Physalis fut surpris, en réalité, il s'attendait à devoir se battre avec elle, il croyait que la rage de s'être fait ainsi plaqué par un loup en qui elle commencait a avoir confiance la ferait libéré ses talents de guerrière et en profiterait pour se venger. Mais non, elle restait sur le sol, et Physalis voyait bien qu'elle était blessée au plus profond d'elle même, elle était déçu, son épaule blessé ne devais pas être grand chose par rapport à ce qu'elle ressentait au fond du coeur. Lui, par contre, ne savais comment réagir, il s'approcha doucement puis renonça, craignant que cela attise sa haine, il resta donc immobile, asse proche d'Aranelle. Ses oreilles étaient rabattus sur le crâne, et ce n'était pas contre la jolie louve, c'était contre lui, il s'en voulait de ne pas avoir réussi à tenir, ce n'était pas compliqué pourtant. Et pourquoi avait-il fallu que ça arrive alors qu'il appréciait cette louve ? Il secoua la tête, ses yeux argentés qui habituellement scintillaient de plusieurs lueurs malicieuses et pleines de vies étaient ternes, éteintes et le seul sentiment que l'on pouvait y lire était le désolement, les remords et la culpabilité. Physalis finalement fit quelque pas en avant dans la direction de la Veuve Noire, ouvra la bouche pour dire quelque chose. Le silence s'éternisa un peu, puis il prit le courage de parler :

- Aranelle, je suis sincèrement désolé, ce n'est pas moi qui l'ai fait, enfin si, mais je ne le voulais pas, c'était totalement involontaire ...

Ridicule, on avait l'impression qu'il se plaignait sur son sort et cela ne remonterait pas son estime. Physalis poussa un soupir, les oreilles cette fois-ci baissées et la queue basse. Il avait aussi la possibilité de dire qu'il était fou, mais cela n'avancerai à rien, ce qu'il désirait, c'était resté avec Aranelle et ne pas la faire fuire, il espérait qu'elle pourrait alors comprendre que chaque être à ses faiblesses, et qu'il est parfois difficile de les dissimuler tout le long de notre existence. Mais pourquoi fallait-il que cette faiblesse fasse son aparition un tel moment ....

- Aranelle, s'il te plaît, écoute moi, regarde moi, est-ce que je te veux du mal ? Tu crois que je te dupais en parlant ainsi avec toi ? Pour moi, cet instant que j'ai vécu avec toi en parlant de tout et de rien était un des meilleurs de mon existence, s'il te plaît, je ne veux pas qu'il soit ainsi gâché par ma faute.

Il avait réussi à contrôlé sa voi, détestant que celle-ci soit plaintive et " faible ". Il avait dit ces quelques paroles sur un ton grave, emplie de mélancolie et de regrets. Il lui demandait le pardon, c'était rapide, les explications n'étaient pas vraiment claires car lui même il ne savait pourquoi il avait soudainement des envies de meurtres qu'il ne pouvait pas toujours retenir. Finalement il s'approcha tout proche de la louve blanche, peu importe si alors elle s'en prenait a lui, et laissa son souffle chaud s'etendre sur son cou. Il plongea son regard dans le sien, si beau et si rare.

- Aranelle, si tu le désire, déchiquete et détruis mon épaule comme je viens de te le faire, mais du peu que je connaisse de toi, je sais que tu ne le fera pas, parce que tu es une personne intelligente, vive et que tu saura comprendre si tu es met du tien. Si non, ce sera à mon tour d'être déçu et je partirai, je te laisseria pour ne plus jamais te causer de tords.

Son coeur se serra quand il vit les larmes ruisselées le long de sa joue et de son pelage. C'était lui, vraiment lui, la cause de ses pleurs ? Il avait déjà fait naître en une personne de la rage, de la haine, de l'adoration, mais jamais des larmes aussi sincères, et il savait qu'elle ne jouait pas l'actrice comme pouvait le faire une Veuve noire, non, c'était bien réelle. Il aurait voulu le lui sécher, mais il n'osait plus la toucher, la seule chose qu'il pouvait faire c'était la regarder, l'admirer. Il n'avait pas peur quand frôlant ou en rentrant en contacte avec son corp il soit de nouveua pris par sa folie et qu'il lui fasse du mal, mais il la respectait trop pour pouvoir après son erreur avoir le droit de poser la patte sur elle. Mais ce qui étonnait le plus Physalis, c'est qu'il ne se reconnaissais pas, jamais il avait pensé un jour être dans une situation de ce genre, il serai parti, avec une autre personne, la laissant à son triste sort, il n'avait pas peur de se faire des ennemis, mais l'affection qu'il avait pour elle l'empêchait de faire demi-tour, il voulait qu'elle le prdonne, qu'elle le comprenne et après avoir compris la vérité, qu'elle fasse ce qu'elle veuille. Mais elle voulait qu'il explique, qu'il explique ce que lui même n'arrivait pas à comprendre, c'était trop dur de poser des mots sur des sentiments qu'il n'arrivait même pas à cerner, comment pourrait-il ...? Mais il le fallait, pour elle, il en ferait l'effort pour ne pas la perdre. Son regard terne fut alors animé d'une petite lueur qui lui redonna un peu de vie, il était déterminé.

- Mais pourquoi penses-tu que tout cela se rattache au fait qu'on veuille te tuer, te faire du mal ou que tu embêtes ou exaspère quelqun ? Ca aurait pu être Baphomet, une autre louve, mon fils, je n'en ai pas évidament, ma mère, j'aurai fait de même, c'était un geste incontrôlé pas parce que l'on m'énervait ou que tes propos ouvrait des blessures ou engendrait des sentiments mauvais, c'est juste parce que ....

Parce que quoi ? Pourquoi avait-il comme ça, il pouvait expliquer le fait de ne pas s'être contrôlé, que ce n'était pas volontaire, mais il ne pouvait expliquer pourquoi. Il avait compris qu'elle insuait la scyzophrénie, mais ce n'était pas ça, car il avait bien conscience de ce qui se passait quand c'est arrivé, la scyzophrénie, il se serait sentit mal et ne se souviendrait pas si bien des sentiments éprouvés pendant l'acte. C'était un surplus de tension, de manque de sommeil, de manque de nourritures, mais ceci ne suffirait pas à expliquer. Il regarda Aranelle et de son regard la supplia de cesser de pleurer et de se relever, il ne supportait pas ainsi de la voir. Il recula sa bouche de façon à qu'il n'ai plus aucun pouvoir sur sa gorge et baisse les yeux.

- Je ne sais pas. Je ne peux t'expliquer ce que je ne comprends pas. C'est .... Incompréhensible, je voudrai que tu puisses ressentir ce que je ressens et là, tu comprendrais, mais je ne peux le décrire, il faut le vivre pour savoir, les mots sont trops insuffisants pour décrire ...

Il poussa un long soupir. Il n'avançait pas, il restait sur place, la seule chose qu'il avait réussi a faire comprendre c'est qu'il n'arriverait pas à expliquer, ce qui n'avancerait pas les choses. Peut-être alors devrait-il lui demander d'oublier ? Mais elle n'accepetrait pas, elle semblait déterminée à savoir pourquoi il lui avait fait du mal, peut-être parce que son affection était la même qu'il lui portait et qu'elle voulait le croire " différent " des autres. C'était une situation délicate, vraiment.

- As-tu peur de moi désormais ?

Ce fut un énorme soulagement pour Physalis quand il comprit qu'elle le pardonnait. Tellement de remords et de mépris pour lui même l'aurait alors hanter si elle n'avait pas accepter ses explications vagues et très peu précises, il aurait porté dans l'âme l'angoisse de ne plus jamais être le loup de sang froid qu'il avait toujours été, certe il le craignait déjà depuis cet évènement mais le fait qu'elle l'ai absous apaisa déjà un minimum ses doutes. Elle gardait ses yeux émeraudes ancrés dans les siens mais cela ne le déstabilisa pas, il ne détourna pas le regard, au contraire, il le gardait plongé dans celui de la louve blanche et y faisait passé avec intensité un sentiment de gratitude et d'affection. Puis il les dévia de cette horizon pour les porter vers les mouvements en général d'Aranelle. Il la vit s'approcher et quand elle fut assez proche de façon à qu'elle lui frôla le museau il eut un léger mouvement de recul du a la méfiance qu'il avait à son porpre égard. Il était très calme, mais il savait désormais que cette pulsion dangereuse pouvait survenir à tout moment. Et même s'il avait eut la preuve que ce n'était pas au contact physique qu'elle se déclenchait, il préférait se méfier au cas une approche avec un corp chaud pouvait réveiller en lui ce " démon " .

- Des loups ont voulus ta mort ? Donne moi tout de suite les noms que j'aille leur apprendre ce qui l'en vient quand l'on a d'aussi mauvaises intentions à l'égard d'une si jolie damoiselle.

Il eut un sourire amusé, il avait compris qu'elle avait tenté de détendre l'atmosphère et en faisait de même malgré le gêne qui subsistait encore en lui. Il eut un sourire. Ces sourires habituels dont chacun est à comprendre et à apprendre, l'un pouvait être haineux et sadique, l'autre amusé et curieux, un second contrarié et surpris et tant d'autre encore. Tous ses sentiments paraissaient dans ses lèvres. Ses yeux argentés, eux aussi était engendreur de bien des confidences, mais ce qui passaient par eux était différent. Il ne répondit pas à la remarque d'Aranelle, comme quoi il lui était impossible de la battre, sa fierté, s'il s'enfoncait dans le sujet , pouvait peut-être prendre un coup et ça virerait mal, Physalis connaissait ses défauts et tentais de les dissimuler le mieux possible, même si il savait qu'elle avait dit ça dans le but de le détendre.

- Bon, je crois que si je veux que ce malheureux évènement ne se répète pas en ta présence il faut que je mange. Je te propose que l'on chasse rapidement sauf si ça te dérange, je suis capable de tenir encore longtemps mais dans état de nervosité.

[ O_o tu complimentes vachement mon loup xD ]

Elle était déçu de ne pas entendre de la bouche de Physalis une de ses phrases qui nous entrainais dans un débat morale ? Disons, que Physalis ne pouvait être toutes la journée un loup parfait chaqun avait des faiblesses, et même s'il ressemblait parfois à un Dieu, il en avait, aujourd'hui, il avait faim. Et s'il ne mangeait pas rapidement, la belle ne devrai pas alors se plaindre d'avoir la deuxième épaule en mauvais état. En effet, il aurait pu faire un commentaire sur la petite remarque prétentieuse d'Aranelle mais il avait eut des raisons de ne pas le faire qu'il défendait encore même si c'était un personnage lunatique et contradictoire. Il était encore par torublé par les évènements antécédants mais tentait de le dissimuler le mieux possible, laissant apparaître sur ses lèvres ces sourires habituels qui représentaient en partie ses ressentiments. Quand il y réfléchissait, il aurait fait une excellente Veuve Noire, mais chef des Planificateurs lui allait très bien, il n'allait pas se détacher du grade qu'il avait lui même créer. Physalis ne pouvait détacher son regard de la silhouette de la louve blanche. Elle était incroyablement belle, évidament, son grade l'aidait mais, il avait rarement vu des yeux émeuraudes aussi profonds et intenses, et cette façon de voir le monde, peut-être même avait-il trouvé son double en féminin. A cette idée un second sourire apparut sur ses lèvres se mélangeant au premier. Ce serait absurde, il était bien trop unique pour qu'une personne, même Aranelle, se révèle être similaire. Mais elle méritait une grande estime de la part de Physalis, d'abord pour sa personalité, ce qu'elle était mais d'uatant plus quand elle l'a pardonné, là dessus elle avait, sans surement le saoir, gagner beaucoup de confiance. Cette confiance qu'il n'avait tendance à ne jamais confier, tellement la chose était précieuse, mais qu'il avait accepté de faire découvrir à une louve qu'il ne connaissais pas si longtenmps qu'on pourrait le croire mais qui avait su en quelques gestes et paroles l'éblouir. Les rôles s'étaient inversés. D'habitude, c'était Phys' qaui éblouissait les gens, aujourd'hui c'était elle qui le fascinait.

- Alors je serai ce vent et j'irai mettre un terme à leurs vies pour avoir tenter d'en mettre un à la tienne.

Cette fois-ci Physalis se surpris lui même, qu'il ai dit cette phrase ne le gênais en rien, mais c'était sur le ton qu'il l'avait déclaré, ce ton qu'il n'avait pas pensé à contrôler s'imaginant qu'il serait neutre et un peu mystérieux comme toujours. Mais quand il entendit le son de sa voix, son étonnement apparut dans son regard. Les intonations étaient sincères, franches, emplie de tendresse et d'estime. Jamais il n'aurait voulu faire parraître tout ceci au grand jour et cela, déqsormais l'énervait plus que le surprenait. Il détestait laisser parraître ce qu'il ressentait, et voila qu'Aranelle venait d'en avoir une partie. Mais que lui arrivait-il ? Pourquoi n'arrivait-il pas à être calme, lui avec elle, pourquoi ses paroles étaient parfois mélangés, ses raisonnements embrouillés, sa voix déformées et son regard son regard si intense ? Tout ceci déstabilisa légèrement le loup et il marcha à côté de la louve pour la chasse. Il espérait qu'elle n'avait rien remarquer, sinon, il craignait qu'elle fasse une remarque sur son étrange comportement de l'instant . Mais ce que monsieur eexpert en tout sauf en sentiment n'avait pas compris, c'était le regard qu'avait déposé Aranbelle sur lui, sa façon de le pardonner et de vouloir détendre l'atmosphère, il était tellement renfermé sur lui même, sur ses doutes et remords, sur sa personalité, qu'il n'avait même pas compris qu'elle aussi tenait à lui comme il tenait à elle. Il ne vit pas aussi, le magnifique sourire qu'elle lui offrit sans qu'il ne soit forcé ou autre chose, un sourire franc et éclatant, il le vit, mais ne le compris pas, c'était une habitude pour lui de recevoir des sourires des jolies louves, mais il était aveugle. TRop fier, peut-être, ce pouvait-être ceci car Physalis l'était. Quoi qu'il en soit, brusquement il aurait voulu se séparer de la louve histoire de se calmer légèrement car avec tous les dérapages qu'ils venaient d'engendrer en sa présence son esprit était légèrement ébranlé. Mais il voulait rester à ses côtés, sentir sa présence, entendre sa voix, comprendre ses paroles et profiter de son regard unique.

- Faisons la rapide, un lapin, une gerboise même suffirait à me rassasier, je n'aime pas passer du temps à chasser. A croire que l'on vit pour manger. Certains chasse, mange, dorme et recommence le procécus, je ne pourrai vivre d'une tel façon, c'est d'ailleurs pour cette raison que souvent je ne mange pas pendant des jours. Quand je pense que j'étais chasseur autrefois !

Cela lui arrachait un petit rire étouffé et bref. Oui, il était chasseur autrefois, et il se souvient encore de quelle façon il avait abusé de Baphomet, il avait rejeté tous son côté oripilant sur lui, et la façon dans l'ancien dominant l'avait reçu avec snag froid l'avait fasciné. Il avait vraiment beaucoup aprécié Baphomet même si rien n'e laissait parraître, pour ce qui était de DreamCatcher, il ne le connaissait pas, mais si un jour il venait à le rencontrer, il tenterait de faire bonne impression même si la présence d'être supérieur lui apportait toujours de l'insolence et de l'arrogance. Alors qu'il pensait à ses souvenirs charmants, une odeur de gibier lui stoppa net les idées. Son estomac fit un bond dans son ventre, peut-être ne faut-il pas vivre pour manger, mais il faut par contre manger pour vivre. Rapidement, d'un coup d'oeil il fit comprendre à Aranelle qu'il avait repéré une biche, ce qu'elle avait du aussi sentir. Il avait voulu une gerboise et un lapin et voila qu'il tombe sur une biche. Il leva les yeux au ciel, pourquoi la nature agissait toujours contre ses désirs ? Le loup partit vers la droit, il fallait prendre la proie de deux côtés et ne pas l'attaquer de face, la louve ferait fuire la bête vers lui et il la prendrait en plein fouet, ensuite ils l'achèveront.

[ Nyah, moi aussi j'adore ta louve =) ]

Physalis s'était élancé rapidement et agilement à travers le petit bois, sans un bruit, tel un vrai chasseur, ce qu'il avait été. Oui Aranelle avait raison, il n'aimait pas chasser mais son ancien grade l'y obligeait, plus il y pensait, plus il découvrait que c'était réellement un loup contradictoire, mais c'est ce qui faisait son charme et sa personalité qui avait sur plaire à Aranelle. Il était vraiment, spécial, mais différent surtout, différent des autres Devils, moins agressif, moins méfiant, moins sanguinaire quoi qu'il était dans la grande capacité de l'être, mais il n'aimait guère jouer le jeu du puissant Devil méchant et stupide. C'était un penseur, actif, redoutable dans un combat. Les Planificateurs n'étaient pas que des loups qui envisageaient des plans, c'étaient aussi de redoutables guerrier qui avaient la connaissances de toutes les techniques de combats. Oui, il était fier de ce grade, il faudrait d'ailleurs qu'il fasse une réunion ou un entrainement, histoire de voir qui étaient dans ses rangs. Physalis secoua la tête, il était en train de chasser mais ses idées étaient autres que de se concentrer sur sa proie, une erreur qu'il n'aurait pas faites autrefois. En plus de tous ces petits défauts il fallait désormais qu'il rjaoute tête en l'air. Désolant. Enfin, le loup trouva un petit coin parfait derrière un buisson, son regard fixer sur la biche, elle semblait parfaitepour un déjeuner à deux. Il regardait les mouvements d'Aranelle, toute sa finesse et sa puissance mise en mouvement, de loin, quand elle bougeait ainsi, on reconnaissait bien là la beauté diabolique et la puissance fascinante des Veuve Noires. Mais il fut surpris de voir la biche se méfier, il n'entendait pas les bruits d elà où il était et ne savait pas qu'une bête avait attiré l'attention de la proie, il crut que c'était de la faute d'Aranelle et leva les yeux au ciel. Ce devait être son épaule, il n'y était pas aller de main morte ( de patte morte ? xD ). Mais la louve blanche avait bien ratrappé son cou et bientôt la biche se précipita vers lui. Physalis se replia sur lui même, ne détachant pas des yeux son déjeuner et d'un bond souple il sauta sur elle. Rapidement il lui atrappa la gorge, point sensible, et après un peu de rodéo, l'animal s'affaisait et tomba au sol, ayant bien pris prise dans sa chair, Physalis avait tenu jusqu'au bout. Puis il se détacha et lança un petit sourire à Aranelle.

- Certe, je n'aimais pas ce grade ni de ce que j'en faisais, mais les gênes qui m'en restent me sont toujours utiles.

Il baissa les yeux sur le cadavre ensanglanté. Ce n'était pas son bon jour, et conseil pour le gibier, ne jamais être dans le même coin que Physalis. Mais il ressentait une certaine mélancolie à tuer ainsi, de la sorte. Ce n'était pas une petit fleur bleue, loin de là, mais a chaque fois qu'il achevait un cerf, un sanglier ou un lapin, il avait la mauvaise manie de se mettre à leur place. D'imaginer la peur qu'ils ont ressentis, leur espoir de courir pour échapper à la mort alors qu'ils savent déjà que tout est perdu. Des enfants, ils en ont surement, des parents aussi, et même des amis, désormais, ils n'étaient plus rien et terminerai dans l'estomac d'un prédateur affamé. Physalis haussa les sourcils, il fallait absolument qu'il arrête de devenir trop émotif et qu'il ne pense plus à cela. Il poussa un soupir, se faisant à lui même la morale puis se retourna une nouvelle fois vers la jolie, la belle, la grande louve blanche.

- C'est triste , non ? La loie de la vie ? Cette bête aurait décidé de brouter dans un autre lieu, peut-être serait-elle encore en vie. Nous tuons pour manger, et eux, il n'ont pas besoin de faire couler le sang pour se nourrir. Nous sommes des êtres de guerre et de sang, je comprends pourquoi cette guerre entre les Devils et les Angels ne cessera jamais, nous sommes fait et nous aimons nous battre, nous sommes constitué de sang chaud, le sang est notre vie, le combat aussi, la paix n'a pas été crée pour les prédateurs.

Quand il entama ce petit discours sans la moindre lueur mélancolique, mais plutôt rageuse, il ne regardait pas la louve, il parlai presque dans le vide, comme si il pensait tout haut ce qui était en partie cela. Il s'adressait au commencement à Aranelle, mais ses pensées avaient dérivés et il était prêt à faire un long discours sur la guerre et les loups. Mais il s'était repris pour ne pas divaguer dans ses jugements et explications tordus et s'était tu. Quand il revint en quelque sorte à lui, il semblait dur comme le roc, les sourcils légèrements froncés, le regard froid, les oreilles droites et la tête haute. Il semblait contrarier énervé par quelque chose. Voila qu'il y a un instant il se plaignait d'avoir faim et maintenant que le repas était là, sous ses pattes, il n'y pensait plus. C'était les difficultés de vivre en compagnie de Physalis pendant plus d'une heure. Il s'avérait être très étrange, incompréhensible et lunatique, surprenant dans le mauvais sens du terme. Puis il parla d'une voix froid, mais ni agressive ou méfiante.

- Viens Aranelle, retournons près de la rivière de sang, je n'aime pas ce lieu.

Physalis ne se comprenait pas, ce changement brusque de ton et d'habitude, il savait à quoi il était du, mais pourquoi n'avait-il pas garder son sang froid, comme il s'avait si bien le faire ? Tout cela commençait à l'énerver et il savait que c'était de même pour Aranelle, la louve ne semblait toujours pas comprendre qu'elle était tomber sur un loup, les premières minutes profonds, intéréssants et fascinants mais qui par la suite s'avère être lunatique, mystérieux et violent. C'était en quelque sorte la double personalité de Physalis, et il la dissimulais quand il voyait des gens, sachant que ses rencontres ne duraient pas longtemps, or, là, cela faisait un long moment qu'il était en compagnie d'Aranelle. Et il s'en voulais d'avoir fixer ainsi l'animal et d'avoir parler tout haut, il n'aimait pas que l'on sache ce qu'il pensait, cette louve à la fourrure d'ivoire lui faisait de l'effet, mais pas forcément dans le bon sens du terme, elle le déstabilisait intérieusement et l'insitait presque, involontairement, à être lui même, mais tôt ou tard, elle devrait, si elle voulait rester avec lui, connaître et supporter sa vrai nature. Entre temps, alors qu'il s'était mis à marcher a côté de la Veuve Noire pour qu'ils retournent près de la rivière de sang, sans faire un commentaire sur le ton dur et froid qu'il avait employé, il jeta une regard en arrière sur la biche. Il poussa un soupir et lança des éclairs amusés à la louve :

- J'imagine que c'est au chasseur de se trimballer le repas pendant le trajet ?

Il sourit, et s'en retourna sur ses pas pour trainer la proie jusqu'à la louve et continuer le chemin, il laissait une longue marque de sang sur le sol, mais cela ne le dérangeait pas, la seule chose que ce pouvait faire c'était attiré des loups, ce qui n'arriverait pas, après tout c'était la rivière de sang, pourquoi ne pas barbouillé ses alentours de la même matière ? Puis il resta silencieux, sa fourrure salie par le travail frottant ou frôlant celle blanche et immaculée de la louve. Mais même s'il n'y avait pas fait de remarques, Phys' avait bien remarquer qu'elle souffrait beaucoup plus que prévu à son épaule, même si elle s'était repris très rapidement, digne d'une bonne Veuve Noire, il avait remarqué de ses yeux vifs qu'elle avait eut un moment bref de faiblesse. Il savait reconnaître ce genre de chose, et puis de toute façon, elle devrait attendre d'être près de la rivière pour qu'il parle étant donné qu'il avait la bouche pleine. Enfin arrivé, Physalis semblait plus détendu comme s'ils avaient évités un grand danger, ou répondu aux caprices du beau loup . Non. Il en était capable mais pas avec elle, il commençait tout juste à la respecter et comptait aller plus loin. Il laissa la biche tomber sur le sol en un bruit sourd et s'ébroua laissant des perles de rubis giclées dans les airs, certaines atterrissant sur le pelage immaculé d'Aranelle. Il eut un sourire malin, s'autorisa une petite bouchée de chair et ramena son regard argenté vers elle :

- Tu devrais voir un emputeur, même si ceux-ci seraient tentés de te couper la patte, je n'aime pas l'idée que ton épaule demeure dans cet état par ma faute. Où si tu préfère, je pe te soigner ... Je me débrouille assez bien, mais il n'y a aucune délicatesse ni douceur dans mes gestes, mais ne me dit pas que ça va ou que ça va guérir tout seul, ou je te bottte le cul je sais très bien que ce n'est pas vrai !

Son regard fixait le sien, puis partait sur épaule pour encore une fois revenir sur ses beaux yeux émeuraudes ainsi de suite pendant ses paroles. Il semblait tellement insistant, et il savait qu'Aranelle avait conscience que ce n'était pas une petite blessure, il pouvait comprendre qu'elle n'aimait pas montrer ses faiblesses comme lui détestait le faire, mais si c'était pour ne pas remuer le couteau dans la plaie, ce n'était pas important, ce ne pouvait remuer que ça plaie, pas la sienne qui avait déjà cicatrisé, pour lui, cétait déjà du passé.

Un minimum vexée par le ton employé par le dieu sur patte qui venait de me rejoindre dans ma marche hautaine et sûre, j’arqua un sourcil lorsqu’il arriva à ma hauteur et sentit une incompréhension en lui. N’avait-il pas compris que son ton était tout de même désagréable ? Mais au fond de moi je riais, heureuse d’être en sa compagnie. Son caractère changeant me plaisait, ne pouvant pas prévoir ses pensées ou ses réactions. Et le danger de le voir attaquer… Ce loup m’apportait une bonne dose d’adrénaline à lui tout seul, chose que je sais apprécier avec parcimonie malgré mon amour du risque.

« Monsieur a deviné, les dames n’ont pas à réaliser de telles labeurs »

Ah mon air hautain et peste était bien présent dans mon regard et dans mon attitude. Mais cela n’était que de l’amusement, une envie d’embêter mon compagnon de chasse.

Lui jetant un magnifique sourire charmeur, je me retourna, levant la queue avec grâce et continua ma route sans montrer le moindre signe de douleur malgré que cela me tiraillé à chacun de mes pas. Je sentais sa fourrure frôlait la mienne au rythme de nos pas, faisant parcourir un frisson délicat sur mon échine. C’était bien la première fois que je liais des liens avec un mâle sans penser à lui briser le cœur ou la gorge !

Mais quelque chose de pesant commença à me troubler, rendant mes pas moins sûrs. Son regard était braqué sur moi… Chose qui met mal à l’aise de nombreux loups, dont moi actuellement car je ne sais absolument pas ce qui peut passer dans l’esprit du grand loup…

Je m’assis face au repas, mais alors que j’allais savourer ce magnifique repas encore chaud et juteux, Phys me conseilla d’aller voir ces barbares d’emputeurs… Avait-il tous ses esprits ? Je savais qu’il avait découvert mon véritable grade. Aucune Veuve Noire saine d’esprit n’irait voir ces bouchers de premières !

« Je préfère encore que ce soit toi qui me soigne plutôt que d’aller voir ces sadiques qui n’auraient comme autre conseil que de me couper la patte ! Même si je n’ai pas besoin de soin »

Je tira la langue avec espièglerie à ce compère qui souhaitait m’aider en sachant parfaitement que je n’aimerais pas l’idée de me faire soigner… Son manque de délicatesse et de douceur ne me gêne pas, mais c’est une question d’orgueil en quelque sorte…

Physalis rit, un rire bref court, mais franc et intense. ce n'était pas spécialement Aranelle qui avait provoqué cette réaction, mais elle en était la principale cause, juste qu'elle n'avait pas conscience du comportement qu'elle adoptait. Les dames n'avaient pas besoins de rélaiser ce genre de dure labeur ? c'était bien la phrase chipie d'une Veuve Noire ça, qu'est-ce qu'il ne fallait pas entendre. C'est comme-ci dans un combat elle demandait au mâle de combattre l'adversaire et que ce soit à elle de donner le coup final. Orgeuil et prétentiion. Il savait évidament que c'était ironique quand elle avait dit ça, mais il fallait savoir que le danger de dire des phrases de la sorte en l'air pour détendre l'atmosphère pouvait engendrer des raisonnements complexes et profonds dans l'esprit tortueux de Physalis. Mais il se retint alors qu'il avait trouvé un des sujets les plus intéréssants grace à elle. Il fallait qu'il reste concentré sur sa rencontre, et peut-être même sur ses changements de caractère qui pouvaient s'avérer dangereux ou embarassant. Il était épaté par la façon dont elle dissimulait sa douleur, ce sourire charmeur qu'elle lui envoya avec cette démarche, et elle avait essayer de lui faire croire qu'elle n'était qu'une simple guerrière, ridicule. Il repris une seconde bouchée juteuse et tendre qui retomba dans son estomac comme un bienfait de la nature et savoura l'instant ou le sang enivrait tous ses sens. C'est en mangeant un petit peu qu'il comprit à quel point il était affamé, et il se demandait d'ailleurs si ce manque quotidien de nourriture se voyait sur son corp de Dieu. Il tenta de jeter des regards sur ses côtes son dos et ses cuisses, mais tous semblait en ordre, sa fourrure épaisse pouvait dissimuler les maigreurs possibles, et les muscles aussi. Puis Phys' regarda la louve, son épaule et fit la moue. Elle avait bien raison de ne pas vouloir se faire soigner par ces brutes d'emputeurs.

- Bon d'accord, je vais faire les soins minimum, mais les planificateurs n'ont pas été créé dans le but de secourir les épaules cassées des belles et élégantes louves.

Ce qu'il fallait savoir, c'est que Physalis était un loup franc, dans ses paroles mais aussi dans ses gestes, il n'avait pas peur d'y aller franchement. Alors, sans se méfier, aucunement, il s'approcha d'Aranelle, bientô le bout de son museau sur son épaule puis appliqua sa langue rapeuse sur la plaie pour la nettoyer, il était vrai que vu où elle était placée, Aranelle ne pouvait le faire elle même. Après quelqaues coups de lèche efficace, restant silencieux, il chercha dans les buissons une petite plante contre la douleur, chantonnant un petit air. Enfin, il revint avec quelques herbes, les macha rapidement et les incrusta dans la plaie, tout cela fait rapidement et efficacement. Physalis trempa ensuite ses lèvres dans la rivière de snag et en bu un peu dans le but de faire partir le goût amère des plantes médicales. C'était tout ce qu'il pouvait faire, il n'avait pas plus de compétences sur ce point-là, et il s'enfichait totalement de la fierté d'Aranelle, il n'avait rien de mal à se faire soigner, à lui même, une fois ça lui était arrivé, après la guerre.

- Et voila, évidament, je t'avais prévenu que ça te ferait encore plus souffrir qu'avant étant donné ma délicatesse et ma douceur inexistante, mais dans quelque minute la douleur va être apaisée.

Une chose de bine de faites. Au moins, il n'aurait plus à la regarder se battre contre la souffance que lui fournissait son épaule, qu'il avait lui même endomagé en un bond. Sans le faire parraître dans le risque de se prendre une raclée, il était fier de ce qu'il avait fait, pas d'avoir blessé Aranelle, mais du coup qu'il avait porté, il avait une forte puissance dans les pates avant, c'est ce que ça voulait dire, et ça lui plaisait. Ceci d'ailleurs le fit penser qu'il fallait qu'il se rende un peu plus au terrain d'entrainement histoire que ses muscles ne soient pas trop longtemps au repos. Physalis ne détachait pas son regard de la jolie louve blanche, avec un sourire sans sentiments particulier accroché aux lèvres.

Je plongea mes babines dans la carcasse, détachant de bons morceaux de viandes de la dépouille de l’animal. Mon museau était maintenant tâché de sang, tout comme mes pattes. Il n’y a que durant les repas et les combats que je soigne pas ma fourrure éclatante, il a un moment à tout.

Lorsque mon secouriste s’avança vers moi, je ne put m’empêcher de le fixer avec beaucoup de curiosité. Qu’est-ce qu’il allait faire ? Me soigner ? Nan, quand même pas ? Et à ma plus grande désolation je le sentis lécher ma blessure. N’aimant pas le contact des langues des autres sur ma fourrure, je ne dis rien pour ne pas le frustrer, après tout il était déjà fort aimable de me soigner… Quoique c’était normal vu qu’il en était l’hauteur en quelque sorte…

Je resta droite durant toute la séance de soin, attendant un moment de douleur comme il l’avait annoncé, mais rien du tout… Quelques picotements uniquement. Je ne m’en plaignais pas du tout d’ailleurs. Lorsqu’il s’écarta un minimum de moi, je pus lui adresser un sourire reconnaissant et de confiance. Je savais que je pouvais compter sur lui.

« Merci bien, mais tu n’es pas si mauvais que ça pour les soins. »

Je le fixa un long moment, perdant mon regard dans le sien, cherchant à apprendre sur lui des choses que l’on ne peut dire qu’avec les yeux. Mais au bout de quelques minutes je reposa mon regard sur le repas et reprit quelques bouchées. Son regard me déconcertait.

Une fois mon repas finit, même s’il restait encore pas mal de viande je commença à faire ma toilette, avec beaucoup d’attention pour ne pas laisser la moindre traces sur ma fourrure immaculée. J’ai beau être blessée, ce n’est pas pour autant que je dois paraître négligée.

« En tout cas tu as une sacrée force, j’ai rarement rencontré de loup ayant une telle puissance. Où as-tu appris à combattre ? »

Physalis sentait qu'elle était tendue quand il s'occupait d'elle, mais c'était sa punition pour l'avoir provoqué, elle avait dit préféré que ce soit lui qui la soigne plutôt que des emputeurs, même s'il avait aussi très bien compris qu'elle préférait ne pas être soigner du tout. Et puis, il n'était pas un charlatant, il avait réellement quelques bases de conaissances très...basiques. Sans le dire à la louve ou le faire mremarquer, il avait profiter du goût du sang d'Aranelle. Ce dernier était bien meilleur que celui de sa proie, il regorgeait de saveurs que même les angels n'avaient pas dans leurs veines, c'était une sorte de boisson juteuse, était-elle Hellchild ? Il ne pouvait le dire a son sang, il aurait voulu prolongé cet instant où il laissait ses instincts de Devil sanguinaire, il aurait voulu que la blessure se réouvre et que le liquide rubis gicle et qu'il doive de nouveau laver son épaule ensanglanté. Mais c'était un loup qui savait se retenir et il s'écarta doucement de la louve, tout aussi tendu qu'elle ne l'était pendant qu'il s'occupait d'elle. Son sang l'avait troublé, et il aurait du renoncer à lui donner de ses soins, il regrettait désormais car son corp était animé de frissons de bien être. Il détourna vivement son regad, gêné, et furieux contre lui et sa faiblesse de s'être laissé tenté. Mais finalement le sentiment se dissipa un minimum après qu'il est concentré son esprit pour le calmer. Il respira profondément faisant de son mieux pour dissimuler à la louve son trouble. Elle lui demandait d'où venait sa force. Il lui fallait répondre, question facile, quoi que la réponse risquait d'être plus longue que prévu, il était obligé de revenir à ses origines.

- Je ne suis pas Helchild, je ne suis pas le fils de Devils, je ne suis pas né sur ces terres, je n'ai pas eu d'entrainement spécial, seulement le mien. Je ne préférerai pas te dire comment ma vie se déroulait avant que je parte plus tôt que prévu du foyer maternelle, tu te rirais de moi, il eut un léger sourire mélancolique et amusé en repensant à son enfance pas toujours facile et quelque peu ridicule, il avait vraiment changer maintenant, Je suis venu sur ces terres, j'avais quelques bases. Je suis devenu chasseur, c'était la chose que je savais mieux le faire. C'est à force de persévérance, de vouloir devenir plus fort que j'ai commencé à devenir vraiment puissant. Puis j'ai rencontré Baphomet, au souvenir de cette rencontre, un large sourire illumina sa face, il avait adoré ce moment, ce jour, je lui ai parlé de tout et de rien et j'ai dérapé sur des porpos comme quoi les chasseurs ne servaient à rien, et d'autre chose compliquée, il m'a porposer de fiare mon propre grade puisque le grade de chasseur ne semblait pas me convenir. J'ai pris d'abord cette parole pour une farce, mais je découvrait qu'il était sérieux. J'ai réfléchit, j'ai traité, au commencement, ce grade des Planficateurs devait s'appeler Rénégat et c'était totalement autre chose. Mais j'ai renoncé et j'ia trouvé ceci. Mais on ne m'avait pas dit que j'en serai le chef, ce fut une surprise troublante et bonne à la fois. C'est alors que je renforcais mes entrainements pour être digne de mon grade, je me rendais réguilièrement a Paradise pour mettre en jeu ma force et ma vie par la même occasion, pour peu je ne sauria pas à tes côtés en ce moment. Je me suis battu, j'ai réfléchit, j'ai même inventé de stechniques de combats que je n'ai pas terminé d'approfondir, j'ai alors découvert la force qui sommeille en nous et je sais désormais l'utiliser quand j'en ai besoin.

C'était un long discours, mais elle l'avait voulue, elle lui avait demandé comment avait-il une force si puissante. Elle s'attendait surement à un louveteaux qui avait tué ses parents, qui avait eut un père violent qui l'avait durement entrainé, qu'il avait été dans baigné dans la haine et la violence des Devils dès son plus jeune âge, qu'il était Hellchild ou au moins à moitié, mais à la différence de beaucoup de loups, c'était lui qui avait trouvé sa force par lui même, certains avaient la chance d'être déjà très puissant sans avoir besoin de s'entrainer aussi durement que Physalis l'avait fait. Mais alors, ils ne connaissaient pas leurs limites, ils ne savaient pas jusqu'au allait leur force, ni la contrôler, et jamais ils n'ont approfondint de techniques. Physalis poussa un soupir, il n'aimait pas se laisser entrainer dans des discours comme ça de sa vie antérieur qui n'avait en fait rien d'extraordinaire, elle était même des plus banale, et voila qu'il venait de l'expliquer comme ci c'était une des existences les plus innimaginable de la terre. Désolant. Il voulut s'excuser, mais sa voix se bloqua soudainement, il fit tout pour que rien ne se remarque. Alors le goût du sang d'Aranelle qui était resté accroché à son palais revint sur sa langue et son odeur, ses effluves et sa délicatesse revint hanté les esprits du loup. Il auraitr voulu bondir sur la Veuve Noire et en profité encor epour que le plaisir ne s'arrête jamais, mais encore une fois, avec un effort psychique surhumain il se retint. Il était dangereux pour elle, comme elle était dangereux pour lui en lui produisant tous ses effets. Il grinça des crocs, lança un regard sérieux et grave à la louve et annonça sur un ton totalement différent que tous ceux qu'il avait déjà pu employé en sa présence. une voix protectrice, emplie d'affection, mais aussi de terreur et de remords :

- Il faut mieux, pour ta sécurité, et peut-être même pour la mienne, que je ne reste plus avec toi ...