Pv Serwan ~ Tu as dis pas de petits?

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Le grand loup blanc avait repris un second souffle, il était heureux, sur son petit nuage en permanence depuis que lui et Serwan s'étaient dit oui. Il s'était retrouvé dans les pleines gelée des terres des celestial, il n'aimait pas le froid mais depuis que cette sensation était devenu synonyme a sa compagne il se retrouvait souvent a être heureux dans la neige. Imaginant comment elle pouvait être, elle était blanche comme la neige c'était obligé et puis mince, belle, une expression chaude et réconfortante. Il restait là, assis dans la neige a imaginer sa belle qui devait l'être, belle.

(c'cours mais ça suffit lol)

Invité

[T'as parfaitement raison x)]

Fixant le loup avec surprise, je regardais sa patte et me retenais de justesse de rouler des yeux. Un si long hurlement pour une simple écharde dans le coussinet, il y avait vraiment des chochottes dans le vie. Soupirant, je me penchai en avant, pris la patte du loup avec la mienne et d'un coup sec enlevé le bout de bois à l'aide des crocs. Il grogna et retira brusquement sa patte, me griffant légèrement le bout du museau. Je sentis mes nerfs tressaillirent et je me levai, le fixant froidement. Il se retourna et partit sans un merci ni un au revoir. Je me sentis soudainement seule... Bessant les yeux, je fixais le sol en pensant au loup, à celui que j'aimais que j'avais abandonné en terre Angels. Il était désormais mon compagnon, et j'avais follement envie de le revoir ! J'avais du mal à m'y faire, l'idée que désormais je ne serais plus jamais seule. La vision d'une famille s'installa en mon esprit et je rougis toute seule. Soudain, la possibilité de m'occuper de louveteaux ne me parassait plus aussi lointaine. Surtout qu'en ce moment les Celestials étaient aggressifs. L'arrivée de l'aide des dieux n'avaient pas été sans conséquences. Et une famille m'aiderait peut-être, même surement. Me levant, je sentis une odeur douce et familière. Jappant de bonheur, je partis en courant vers l'odeur, mon coeur battant à 100 à l'heure. Je comprenais maintenant la réaction des louves amoureuses, je devais leur ressembler. Jamais je n'avais autant eu envie de revoir une personne. Quand sa douce silhouette fine se dessina au loin, je poussai un léger hurlement pour le prévenir de mon arrivée. Courrant vers lui à vive allure, je me rendis compte trop tard que je n'aurais pas le temps de ralentir. Alors, choississant la tactique la plus romantique, je bondis sur lui avec douceur et le plaquais au sol. Ma queue fouettait l'air, mes yeux brillants de bonheur. Alors, je lui léchais tendrement la truffe et plongeai quelques secondes mon visage dans sa fourrure chaude. Il m'avait tellement manqué...

Invité

Un hurlement simple et cours emplit pourtant son coeur de bonheur, il n'avait jamais cru qu'un son si cours puisse le rendre aussi heureux. Il se releva mais n'eus pas le temps de l'appeler qu'il se fit plaquer au sol, poussant un cri de peur pur, il ne bougea pas du sol avant quelque secondes. Il réussissait a vivre facilement sans ses yeux mais tomber dans le vide sans pouvoir savoir si l'on peut se rattraper ni si ça fait mal est très angoissant. Une fois la peur passé il lécha doucement le nez de sa louve préféré en se frottant contre lui.

"tu es si belle .... "

Il sentit alors une chose qu'il n'aurait jamais voulu sentir, le goût du sang perlait sur le nez de sa bien aimé (note la rime XD), léchant de plus belle pour désinfecter ce qui n'était qu'une égratignure il se frotta contre elle.

" qui a osé abîmer le si joli nez du plus beau des rayons de lune ?"

Invité

J'étais tellement heureuse de le revoir que j'avais oublié qu'il était infirme ! Reculant vivement en entendant son hurlement, je rougis de honte. Cela ne devait pas être agréable pour lui et j'inscrivais àa profondement dans ma mémoire : ne plus jamais lui sauter dessus ainsi. Lui léchant timidement la joue, je le contemplai comme s'il s'agissait d'une merveille. Les compliments qu'il lui faisait accentuer son bonheur, la rendait hystérique et folle de joie. Mais, comme elle n'était pas très douée en relation, elle ne savait que répondre. Peut-être un "Toi aussi" ? Non, elle se dit que si un compliment devait sortir de sa bouche, il devrait venir spontanément et du fond du coeur. Quand je sentis qu'il soignait mes blessures, je songeais avec humour que les rôles étaient inversés. Je riai tout bas, mais d'un rire ironique et amer. Qui me faisait ça ? Ces horribles loups qui n'avaient aucune grattitude envers moi. Levant les yeux au ciel, je lui souriais. C'était plus fort que moi, je savais bien que c'était inutile mais je pensais qu'il pouvait ressentir les sourires, comme il ressentait surement d'autres des mes émotions. Je n'étais pas très doué pour les cacher, aussi il ne devait pas chercher longtemps avant de découvrir ce que j'avais sur le coeur. Et en ce moment, c'était lui que j'avais sur le coeur, le loup le plus... Extraordinaire ! Lui léchant tendrement le bout de la truffe comme réponse à ses soins, ma voix fut douce et calme, une voix que je ne me connaissais pas vraiment.

- Il ya des ingrats, dans la vie... Alors, des projets pour l'avenir mon beau gentleman ?

Je ne savais d'où sortait cette question, mais je la trouvais plutôt rigolote, avec des accents presque séducteurs. Mouais, ça devait être ces foutues chaleurs, mais bon...

Invité

La réponse de son adorée lui arracha un rire doux. Se blotissant contre elle il se frotta tendrement contre elle.

" des projets? ... hmm ... la plus splendide et la plus magnifique de toute les compagnes, sauf que ça c'est déjà fait ... ensuite je dirais une belle grotte pour cet ange tombé du ciel mais vu que tu es dans une meute ça ne servirait un peu a rien .... des enfants, des petits enfants, des petits-petits enfants et vivre au milieu du plus doux des bonheur qu'est une famille ... "

Restant tout contre elle il se laissait aller au plaisir et la joie de l'imagination, il l'avais sentit heureuse en sa compagnie ainsi que sourire plus souvent. Il adorait sa voix, si douce et tendre, qui lui faisait perdre tout tracas en un son.

Invité

Parfois on dit que le bonheur est court, pourtant je me demandais comment il pouvait l'être en compagnie de ce loup. Restant tout contre lui, j'écoutais sa réponse avec un sourire calme sur les babines. La dernière fois qu'on avait parlé de louveteaux, j'avais été hystérique. Mais ce jour-là, je n'en avais plus peur. Peut-être parce qu'il était impossible de lui dire non, ou bien que de savoir qu'un autre élément que lui me raccrochait à la vie me rendait heureuse ? J'eu très envie de lui hurlais que j'adorerais avoir des louveteaux, mais je restais dans la même intimité et peut-être que je n'avais pas encore le courage de m'imaginer mère. Il parlait du futur avec une telle assurance, je crus que s'il parlait de s'envoler il pourrait le faire. Avec lui tout semblait simple et rapide, bonheur et calme. Je ne savais où il puisait cette force, celle qui animait ses gestes et ses mots, celle qui faisait battre mon coeur. Posant ma tête contre son épaule et fermant les yeux, je laissais un doux silence s'installais, je me rendais compte que j'étais fatiguée. Aurais-je le temps de m'occuper d'une famille ? Trouverais-je le courage d'avoir, en plus de patients, des louveteaux qui demandent à être sans arrêt materné ? Je savais qu'Ifreann ferait un merveilleux père, mais il fallait surement les deux parents pour avoir des enfants heureux. Dans un murmure, je lui répondis à son oreille.

- Des petit-petits enfants ? Ne crois-tu pas que tu as les yeux plus gros que le ventre ? Ne penses-tu pas qu'il vaut mieux d'abord avoir des enfants ?

Je ris tout bas, et me demandais comment cette histoire allait se finir...

Invité

Ifreann ne s'était jamais reconnu comme étant fort, c'était simplement comme naviguer sur un fleuve parfois tortueux et dangereux; mais il se laissait porter par le courant de la vie, ne prenant pas le temps d'avoir peur et de tenter de changer de chemin ou de s'aretter. N'est pas le plus grand des courages que de se laisser porter par la vie sans avoir peur et en lui faisant totalement confiance? Il sentit Serwan blotir son visage contre son épaule et laisser un silence si agréable s'installer non pas entre eux mais comme un voile les enveloppants pour les proteger de tout les tracas de la vie. L'entendant alors il ne pus réprimender un doux rire avant de garder un sourir sur le bou de ses babines.

"Mais j'ai dis que je voulais des enfants, et des petits-enfants et des petit-petit-enfants et le tout dans l'ordre bien entendu .... et on ne peut jamais avoir les yeux plus gros que le ventre lorsque il sagit de son bonheur, on est jamais assez heureux "

Se demander comment l'histoire se fini, prouve qu'elle n'est pas assez interessante pour se laisser porter au file des jours. Mais comment peut-on pleindre celui qui a peur de se fermer les yeux en voyant la brume sur le fleuve de la vie. Ifreann n'avait pas peur, il l'a voyait cette brume mais comment avoir peur lorsque l'on savait que derière se trouvait une magnifique vie de famille.

Invité

Je riais dans le vent en entendant sa réponse. Oui, il n'y a pas de limite pour le bonheur, il avait tellement raison. Mais j'avais le don de m'inquièter, c'était quelque chose de normale pour moi. Il n'avait plus qu'à devoir supporter mon hésitation constante, enfin dès qu'il s'agissait de la vie privé. Dans ma vie profesionnelle, l'hésitation n'était pas de recours et j'agissais pas instinct. Les yeux fermés sur son épaule, je songeais à ce que j'allais répondre. Je ne savais pas comment lui dire que j'étais daccord pour les louveteaux, que je n'y voyais aucun problème. Mais, avec mon incapacité à dire ce que je pensais, j'ignorais comment exposer la chose. Me frottant le front contre son épaule, je soupirai doucement, un soupir joyeux mais aucunement lasse. Dans ma petite tête se forma l'image de louveteaux. Cette vision complètement futile me fit sourire. Je songeais à toutes ces mères qui auraient donné leur vie pour leur famille, et maintenant j'étais certaine que je pouvais faire la même chose. Reculant, ouvrant les yeux et fixant Ifreann, un sourire s'étira sur mes babines et je me levai, la queue battant l'air de bonheur.

- La recherche du bonheur ? Oui, tu as déjà fais tellement pour que je sois heureuse. Tu es là, tu ne peux pas imaginer comme c'est important pour moi. Mais, s'il faut avancer dans la vie et ne pas seulement se satisfaire de se qu'on a sur le moment, alors sache que je suis ouverte à toute proposition. Moi aussi, Ifreann, j'aimerais avoir des enfants.

Mes yeux or pétillèrent de bonheur et je lui léchais tendrement la joue. Jugeant que c'était un peu court comme preuve d'amour, je plongeais ma ête dans son poitrail et inspirais longuement son odeur.

Invité

Souriant doucement à la louve en face de lui, il se releva et se frotta contre elle avec amour.

" tu n'aura qu'à me dire quand tu sera prête ... lorsque tu en sentira l'envie et le besoin ... je ne veux pas te forcer sous prétexte que tu as dis oui maintenant "

Calme et doux il restait bien droit, câlinant sa compagne avec autant d'amour qu'une mère envers son enfant. Il sentait le vent souffler dans son pelage, comme si sa meute le félicitait de cette merveilleuse union, il en avait parlé et il savait que sa compagne était d'un blanc nacré, tout comme sa meute. Tout les loups de la meute d'Ifreann était d'un blanc étrange mais étrangement si ses enfants étaient d'une autre couleur il s'en fichait, de toute façon il ne les voyait pas.

Invité

Je me retins de répondre directement au loup. Me mordant la langue dans un sourire, je me demandais si sa meute lui manquait au point de partir un jour. Parfois, des loups venant d'un autre pays, d'une autre contrée, partent pour retourner voir les leurs. Si jamais Ifreann partait, je me demandais ce que je deviendrais. Peut-être l'attendrais-je jour et nuit, dans l'espoir de le revoir. Ou bien, je l'accompagnerais. Oui, rencontrer l'ancienne meute d'Ifreann était une chose qui ne me déplairait sûrement pas. Pourtant, et avant tout, j'avais très envie d'avoir une famille. A force d'en parler, ce besoin devenait une obsession, et ça m'effrayait de moins en moins. Passant ma langue sur mes crocs, je secouai la tête et reculai légèrement pour bien voir mon amour en entier. Un sourire s'étira sur mes babines, je restais néanmoins à une distance très petite du loup. J'avais finie par m'adapter à son handicap qui pour moi n'était plus un problème. Lui léchant tendrement la joue, je pris la parole dans un murmure, pour que tout reste entre nous deux.

- Ifreann... J'aimerais avoir des enfants.

Mes oreilles étaient droites sur ma tête et désormais j'attendais car j'en étais sûr. Une famille avec ce loup serait la plus belle chose que j'aurais eût sur cette terre.

Invité

La timidité de la louve jusqu'à présent l'aidait car elle était timide pour eux deux, mais cette réponse déboussola le loup. Ses oreilles s'agitèrent alors qu'il se mit a piétiner mais il se reprit très vite et s'assit, seule sa voix restait tremblante et intimidé.

" main .... maintenant? "

Il espérait étrangement qu'elle dise "non", elle restait sa première compagne et même lorsque il voyait encore il n'avait jamais vu la chose et la panique de mal s'y prendre dû a son handicape s'était engouffré dans tout son être. Il ne voulait pas lui faire mal ni la décevoir, il se sentit démuni et pour la première fois : handycapé.

Invité

La confiance que j'avais en lui ne pouvais pas s'ébranler, et malgré le fait que sa voix trahisse ses émotions, je ne me démontais pas pour autant. Il fallait un début à tout et j'étais sûr que tout se passerait bien, tout ce qu'il entreprenait était une réussite, pourquoi pas une famille. Revenant vers lui, je me blottis contre lui avec douceur, ce silence reponsant m'accompagné partout désormais. Fermant les yeux et soupirant de bonheur, je savais que ça devait être dur pour lui, mais il voulait autant des louveteaux que moi. Lui mordillant doucement l'oreille comme pour le remettre en confiance, je scrutais ses yeux vides, comme si je rêvais qu'il puisse me voir en vérité. Bien sûr que son handycap ne me gênait pas, mais qu'il retrouve la vue serait le plus beau cadeau qu'un dieu puisse offrir à un loup comme lui. Il le méritait, il méritait tout ce qu'il y avait de mieux sur cette terre. D'une voix douce, je lui répondis à l'oreille.

- Non, quand tu veux... Quand tu seras prêt, je le serais aussi.

Un sourire s'étira sur mes babines et tendrement, je passai ma truffe contre la sienne. Oui, je l'attendrais, j'attendrais qu'il se sente prêt. Et quand ce sera le cas, alors je ferais tout mon possible pour qu'il ne regrette pas son choix.

Invité

Sentant sa compagne se frotter et le cajoler, il sentit tout ses doutes s'envoler comme ils étaient venu. Il se sentit le courage et la joie de vivre envelopper son coeur pour se diffuser dans tout son corps, il se tourna vers elle et lui rendit quelques coups de langues sur les joues et la truffe.

" je serais toujours prêt pour toi .... mon amour "

se sentant emplit de courage il se releva et se frotta tendrement contre elle. Il ne réussissait pas tout, il avait l'impretion de sentir toute la tristesse du monde sur ses épaules, comme si le priver de sa vu avait été une malediction: celle de ne pouvoir qu'imaginer. La peur et la tristesse emplissait son estomac en permanance mais en la présence de la louve, tout s'envollait, il se sentait soigner de tout avec elle contre lui.

Invité

La réponse du loup me mis suffisament en confiance pour ésperer que c'était le moment. Lui rendant son coup de langue, je souris cette fois un peu plus dans l'ombre, restant discrète. Il se leva, j'admirais en silence son corps blanc et somptueux. Un instant, je fermai les yeux comme pour être égal à lui. La noirceur qui m'enveloppa me fit rendre compte de ce qu'Ifreann vivait toutes les secondes. Cela m'attrista, et j'ouvris brutalement les yeux. Le fixant, je fis de mon mieux pour reprendre mon calme : pour lui, je devais le rendre heureux. Me levant dans un mouvement doux, je posai ma truffe contre sa joue, la fis glisser jusqu'à son museau et souris tendrement, un sourire dont s'échappa un léger rire, malicieux et amoureux. Oui, amoureuse... Dans un geste, en ésperant ne pas accélerer les choses, je vins me placer devant lui pour lui "faciliter" les choses (j'ai envie de mettre des etoiles xD). Là, je retournai la tête vers lui et, dans un murmure, lui murmurai :

- Je n'attends que toi... Pour toujours.

Là, je sentis mon coeur s'envoler, monter au septième ciel. Dieu comme je l'aimais.

[A toi, maintenant que j'ai répondus tu vas nous faire ces louveteaux =P]

Invité

En sentant le mouvement de la louve, ses doutes s'envollèrent une nouvelle fois. Comme si c'était écrit en lui il sût d'instinct comment se placer, il lui murmura des mots doux alors qu'il s'installait et s'exécuta. Une fois fini il déscendit de son dos et passa sa truffe le long de son flan pour retrouver son visage qui lecha avec tendresse et amour. Il se frotta avec amour contre elle sans savoir quoi dire, quoi faire et quoi penser; il resta donc là, à donner des coups de langue à sa compagne.

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