfaite maintenant que j’avais atteint ma taille adulte. Entre Dalk’Stän et moi, j’étais toujours celle qu’il choisissait pour se défouler. J’étais son souffre-douleur préféré, incapable de me défendre car chaque fois que je voyais ses yeux se poser sur moi, emplis de rage, je revoyais le cadavre de Faïrye si petite et fragile, je revoyais le cadavre de Mère si grande et si forte. Je les revoyais et la douleur que cela m’occasionnait était plus puissante que celle qu’il me faisait subir en me blessant toujours plus. J’en souffrais, et Dalk’ en souffrait avec moi. Souvent, il me disait qu’il en avait assez, que nous méritions mieux et que nous devions nous élevé contre lui. Toujours je lui répondais que nous en étions incapables, que chaque fois qu’une occasion de s’enfuir se présentait, nous figions, persuader qu’il viendrait nous mordre par derrière, qu’il nous punirait pour avoir osé envisager de partir. Et la conversation s’arrêtait là, Dalk’ occuper à digérer le fait que j’avais raison et moi revoyant encore et encore les images de deux corps tant aimés…
Puis vint le jour fatidique. Il avait été blessé à la chasse, était en colère comme jamais il ne l’avait été auparavant. comme toujours il s’en prit à moi. Mais cette fois il voulait tuer. Il mordit dans ma nuque, mais sa prise était mauvaise seule les crocs de sa mâchoires supérieures s’enfoncèrent dans ma chair, cognant contre l’os qui soutenait mon corps. Dalk’Stän, aveuglé par la fureur comme l’avait été notre mère avant lui, trouva le courage de passer à l’attaque. Les crocs dans ma chair tracèrent une longue trace de flammes brûlante le long de mon dos avant de finalement me libérer. Je vis le père et le fils entraîner dans un combat de titan, l’un l’autre aveugler par une rage sans nom. Ce combat m’en rappela un autre et anéantis par la douleur physique et mentale combiner, je sombrais doucement dans les ténèbres tandis qu’à quelques pas à peine de moi Dalk’ menait cette rébellion dont il parlait avec tant de feu…
***
Une truffe humide contre ma joue me prouvait que j’étais encore vivante. Mes paupières se soulevèrent avec difficulté pour me dévoilé mon héro. Dalk’Stän, bien qu’amoché, avait réussis à anéantir la source de tous nos cauchemars. Du sang chaud coulait le long de son oreille gauche tandis que sur son flanc droit je pouvais apercevoir ses côtes d’une blancheur éclatante sous le rouge du sang. Une longue plainte s’échappa de ma gorge quand je compris qu’à nouveau un être cher allait m’être enlevé. Déjà, sa respiration était difficile, sifflante. Ses yeux, qui n’avait rien perdus de leur éclat, était fixé aux miens.
- Ne soit… pas triste… Promet… Promet de vivre pour… pour nous…
J’acquiesçais d’un mouvement de tête, incapable de dire un mot. Encore et toujours… Pourquoi la vie s’acharnait-elle ainsi sur moi? La mort me narguait, prenant tous ceux que j’aimais et m’interdisant le droit de les suivre. Je venais de promettre de vivre alors que de tout mon cœur je ne souhaitais que suivre ce grand loup blanc qui avait toujours été là pour moi. Mon grand frère, mon protecteur. Le cœur lourd et le visage ruisselants de larmes, je m’étendis aux côté de mon frère, profitant pour la dernière fois du réconfort que me procurait cette fourrure épaisse et soyeuse. Nous restâmes ainsi, pelotonner l’un contre l’autre dans l’attente de la fin, jusqu’au couché de soleil. Le ciel était rouge, sanglant comme le corps désormais sans vie de mon frère. Et sous ce ciel rougeoyant, je me levais et partis tenir la promesse faites à un mourant.
» Aujourd'hui sur Wolf Angel : ( 3 lignes -pleines- obligatoires. )Une nuit chaude, encore. Pendant des jours entier, j'avais avancée, tantôt courant, tantôt boitillant. Je n'avait pas pris de pause, ni pour m'alimenter, ni pour me reposer. J'avais espéré à moitié, je crois, que je la mort vienne me cueillir si la souffrance était assez forte. La douleur avait été plus puissante que tout ce que j'avais imaginée, mais la mort s'était à nouveau rit de moi et m'avait abandonnée à mon sort, toujours vivante mais dans un état lamentable. Cette nuit-là par contre, j'avais pris la peine de me reposer et de me nourrir. La douleur était moins présente, mais je ne pouvais prétendre qu'elle s'était envolée. Mais peut importait. Une nouvelle vie commençait, loin des corps de ma familles mais toujours hanté par leurs fantômes. J'étais libre, et comme me l'avais demandé Dalk'Stän, j'étais déterminé à vivre sur cette nouvelle terre. -------------------------------------------------------------------------------_ Parce que je suis un(e) geekeur(euse) en herbe. » Prénom : ( Facultatif ) Jade » Âge et date de naissance : ( Facultatif ) 15 ans, née le 16 mars 1995 » Présence sur le forum : le plus souvent possible, mais la semaine je viendrais moins souvent à cause de l'école » Puff - Pseudo - Surnom : Pacane » A pris connaissance du règlement : » Ton niveau de RP : ( Seulement pour les grades vraiment importants )Je suppose que je n'ai pas à le mettre? » Un mot pour la fin ? : ( Facultatif ) Super design 0.0
Dernière édition par Tsarkhane le 25.09.10 17:51, édité 6 fois |
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Bélial
ADMIN ✖ Badass little pony
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| Sujet: Re: Tsarkhane - Solitaire - 100% 25.09.10 16:49 | |
| Bienvenue ! Waah, ça fait plaisir de voir de nouveaux membres venir par ici, le forum a un peu de mal en ce moment (dit la vilaine qui a déserté xD). Bonne chance pour la fin de ta fiche. :)
... J'ai flashé sur ton avatar. Le "KHA" est vraiment... Je sais pas, j'aime bien la police et je trouve que ces trois lettres vont super bien ensemble, comme ça. X) (J'aime la musique, aussi, je pense que je vais la récupérer.) |
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