>.La louve gracieuse marchait avec telle une élégance que seule les anges portait.
Sa démarche silencieuse montrait aussi bien ses abilitées.La veuve noire était venu ici
pour effectuer ce que son rang le lui demandait de faire tres souvent.Un rang
quand meme assé dur car il lui fallait la ruse,déception,mensonge et etre assé belle
et savoir ce que les males veulent entendre.or pour White Raven,la devil au sang pure,ceci n'était
aucunement dure.Ceci était actuellement un de ses passe-temps favori!

>.La petite louve blanche avanca doucement dans l'herbre couverte de ses fleurs
qui sentait un parfum innommable...une fragrance inconnue a cette louve.
Car sur les terres Devil,Raven' ne pouvait sentir que le sang...l'odeur
favorite de cette louve blanche.La femelle avait seulement 2 ans et
une petite demie!Et elle fesait cette tache dangereuse.Surtout lors des chaleurs!
C'était la facon parfaite pour justifier ce qu'un male pourrait lui faire.
Car c'est elle qui en aurait séduit.

>.White' ne voyait aucun point dans l'amour serieusement.Tu aime un loup par exemple...
soit il va aller aimer une autre louve,soie il meurt ou soie il te déserte apres 2 jours.
A la fin,presque tout meurt avec l'age ou tué par un loup ou louve,comme elle,de la meute opposé.
Bien les amoureux devait faire attention,surtout les males.Il tomberait peut etre dans son piege
assé bien pour déserter son amoureuse.Et apres,elle avait simplement a le tuer et elle aurait
bien servit sa meute.Un jeu si simple que sa mere lui avait faite part.

>.Ses yeux rouge se posere sur une silhouette au loin,alors elle garda sa personnalité,tout en
masquant son odeur.Si il la sentait,simple excuse:elle avait été espionner sur les terres Devil et
avait du prendre leurs odeurs pour infiltrer!
*On va encore jouer un peu!*

>.....<

Oromis n'appréciait pas beaucoup la plaine fleurie. Oh, il savait apprécier la beauté des choses et en tant que chasseur, il se sentait très proche du monde en général. Il respirait en même temps que lui.
Non, ce qu'il n'appréciait pas là-dedans, c'était l'odeur. Les senteurs fortes des végétaux brouillaient son odorat, et pour lui, c'était comme se retrouver aveugle.
C'était horriblement agaçant, mais il s'en accomodait, impassible, toujours silencieux et immobile. Imperturbable.
Le mâle ne se trouvait bien évidemment pas ici par plaisir. C'était exactement le genre d'endroit où on pouvait s'attendre à ne pas le trouver.

Oromis avait été assez touché par la récente bataille entre les Angels et les Devils. C'était la première fois qu'il participait à un combat de cette envergure. La profusion d'odeurs, de bruits et de mouvements l'avait au départ complètement déboussolé - il était habitué au calme et à la solitude de la forêt - et, même s'il s'était rapidement habitué, cela l'avait tout de même gêné lors de ses différents combats.
A présent, une seule chose l'intéressait. Etre. Vivre. Ressentir. A la perfection.
Oromis était un excellent combattant, mais ce n'était qu'une conséquence de la vie qu'il menait. De ce qu'il était. Lui, ce qui l'intéressait, c'était de ne faire qu'un avec le monde, de faire battre son coeur au même rythme que lui, d'être partout et nulle part à la fois, de découvrir tous les secrets du monde. D'Etre tout simplement. C'était sa définition de la vie.
Et après ces rudes batailles - dont il avait tiré un cicatrice sur la croupe, pratiquement invisible - il avait décidé de se lancer à corps perdu là-dedans. Il tendait à l'harmonie. Et à rien d'autre. C'était sa voie, et il comptait bien ne pas s'en écarter.

Le loup blanc-crème était assis sereinement au milieu des fleurs, les yeux fermés. Dans cet endroit qui gênait son odorat, il voulait quand même réussir à décrire ce qui l'entourait, sans le voir.
C'était un bon moyen de perfectionner ses sens.
Il sentit une femelle approcher quand elle-même posa son regard sur lui, mais son nez ne lui permettait pas d'en dire plus sur cette inconnue. Tentant de séprarer son odeur de toutes les autres, pour les oublier et les reléguer loin dans son esprit, il parvint tout de même à sentir l'odeur des Angels sur elle, bien qu'un peu bizarre.
Il ne s'étonna pas de ce fait outre mesure, considérant qu'il devait s'agir des interférences produites par les senteurs fortes des fleurs.
Il ouvrit ses yeux dorés et les posa sur la silhouette qui, à présent, n'en était plus vraiment une.
La louve était là.