- Douce nuit de cauchemarres, révèle moi tes plus profonds secret... Le désire de connaitre l'autre monde, au délà des pensser et des rêves, les souvenir s'achève, comme s'achève la vie et l'ombre triomphe comme triomphe le...-

Le chant sombre et froid de la louve que lui chantais sa mère, fut interompit l'orsequ'Eva croisa le regard d'un loup. Sa silouhette étais vague et on ne distinguait rien d'aure que le rouge sang macabre de ses yeux, tout comme elle, il semblait aimer la nuit dans cette endroit. La jeune louve plaqua les oreilles, mais coninua d'avançer a pas feutré le long de la rive. De ses yeux tout aussi brillan et rouge que l'étranger, Eva le fixai sans détourner son regard froid te perdue...

La solitude et la mort flottait dans le regard d'Eva. Un regard aussi sombre et lugubre que la nuit, mais tout aussi doux pour quelqu'un qui aime le gout du sang, le gout de la mort et du desire...
La jeune louve ne parlait peut, en faite, elle ne parlait jamais pour ne rien dire et ne dépenssait pas sa salive pour rien, et elle ne commencerait pas aujourd'hui. Pourtant, ce loup l'intriguait, il semblait comme elle, aussi froid et peut bavard...
La louve était silencieuse et seul le vent qui fesait craquer les branches d'arbres, et le léger clapotis de la riviere se fesait entendre.
Eva passa a quelque centimètre du loup, assé pour que sa fourrure soyeuse puisse frôler celle du loup qui semblait de couleur ébène, un noir pure. Elle continuait tout simplement son chemin et une fois deriere lui, elle détacha son regard du cien..

En faite, Eva n'était pas si loin, elle s'arrêta soudainement, contemplant bubtilement du coin de l'oeil le loup noir qui semblait emplis d'un grand mystère. La jeune louve fit quelque pas en avant, et sous une brise glacial qui vain balayer son pelage, elle ralentis de nouveau pour enfin rester immobile contre le vent. Le fin poils d'Eva se laissait aller dans une dansse qui semblaot interminable, comme ses oreilles qui pivotait d'avant en arrière, pour prévenir tout bruit étranger...Elle semblait en perfaite harmonie avec ce qui l'entourait, même avec une sombre existance qui la hantait depuis sa tendre enfance..
la louve s'assiai enfin, observan la riviere d'un regard triste et sombre, la lumiere rouge de ses yeux disparaissait chaque fois quelle fermait ses paupieres et se ralumait chaque fois quelle les rouvrait...