Wolf Angel
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 Si je meurs, libère moi... [PV 666]

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MessageSujet: Si je meurs, libère moi... [PV 666]   Si je meurs, libère moi... [PV 666] I_icon_minitime10.05.09 16:01

Si je meurs, libère moi…
666 & BELETHYA


    Un jour, il faudra oublier. Tout, chaque seconde passée avec une personne aimée, avec une personne détestée. Un jour, il n’y aura plus rien, juste de la poussière entre quatre planches, juste des visages détruits mais qui un jour rayonneront. On oubliera notre nom, notre âge, notre rôle. On oubliera notre tête, nos habitudes. Pourquoi est-ce qu’on riait ? On ne s’en souviendra plus. On ne gardera que l’image d’une journée grise, sombre, pluvieuse, une journée de désespoir. On se souviendra d’un corps qui descendra dans une fosse pour ne plus jamais en ressortir. Est-ce juste d’avoir vécut toute sa vie en pleine air pour la finir sous terre ? Est-ce normal d’avoir combattu pour être libre et mourir prisonnier des entrailles terrestres ? Il n’y a aucune justice, aucune loi contre ça. Il faut juste prier… Prier pour mourir loin des autres et ne pas qu’on touche son corps, prier pour ne pas finir bouffé par les asticots. Pour des loups auxquels je tiens, je ferais n’importe quoi. Faire disparaître un corps, tuer, mourir… Il ne devrait y avoir aucune limite, une fois qu’on aime. Ou bien alors, ce n’est pas de l’amour. Il faut vivre un perpétuel deuil pour ne pas les oublier, et ne jamais plus les rechercher en quelqu’un d’autre. Ils étaient si spéciaux, pourquoi chercher à les rencontrer dans une autre âme ? Les leur étaient bien suffisantes… Il ne faudra plus compter sur eux pour vivre, il faudra tenter l’impossible en essayant de redevenir comme avant. Mais tous nous savons que c’est impossible. J’espère ne jamais avoir à enterrer mes enfants, ne jamais avoir à venger un ami, ne jamais avoir à tuer un ami. Pourtant, moi qui les aime de toute mon âme, ils semblent prendre plaisir à me voir souffrir. Sont-ils nombreux à ne jamais me vouloir du mal ? Parmi les visages, je vois une louve. Pourtant, son visage n’est pas celui le plus réconfortant. Mais jusqu’à preuve de contraire, elle n’a jamais eut envie de me voir agonisante grâce (ou à cause) d’elle. Les autres ? Tous, ils sont mon monde et ma destruction, peut-être qu’ils se vengent de moi et mon caractère. Je ne suis pas parfaite, peut-être imbue de ma personne ou encore une mauvaise mère. Je suis peut-être tout sauf ce qu’il faut, mais elle, ça ne la gêne pas. Et c’est ce genre d’ami qui me permette tous les matins de voir mon reflet, de tuer pour manger. Et pas ceux qui m’abandonnent dès que je change, dès que je me retrouve avec un collier autour du cou qui me rend trop lunatique pour entretenir de bonnes relations. Qu’ils me pardonnent de les avoir déçus. Mais, ce que je ne comprendrais jamais, c’est pourquoi c’est toujours moi qui m’excuse, et jamais eux…

    Dois-je encore vous compter une belle histoire ? Celle d’une louve joyeuse ? Le monde aime les mensonges, le monde à besoin de bonnes nouvelles. Mon monde n’a plus besoin de ces choses futiles et inutiles. Pas besoin de me prendre pour quelqu’un d’autre, je ne le suis pas. Je ne m’aime pas, et je ne me déteste pas. C’est la vie qui nous change, et non pas nous qui changeons la vie. Je suis comme l’illusion avant la mort, trop rapide, trop éphémère et trop porteuse de mauvaise nouvelle pour qu’on m’aime. Alors, pour amie, j’ai trouvé pire que moi : la mort elle-même. Comme ça, nous nous complétons et ainsi, quand je mourrais, je saurais qu’elle sera obligatoirement là. Et quand elle mourra, elle saura que je suis là. C’est comme un deal entre nous deux, c’est ce qui fait que je n’ai plus peur de mourir. Je ne mourrais pas seule, et si une personne devait retrouver mon corps, ce serait elle. Pourtant, à marcher, à tourner en rond dans cette forêt, perdant la notion du temps, je me demandais ce qui me tuerait. Le temps ? Le malheur ? Un loup ? Une louve ? Une maladie ? Peut-être un peu de tout. Si on ajoute le tout, je mourrais vieille et malade, folle de douleur, assassinée par un couple. Pas génial, mais ce n’est pas la façon dont on meurt qui importe, mais la façon dont on vivra son dernier soupir. Je pense qu’à mon dernier soupir, j’aurais une pensée pour… Moi et Elle. C’est égoïste, mais au moins c’est clair. Pourquoi penserais-je aux autres ? Ils ne pensent pas à moi, et lorsqu’ils mourront, ils ne verront que leur souffrance et leur douleur. Sur le sol humide, mes pattes ne faisaient aucun bruit. Je les sentais tous, ça me rendait folle. C’était horrible de savoir exactement où sont les gens. Et sans faire exprès, je marche vers eux. Ce ne sont plus des rencontres hasardeuses qui régissent ma vie, seulement mes propres décisions. Bien sûr que je la sentais, était-ce une bonne raison pour que je coure la voir ? Non, je restais à une distance appropriée d’elle, pour la laisser vivre sa vie. Je passais mon chemin, comme d’habitude, entre les arbres noueux et les feuilles mortes. Je passais mon chemin pour en tracer un autre…
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MessageSujet: Re: Si je meurs, libère moi... [PV 666]   Si je meurs, libère moi... [PV 666] I_icon_minitime06.06.09 19:38

    Il y a longtemps maintenant que je connais ces terres, il y a longtemps maintenant que je les parcourt de long, en large et parfois même en travers. Pourtant elles ne cessent de me surprendre, de faire intervenir des être qui jouer un rôle plus ou moins important dans ma vie. Et cette foret, connue pour ses proie et monstre bizarroïde. Secouant la tête mes tripes se nouèrent alors que rien de perturbant se passé. Un probable mal de ventre ? Oui c'est fort possible. Baillant a m'en décrocher la mâchoire je me secoua de tous mon long alors que je partis pour continuer cette éternel manche, danse macabre. Mon corps ondulant tel un serpent le ferait sur le sol, le vent passé a travers ma fourrure alors que je ne lui avait pas forcément donnait mon autorisation. Regardant au fond de la foret, je n'apercevais strictement personne ce qui étira un sourire sadique. Aller, allons chercher une proie pour faire 'mumuse. Me chauffant un peu les muscles en frappant contre de nombreux arbres en pleine marche, le prochain Loup ou créature de n'importe quelle meute serait a moi ! J'étais vraiment d'humeur massacrante aujourd'hui et en plus de cela j'avais bien envie de tester ma rune... Raidho ! Courant a fond, je traversa la foret a pleine vitesse, mes yeux ne cessant d'etre en action pour trouver un nouveau centre d'interet. C'est alors qu'au loin j'apercevais un ours, un autre, identique a celui que j'avais combattue avec cette Veuve Noire. Cette fois ci je pourrais lui mettre sa branler toute seule. Sautant de pierre en pierre et entre les arbre je sauta sur ma proie, lacérant son dos de mes griffes.

    Je me retourna et reçut un coup de patte en pleine tronche l'envoyant valser contre un arbre. J'entendis un douloureux crack provenant de ma colonne vertébrale. Grognant contre moi même, je sentie la pierre que je portait me bruler la peau. Pour une fois je ne retint pas son pouvoir sur moi. Comme des silhouettes fantomatique, celles ci apparurent d'un coup imitant mes gestes. Je les regarda et elles toutes me regardèrent. Je savais que ce pouvoir me prendrais beaucoup d'énergie. C'est donc alors que toutes ensemble, d'un seul et même coup, on sautèrent sur notre proie lui arrachant : les yeux, la chair. On le lacérèrent , le perforèrent faisant giclée autant de sang que l'on pouvait. Uen fois que le corps s'étala au sol c'est dans un même et unique hurlement qu'on hurlèrent pour finir ma entendre un seul hurlement. Le mien... Arrachant le cerveau et les viscère de l'ours que je dévora avec beaucoup d'enthousiasme je démembra l'animal et l'ouvris de part en part. Tiens voila une nouvelle fois ou j'ai pus faire d'une pierre deux coups. Un ourson dans le ventre de cet ours qui était en fait une ourse. Souriant de facon des plus machiavélique, j'enfonca ma gueule dans le corps du futur nouveau né lui broyant les os et lui dévorant l'intestin !
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MessageSujet: Re: Si je meurs, libère moi... [PV 666]   Si je meurs, libère moi... [PV 666] I_icon_minitime13.07.09 14:04


    Rentrer dans le vif du sujet, ne pas s'occuper des préliminaires, oublier qu'on à le temps, toujours se dépêcher de faire, de vivre, d'aimer. Ne plus avoir le temps de respirer, de prendre le temps de profiter de l'instant. L'odeur de sang m'enroba, me fit l'effet d'une drogue, de quelques choses qui vous engourdis les pattes, vous rend ivre. Passant instinctivement ma langue sur mes babines, je levai la tête vers l'odeur, les oreilles pointées vers l'avant. La délicatesse de cette odeur, si peu de personne comprenait ce qu'elle pouvait me faire. C'était comme un beau rêve, la sortie d'un engourdissement, la promesse d'une bataille. Oui, j'étais avide de bataille, avide de tuer, quel plaisir intense que de sentir une vie entre ses griffes, entre ses crocs. Avec un calme presque oppressant, je m'avançai en silence vers l'odeur, sachant pertinemment qu'elle était là, qu'elle était l'auteur de ce meurtre sûrement très sanglant. Mais les abominations qu'elle créé ne me faisait plus peur, je ne comprenais pas vraiment l'intêret de mettre l'ennemi en charpie, mon plaisir était plus "raffinée". La terreur était mon arme, faire peur à l'ennemi, le détruire lentement, mais sans aucune pitié. Lui faire sentir qu'il à un tout petit espoir, puisque l'espoir et le courage sont les pères de la folie et du désespoir. L'espoir de revoir ceux qu'on aime, de s'en sortir, de me tuer. Mais non, cet espoir n'existe que dans les rêves de mes victimes. Détruire le corps n'est pour moi rien, cela ne m'interresse pas. Détruire l'âme, oui ! Voilà à quoi je songeais en avançant vers l'odeur. Posant mes pattes sur le sol avec délicatesse et pourtant violence, je sentais de plus en plus l'odeur du sang, de la bête qu'autrefois nous avions tué ensemble. Aujourd'hui, 666 n'avait plus besoin de moi, ni de ma rune ou autre. En réalité, je ne savais ce que sa rune lui permettait de faire. Depuis que ce collier trônait fièrement sur ma poitrine, j'étais sujet à des sautes d'humeur terrifiante. De quoi tuer le monde entier, de quoi réduire un dominant à l'état de sous-merde sans aucun complexe. Mais au fond, qui se souciez de moi ? Je n'avais guère le temps de pensez aux autres, ni à moi d'ailleurs. Tuer, juste tuer, seulement tuer, cet instinct basique que le Diable nous avez offert comme un cadeau. Ma fourrure noire, au milieu des ténèbres qui désormais enveloppait mon corps, je n'y faisait plus attention. 666 m'avait un jour dit que je n'étais pas une démone, cela avait-il changé ? Non, je n'y croyais pas, ou bien, j'en étais une différente d'elle. Si puissance et horreur régner en maître chez elle, chez moi le luxe et le sadisme avait lentement pris par de mon petit être.

    Sous mes yeux rouge sang, la scène de 666 arrachant au ventre d'une mère son enfant ne me surpris pas tellement. Requiem m'avait dit que c'était dans ses us et coutumes de le faire si possible. Posant mes fesses sur la terre humide et sale, je contemplai la scène sans un bruit, écoutant les gargouillis affreux de l'animal. D'ailleurs, qui de la louve ou de l'ours était la bête ? Celle qui, comme un monstre, dévore toute forme de vie, ou celui qui à comme génétique des croisement de monstres des enfers ? Je n'avais pas de réponse, et pourtant l'image de mon amie comme garde des Enfers me plaisait. Oui, mais c'est terrible d'être prise d'affection pour une louve pareil. Je devais être folle, oui, mais parfois c'est bon d'être folle. Le spectacle, bien que gore à souhait, finit presque par me lasser. Alors, je me levai dans un geste lent, et avançais vers la louve quand je vis une ombre se glisser dans le crépuscule. Sûrement l'ours de cette femelle, qui essayerait de la venger. Secouant la tête doucement, l'image de "mon loup" se forma dans ma tête. Aussitôt mes pas se ralentir. Oui, lui. Levant la tête vers la forme, une sorte de pitié se creusa dans mon estomac. Comment réagirais-je si j'apprenais la mort de Requiem ? Sûrement très mal... Ne quittant pas des yeux l'ombre gémissante je finis par arriver à quelques mètres de 666. Là, d'une voix calme et ironique, je lui reparlai depuis bien longtemps. Et cela me fit presque un bien fou...

    - Il n'y a pas assez à manger dans la grotte ? On dirait que tu n'as pas mangé depuis des mois !

    Un sourire flotta sur mes babines, sarcastique. Pourtant, jamais je n'oserais manquer de respect à cette louve.
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MessageSujet: Re: Si je meurs, libère moi... [PV 666]   Si je meurs, libère moi... [PV 666] I_icon_minitime13.07.09 18:29

    Toute cette scène ne représenté simplement que l’ampleur de ma haine envers ce putain de monde. Je ne le supporté plus, je ne me supporté plus. Tant de gens n’étaient jamais franc et sincère, tant de Loup n’étaient que de simple profiteur. Ca m’en rendait malade, aucun d’entre eux ne savait dire les choses en face, aucun d’entre eux n’avait de témérité. Ce n’était que des ordures, des déchets qui souillé mes pattes. J’en avais marre de leur jeu, j’en avais vraiment ras le c*l. C’est alors que dans un grognement je baissais brutalement les oreilles. Je savais qu’elle était la depuis le début, je n’étais pas dupe, pourtant je ferais tout pour qu’elle parte, pour qu’elle m’oublie, pour que je devienne son pire cauchemar. Je préférais qu’elle me haïsse plutôt qu’elle souffre de ma mort qui était plus que proche. Je voulais faire volte face, foncé sur elle, lui faire regretter d’avoir était si curieuse et d’etre venu me retrouver. Mes membres tremblés alors que je me trouvais sous une transe insoutenable. Mon corps n’avait vraiment qu’une envie alors que mon cerveau me dicté le contraire. Ma respiration était forte et loin d’être rassurante. Pourtant je savais que cela ne suffirait pas pour la faire partir, elle savait comment je fonctionnais et a ce moment la je n’avais pas envie de faire ce que j’avais en tête. Je tenais à elle… C’est donc alors que je m’enfonçais un peu plus dans la carcasse, mon ventre c’était tordu, j’avais mal et pourtant j’étais persuadée que l’éloigné de moi serait la meilleur des choses. Je dévorais le corps de l’ourse et de l’ourson à m’en faire mal au ventre, encore plus que je n’avais mal pour ne pas lui répondre. Je sentais la présence du male et le pauvre, il payera toute ma haine, lui, comme ca famille a pu subir. Je me retournais sans un bruit, les crocs serré, on pouvait facilement lire dans mes yeux la haine que je portais a l’égard de ce monde. En faisant volte face, j’avais attiré l’attention de l’animal, et c’est alors que de mon regard provoquant il déboula et on entrait en collision. Oui bien évidement je n’avais pas le poids face à lui, sous sa puissance il me projeta donc contre un arbre qui s’aplatissait sur le sol. J’avais mal au dos, j’avais mal partout, pourtant je sentais la rune qui pendait a mon cou me bruler pour me rappeler au combat. Mais je ne voulais plus rien faire, hors, cette dernière m’y obligea en me brulant un peu plus. C’est un cadeau pourris par les enfers cette rune, je ne me battais pas assez bien pour avoir ce truc qui m’empêche de me battre tranquillement ? Ce n’est qu’une pure tricherie que je déteste. Oui je me relevais mais sans son aide, je préférais mourir digne entre les pattes de cet ours, plutôt que de crever entre les pattes répugnantes de ma fille. Me relevant difficilement, je n’avait toujours pas regardé cette Louve à qui je ne connaissait toujours pas son nom et pourtant à qui je tenais tant.
    Ma nuque me faisait souffrir le martyre, toute la fatigue cumulé par les journées passé se lisait facilement sur mon visage, pourtant, a mes yeux, je combattais une noble cause, celle de vivre au péril de la vie des autres. Alors que le sol se dérobé sous mes pattes, je ne pensais pas au danger qui me guettais, non, je pensais plutôt au moment passé. Serais je nostalgique et prête a regretté ma vie passé ? Non jamais ! Relevant fièrement la tête, le regard plein de haine et de rancœur il ne me fallut pas beaucoup de temps pour grimper sur le dos de l’animal. Je sentais que son corps était remplis de pas mal de graisse ce qui m’arracha un sourire diabolique. Il ne pourrait pas faire beaucoup d’effort. Il me suffit donc soit de l’épuisé soit d’etre plus rapide que lui et de lui attrapé les endroits stratégique pour le rendre immobile. Oui, ma haine serait déversée sur lui ! C’est alors que l’ours m’arracha un morceau de chair au niveau des cotes, coté droit. Décidément, qu’es qu’ils avaient tous avec cette partie de mon corps ? Bref résultat, je tombais à terre contre un monticule de pierre qui s’enfonça dans ma plaie. Pourtant je ne lâcherais pas le morceau, je sentais la rune qui ne demander qu’une chose : déployer sa puissance ! Hors, je m’y refusais complètement. Je me relevais donc sans trop de difficulté ! Comment cela se fait vous demandez vous ? La haine est la meilleur motivation pour un combat, je l’ai toujours crus et celle-ci ma portée jusqu’au sommet ! Dans une puissante foulé je sautais sur une de ses pattes arrière, dérapant pour me retrouver derrière lui. Je lui attrapai donc le tendon que je mordis avec hargne a plusieurs reprises. Je m’arrêta a un moment bien technique, au prochain mouvement de l’animal, son tendon se déchirait ! Je refis la même manipulation alors que l’ours avait compris mon manège mais ne pus s’empêcher de bouger sous la douleur. Comme prévue son tendon se déchira complètement. Par contre ce que je n’avais pas trop calculé c’est qu’en lui tenant l’autre patte je pris mon premier cours de vole lorsque l’ours s’aplatissait sur le sol. Essayant tant bien que mal de me retourné, mes pattes touchèrent par chance un arbre avec qui je pris appuis et me propulsa en direction qui m’accueillit d’un violent coup de patte. Aie, putain… Là, j’avais vraiment mal… Oui, disons que se prendre un rocher pointue sur le crane n’est jamais agréable. Je sentais que mon crane était fêlé. Je restais couché sans bouger alors que j’entendais les pas de l’ours venir en ma direction, je n’avais pas assez abimé l’autre tendon pour qu’il se déchire a son tour. Ma respiration était de nouveau forte, mon corps trembler sous toute cette montagne de stresse que j’avais engendré durant toute ces année. Rouvrant les yeux d’un seul je serrais à nouveau la gueule. Oui j’étais une battante, je ne mourrais pas comme ca ! Pas maintenant ! Me relevant une nouvelle fois, je sautais sur la patte que j’avais presque déchirée pour finir mon travaille. Sautant en arrière je laissais l’ours s’écrouler sur le sol pour ne plus se relever. Maintenant il serait mon jouet ! Je tournais, épuisé autour de lui, alors que je le regardais, j’aperçue la silhouette de la Louve que j’apprécié tant. Je relevais la tête et ne bougea plus d’un poil, lui laissant comprendre que je la saluais de mon simple regard. Pourtant pour elle, elle savait qu’il était rempli de ce que l’on pourrait appeler d’amitié.
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MessageSujet: Re: Si je meurs, libère moi... [PV 666]   Si je meurs, libère moi... [PV 666] I_icon_minitime17.07.09 10:32


    La regarder se battre, pourtant je savais que cet "ours" n'était pas sa vraie victime. La connaissant, je savais qu'elle se battait contre bien plus puissant, peut-être le fait que sa fille courrait derrière elle, prête à la tuer. Mon amie me l'avait dit, une fois seulement, et jamais je ne la ferais répeter. Aujourd'hui, je contemplai seulement l'oeuvre d'une vie entièrement détruite par le feu, par le sang qui coulait dans ses veines. Avait-elle profité d'être en vie ? Assise sur le sol humie, j'avais envie de me joindre au festin, mais la regarder se battre m'apprenait beaucoup de chose : le risque, elle savait le prendre, même si (encore une fois) son côté droit souffrit énormement. Ouvrant la gueule en grand, un grondement s'échappa de ma gorge, je crevais d'envie de tuer, encore et encore, cette drogue qu'était le sang me rendait ivre. Pourtant, je ne faisais que piétiner le sol, pas sûr d'être vraiment sûr d'avoir le droit de tuer cette proie, elle apartenait à 666. Finalement, refermant la gueule, je vis l'ours tomber et le sol trembler. Un long sourire s'étira sur mes babines. Oui, décidemment, cette louve ne cesserait de m'impressioner et de me rendre fière du peu d'attention qu'elle me portait. Quand elle se tourna vers moi, mon sourire s'accentua. Jouons, oui. Passant ma langue sur mes crocs blancs, je restais quelques instants à regarder le cadavre puis je relevai ma tête pour croiser le regard rouge de mon amie. Le mien devint grave et calme, contraste avec mon corps. Mon regard la salua avec joie, pour une fois elle ne me voyait pas dans mes pires états mentaux, ou au bord de la mort. Me levant, grâce et beauté s'échappant de mon corps fin et noir, je m'approchai doucement du corps encore vivant. L'ours allait rendre son dernier soupir, et je comptais bien le lui rendre horrible. 666, m'avait-elle seulement vut dans mon apogée de "bonne" humeur ? J'en doutais, mais restais silencieuse. Allant à l'autre cadavre, celui de la femelle, je pris le reste du corps du bébé dans mes crocs et, d'un geste théâtrale, je balançais devant le nez du mâle. Un gémissement s'échappa de la gorge du monstre, mais aucun sourire ne s'échappa de mes babines. Je regardais le regard sombre du monstre, lui qui souffrait encore plus en voyant le corps de son enfant. Fermant les yeux et soupirant, je sentis mon coeur recommencer à battre doucement. L'adrénaline venait de chuter, et il n'y avait plus que nous deux, car l"ours dans un gémissement plus bruyant avait rendu son dernier soupir. Il gardait les yeux ouverts sur le corps inerte de son enfant, moi j'avais appris au contraire à fermer les yeux sur mes enfants. D'une voix calme, murmurante, je parlais. Mais au fond, je ne savais pas à qui je parlais.

    - Ah... Un monstre tout droit sortit des Enfers qui pleure devant un cadavre, n'est-ce pas pathétique ? Sur terre, l'Enfer perd tout son attrait, il n'y reste que les bas instincs animaux : aimer, et souffrir pour l'être aimé. Il semblerait que dans ce monde, personne ne peut y rester sans changer un tant soit peu.

    Je ne lui adressai pas la parole directement, mais je savais qu'elle m'écouterait. Même si elle était restée démone, elle avait réussie à éprouver pour moi de l'amitié, un reste de ce monde qui avait prit ce qui devait être son coeur. Pour ma part, ce n'était que dans des accès de folie que je devenais ce que j'aurais pus être, ce que mon sang m'obligeait à être. Et malgré tout, je trouvais qu'être lunatique était un point positif. Parce que je voyais toutes les facettes imaginables de moi, calme et philosophe, violente et agressive, prétentieuse et fière, détruire et songeuse. Un long sourire finit par s'étirer sur mes babines et mes yeux flamboyants regardèrent mon amie. Avançant avec un peu plus de rapidité, je levai le nez au ciel et ma rune me brûla le cou, devenant brillante dans mon esprit. Je vis sa longue forme se former, brûlant dans ma tête. Fermant les yeux et prenant une longue inspiration, je cherchai ce que je voulais : un autre ours. Pour la première fois, je me rendis compte à quel point il y en avait dans cette forêt. Toutes les odeurs m'opressèrent la tête, mon sang ne fit qu'un tour et mes pattes tremblèrent légèrement. Stoppant rapidement l'effet de la rune, je secouai la tête en ouvrant grand les yeux. Relevant la tête vers 666, cette fois je lui adressai la parole avec malice.

    - Ma chère, je dois tirer ma révérence : le temps joue en ta faveur, on dirait que tu ne prends pas une ride. Devant une telle démonstration de puissance, je ne puis qu'essayer de t'arriver à la cheville. Laisses moi donc te montrer comment j'ai réussis à évoluer avec le temps, et si j'ai vraiment le droit d'avoir un regard non pas froid de ta part. Viens donc voir comment une petite louve comme moi essaye de rivaliser par pur fierté avec toi, s'il te plaît bien sûr de voir une veuve noire se battre différemment de toi.

    Je lui adressai un clin d'oeil complice et réactivant ma rune, je partis d'un trot calme en direction d'une autre odeur d'ours. Comment allait-elle prendre tout cela ? J'esperais bien, ces réactions étant souvent explosives. Mais comme elle, j'avais des raisons de me battre. Très vite, je pris un galop long et léger, ne cherchant pas à savoir si elle me suivait vraiment. Pourquoi j'avais pris un galop soutenu ? Parce que ma proie était au trot, les mouvements de ses odeurs indiquaient clairement qu'elle bougeait. Les arbres défilaient autour de moi avec vitesse, pourtant toute mon attention fut portée vers ma victime. Très vite, je fus sur un chemin parallèle au sien, mon odeur inexistante et mes bruits de pas presque complètement silencieux. L'humidité permanente de ce sol me permettait d'être discrète. Oui, 666 et moi étions trop différente pour se battre pareil, elle étant la puissance à l'état pur, la force brute. Je voulais, non pas vraiment pour me flatter, lui montrer comment je me battais. Ma rune devint lourde autour de mon cou, et aussitôt je cessai de l'utiliser. La bête était désormais à ma droite. Un long sourire s'étira sur mes babines, cette fois féroce et sadique.
    Poussant sur mes pattes, je bondis sur une pierre et là, dans un vol long et parfaitement exécuté, j'arrivais sur la trajectoire du monstre. Juste du combat maintenant. Je me retrouvais juste devant l'ours , et il glissa sur le sol pour se stoper, un long grondement s'échappa de sa gorge. Pour moi, juste ce perpétuel sourire : oui, le sang, l'âme, la douleur. Regarde moi, grande soeur, j'essaye d'être digne de ton amitié. Je me bats autant pour toi que pour moi. L'ours arriva juste devant moi, je me raplatis sur moi, mes muscles se bandèrent à l'extrême et là, d'un seul coup, je bondis au ras du sol et passais sous la bête. Me retrouvant entre ses quatre pattes, je relevai brutalement la tête et accrochai sa peau du ventre à l'aide de mes crocs. La bête hurla et se mit sur ses deux pattes arrière. J'entendis qu'elle levait la patte avant droite, et je me bessai de justesse, ses griffes atteignant seulement le haut de mes oreilles. La renverser en arrière. Toujours aplatis sur le sol, je reculai en quelques bons, l'obligeant à me suivre dans un endroit où les arbres me permettrait de circuler librement autour d'elle, et pas en terrain ouvert. Oui, voilà ma technique : rester sournoise. Enfin, quand elle fut entourée par des arbres serrés, je disparue entre les arbres, me cachant. Pourtant un rire cruel s'échappa de ma gorge. Et d'un coup, d'un seul, l'adrénaline monta dans mes veines. Grâce aux arbres, et malgré le fait que la bête tournait sur elle-même, je réussis à me mettre sur son flanc droit. Là, je claquai furieusement des dents pour qu'elle tourne sa tête vers moi. Elle le fit, comme prévut, et je pris un violent élan pour sauter sur sa gueule. Elle était très haute lorsqu'elle était sur ses pattes arrière, et cela ne me rendit pas la tâche facile. Je n'arrivai qu'à attraper son menton entre mes crocs. Mes pattes arrière prirent appuis sur son corps et, étant sûr que j'avais sur son menton une emprise du tonerre, je poussai violement en arrière pour lui arracher la mâchoire. Son hurlement se transforma en un gargouillis immonde qui me rendit encore plus heureuse. Pourtant, je n'eus pas la vitesse pour éviter un nouveau coup de patte qui cette fois m'arracha d'elle. Ses griffes se plantèrent dans ma croupe et m'envoyèrent valser plus loin, contre un arbre. Oui, en l'amenant ici, c'avait été le risque pour moi : me prendre un arbre. Légèrement sonné, je m'aplatis sur le sol et de nouveau disparue entre les arbres. J'avais complètement oubliée que 666 était là (elle est là?). A travers des branches, d'un des moments courts, je réussis à voir que la mâchoire de l'ours pendant lamentablement, mais il arrivait encore à s'en servir. Je n'avais pas pousser assez fort, mais je le tuerais quand même. De nouveau, je passais à l'offensive. Cette fois, je choisis un rocher qui me permettait d'être en hauteur. Je grimpai dessus à une vitesse très rapide, malgré le mal de tête qui me restait de ma chute contre l'arbre. Donc, une fois sur le rocher, j'étais à l'arrière de la bête. Poussant de nouveau sur mes pattes arrières qui commençaient à souffrir de mes perpétuels mouvements, j'arrivai sur son dos. Avec mes griffes j'assurai ma prise dans son poil marron. Mes crocs alors plongèrent en avant et j'attrapai sa colonne, perçant poil, peau, chair, muscles. Les tendons furent à porter de crocs, et malgré la patte qui venait de nouveau de s'accrocher à ma croupe, je réussis à couper net les tendons et à abîmer largement la moêlle épinière. Parfait. Les griffes dans ma croupe avait percées ma chair facilement, mais le fait que j'ai touché un centre nerveux empêchant l'ours de faire des mouvements rapides. Qui plus est, il se vidait littéralement de son sang. M'arrachant non sans mal des griffes du monstre, la chute de ses deux mètres de hauteur (au moins) fut lourde et une de mes pattes, la même, l'avant droite craqua sous la chute. Je fus le museau devant ses lourdes pattes, j'en profitai. Attrapant la peau, je tirai en arrière pour le déstabiliser et qu'il tombe à terre. Lorsqu'il s'écroula sur le sol, j'entendis un craquement et un dernier soupir. Il venait de mourir, sa tête n'était plus tenue correctement par sa colonne, tout avait craqué sous la puissance du choc. Soudain, ma croupe tomba à terre et un léger gémissement sourd s'échappa de ma gorge. Fermant les yeux, je secouai ma tête pour reprendre mes esprits. Ouvrant les yeux pour regarder le corps, un sourire arriva sur mes babines. Pour la première fois, j'avais tué cette bestiole seule. Et désormais, je sentis qu'il me faudrait plus que quelques heures pour récupérer. Ce combat m'avait tué, vidé de ma force. La langue pendant, dégoulinante de sang, je déglutis.
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MessageSujet: Re: Si je meurs, libère moi... [PV 666]   Si je meurs, libère moi... [PV 666] I_icon_minitime20.07.09 11:05

    Je n’aimais pas la concurrence, ma fille était ainsi, je ne voulais pas qu’elle, que cette Louve que j’apprécie, cette Louve dont je ne connais pas le prénom m’égale. Non pas que j’avais peur d’elle, loin de là. Mais simplement parce que ça ne servait à rien de se comparer à une Louve qui n’a pas proprement de but et qui tue pour la simple raison qu’elle aime ça, mais aussi pour tenter d’oublier peut etre la dose de malheur qu’elle avait cumulé. Oui je parlais bien de moi et je ne connaissais pas cette facette de mon amie ce qui me déçue un peu, mais cela devait être tout a son honneur. Surement … Je n’en sais rien… C’est dans un soupire prononcer que je regardais dans qu’elle direction elle partie. Son manège du passé ne m’impressionnait guère. J’avais comme ce sale gout amer dans la gueule, ce sale gout qu’on a quand quelque chose vous contredit grandement. Je me couchais sur l’ours mort, les yeux plonger dans son poil. Non je ne la suivais pas, pour la simple raison que je ne comprenais pas pourquoi elle faisait tout cela. J’avais toujours était contre donner des runes à des HellChild, cela aurait était mieux d’aidé des Loups normaux avec le pouvoir des Runes. J’avais toujours considéré cette objet comme un objet de triche, voila pour je ne m’en servais que très rarement, plus pour les entrainements, histoire de savoir comment elle fonctionne réellement. Je regardais le ciel qui se couvrait de plus en plus a tel point que de la pluie fine en tomba. Pour des moments d’été il faisait étrangement froid en ce moment, j’avais entendus dire qu’au sommet des montagnes, de la neige retomber. C’est étrange quand ces dernières ne font pas partie du territoire de Sibeska. Bref, la gueule complètement trempé, je me relevais, à croire que cette pluie m’avait rafraichit l’esprit. Je repris la route que la Veuve Noire avait empruntée pour son combat… Prononcé ce mot alors qu’elle sera plus qu’aider par une rune m’arracha pratiquement la gorge. Elle pouvait arriver à battre ces ours à sa façon, j’en suis persuadée… Mais sans cette Rune qui la détruit a petit feu sans qu’elle s’en rende forcément compte. Je marchais lacement me disant que je n’avais rien à faire la bas. Quoi ? Je devrais l’applaudir ? Mais surement pas ! Je ne suis pas ainsi. Je l’aurais fait si elle n’avait pas cette pierre qui pendait à son cou. Je sentais son odeur tout comme l’odeur du Loup, je ne me pressais pas et trouverais un moyen pour la remettre en place. Cette Rune nous pompe de l’énergie sans que nous le sachions et je veux qu’elle arrête de l’utilisé. Bientôt ca ne sera plus elle qui la contrôlera et qui l’utilisera quand elle voudra, ca sera l’inverse, voila pourquoi j’emprisonne la mienne et ne la laisse pas prendre possession de moi. Je ravalais ma salive et observa le champ de bataille et repensa au combat que je venais de menais face a ces deux ours. Elle pouvait avoir un temps d’avance face aux coups de son adversaire grâce a sa rune, mais apparemment elle ne savait pas totalement s’en servir ou du moins utilisé tout les atouts de cette dernière. Comment je remarquais cela ? Simplement quand je perçue le violent coup de patte qu’elle se prit dans la croupe. J’avais serré les crocs, qu’es que ca doit faire mal ca ! Alors résumons ce qu’il lui manque, la véritable prise en charge de sa Rune, l’anticipation et quoi d’autre encore ? Je crois bien que c’est tout, et je doute quand même que la Rune en soit pour quelque chose la dedans mais bon, soit… Cependant a la fin du combat, je la vis complètement hors service ce qui m’étonna et ce qui ne fallait surtout pas etre a la fin de tout combat. Grave erreur, je me tapissais contre le sol et la contourna en silence, l’odeur de sang couvrait un minimum mon odeur mais ce qui m’arrangea c’est que sa Rune n’était pas non plus un radar. Elle savait que j’étais là certes mais pas a quel endroit. Je me retrouver à sa gauche, prenait appuis sur mes pattes arrière pour que mon saut soit plus puissant. Arrivant sur elle, la bousculant et la plaquant a terre, de sorte a ce qu’elle ne bouge plus, en une fraction de seconde ma gueule se retrouver sur ses cotes prête a lui en casser quelques une. Ne lui faisant rien subir a part le plaquage, je me reculais et me contenta de la regarder.

    - Ta rune te prends de l’énergie, cesse de l’utiliser, ou alors ne l’utilise pas constamment. Si un autre ours était là, il t’aurais transformé en charpie et je pense que tu en aurait était bien moins fière !

    Mon défaut ? Ne pas lui dire qu’elle avait bien évolué ! Mais elle me connaissait et savait donc je lui dirais ses défauts mais pas ses qualités, même si je les remarquais et qu’elles se voyaient comme la truffe au milieu du visage. Je pense qu’il cela ne sert strictement a rien de dire les qualités des gens, ils considèrent par la suite qu’ils n’ont pas ou plus besoin de faire d’effort ce qui est complètement faux. Par contre, dire ce qu’il ne va pas servira aux Loups, tout simplement parce que les plus intelligent d’entre eux chercheront à corriger leurs erreurs et les plus cons le prendrons mal.


[Bon tant pis je voulais faire plus long mais ton autre topic me donne trop envie d’y répondre xD]
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