Dans le désert ardent et crevant des terres de Sarique, une silhouette marchait la tête haute, comme si la chaleur ne l'avait jamais gêné et qu'il était ici comme il aurait pu être dans une prairie. Sa foulée était grande et imposante, tout son être inspirait noblesse. Ses mouvements étaient fluides et son regard argent ne quittait pas l'horizon. Il marchait droit devant lui, peut-être ne cherchait-il pas à savoir où il allait, même peut-être essayait-il de se perdre pour se livrer à une mort douleureuse et infinie. Le mystère de ce que recherchait cet être restait intacte. Son ombre s'élançait sur le sable roux, ce dernier s'envolait par bourrasque dans les airs et la fourrure du loup semblait briller avec celui qui s'était incrusté dedans. C'était un jolie paysage et même charmant s'il n'avait pas les vertus d'être mortel, des dunes, rien que ça, des dimants roux et jaunes a perte de vue, et même les mirages pouvaient apportés une touche fantasiste de beauté. En faites, le désert était un lieu magique si l'on savait le regarder du bon oeil.

C'était pour cette raison que Physalis aimait aller souvent en ce lieu. Quand il y réfléchissait, il se demandait parfois s'il n'aurait pas préféré être Sakarite, mais il savait qu'il avait vraiment sa place chez les Devils, et qu'il adorait faire partie de cette meute. Mais s'il venait à se faire bannir, ce qui n'arriverait surement pas, c'est ici qu'il viendrait se receuillir. Il connaissait ce lieu par coeur, où était son oasis, les petits secrets qu'il renfermait, il l'appréciait vraiment. Le loup eut un léger sourire, presque heureux, son pelage doré flamboyait sous le soleil lumineux de Sarique. Enfin il remarqua un rocher enseveli a moitié sous le sable. Il passa un coup de patte dessus pour dégager le grains et se coucha dessus, la tête sur les pattes, le regard vif, les oreilles droites.

[ Désolé du retard, j'étais en Allemagne =) ]

Physalis était là, sur son rocher, il observait le désert, ce calme et ce vide qui dissimulait bien des choses, des détails que les gens pressés ne prenaient pas la peine de découvrir. Le ciel d'un bleu azur sans nuage laissait les rayons du soleil pénétré clairement sur le monde. Le désert, quand on l'obervait ainsi globalement, semblait fumant, et di l'on posait la patte dessus, ce qui était presque véridique, on pouvait croire alors que celle-ci fonderait. Le sable semblait un océan de diamants bruns, il scintillait et renvoyait les rayons de l'astre diurne, ce qui engendrait les mirages. Physalis devait être l'unique personne au monde a les apprécier, ces mirages. Il ne voudrait que de vivre que de ça, dans un monde où la réalitié et l'irréalitié se mélangerait. Un monde de fou, surement, mais l'esprit de Physalis n'était pas de splus clair. D'ailleurs, il s'évrait aussi être très contradictoire, et quelques instants plus tard il pouvait défendre l'idée qaue les mirages étaient nuisibles, son cerveau qui ne cessait de réfléchir et d'émettre des raisonnements changeaient beaucoup d'avis. C'était là le plus gros défaut du Chef des Planificateurs, il ne savait se stabilisé sur un jugement concret et fondé, ce dernier ne cessait de vacciler entre un argument et un autre.

Ses yeux argentés distinguais les rares êtres vivants qui résidaient dans ce lieu de mort et d'errance. Une gerboise plus loin,un serpent à sonnette émergeant du sable, mais il fut surpris de voir ce genre de créature dans le paysage. Une louve, là qui marchait de tel façon que l'on sentait qu'elle avait un but et qu'elle ne rrait pas comme on aurait pu croire se rapportant au nom de ce lieu. Un sourire se dessina sur les lèvres du loup au pelage ocre, doré sous les rayons du soleil. Il aimait autant la solitude et le silence que la compagnie d'une louve, jolie en plus. Il bondit légèrement de son rocher et atterit mollement sur le sol friable. Il pensait pouvoir marcher dans une direction de façon à croiser le chemin de l'inconnue. Rapidement, sa silhouette était plus net et il pu presque la décrire, grande, élançée, musclée et belle. Le genre d elouve que l'on rencontrait un peu partout chez les Devils désormais, et elle devait surement l'être. Soudain, sans que lui même ne s'en aperçut, il fut très proche d'elle, et son ombre la frôlait. Il ne lui barra pas la route, il ne fit rien, vu sa détermination à aller droit devant, il aurait été une erreur de lui barrer le chemin. Non, Physalis restait silencieux, mais sa présence était impossible a ignorée, c'était un personnage noble et imposant.