On est bien là, non ? [...]

Auteur

Message

Invité

Invité

Sujet: On est bien là, non ? [...] 27.07.09 11:35

* Il faisait beau, et chaud, comme tout les jours dans les terres Sarique. J'aimais ce temps sec, bien que parfois j'avais très soif, vu qu'il ne pleuvait presque jamais, voir jamais d'ailleurs. Je me prélassais tranquillement au soleil, près du cnyon, très près du canyon. Je cherchais à en voir le fond, une curiosité parmis tant d'autre. Pour le moment je ne travaillais pas, je voulais dire par là que je ne m'occupais d'aucuns louveteaux. Les parents Sakarite n'étaient que des jeunes couples qui n'avait pas encore de louveteaux ou alors des couples en ayant déjà eu. Ceux-ci étaient maintenant adultes et n'avaient plus besoin de moi. Ah, ben au moins j'étais tranquille, même si je m'ennuais, même si m'occuper des petits me manquait. En attendant, j'étais bien installée devant le canyon, à comptempler les profondeurs de celui-ci. Un léger bruit de pas attira mon attention, j'avais été seule jusqu'à présent. Le soleil se faisant plus doux attirait d'autres loups. J'en vis pas mal s'éloigner en groupe, silencieux dans leurs foulées. Ils ne parlaient presque pas, ils se pressaient tous dans une même direction en chuchottant des phrases que je n'entendais pas. Soudain, je me posa la question de savoir ce qui s'y passait. Je me leva, m'étira de tout mon long en parressant encore un peu puis je suivis leurs traces. Quand j'arrivais près de leurs grands groupes -pour a majeure partie, des Sakarites, et quelques curieux de passage- je compris ce qui se tramait. Deux loups en train de combattre s'étaient approchés trop près du canyon. L'un avait entrainé l'autre dans les profondeurs des abysses du canyon. Je lâcha un soupir désolé, encore une preuve qu'il fallait arrêter la guerre. Je ne savais pas si les deux loups qui étaient tombés étaient deux Sakarites, mais ce que je savais c'est qu'ils étaient morts tout les deux. Je retourna vers l'endroit que j'avais quitté plus tôt pour suivre les autres. D'autres loups se pressaient vers le lieux où étaient tombés les combattants. Soupirant de nouveau, je me ralllongea au même endroit, reculant quelques peu du Canyon des Précipices.