La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE

Invité

Griffe observait le torrent d'un air un peu mélancolique. Il était plongé dans ses pensées, qui ressemblaient curieusement aux eaux du torrent : tumultueuses, bouillonantes et dangereuses.
Une gerbe d'eau, plus importante que les précédentes, couvrit d'écume et d'embruns le loup gris, mais celui-ci n fit pas un geste pour soulager sa fourrure du poids que lui donnait cette masse d'eau supplémentaire.
Un tourbillon se forma derrière un rocher, semblable à un navire échouée dressant sa proue vers le ciel. Un morceau de bois s'engouffra dans le tourbillon et, pendant quelques instants, suivit son mouvement circulaire dans un drôle de ballet aquatique. Il s'enfonça ensuite dans l'eau, sans cesser de danser en cercles de plus en plus rapprochés. On aurait dit un danseur agile qui enchaînait pirouette sur pirouette avec une rapidité et un brio impressionants.
Dans un craquement sinistre, un autre rondin de bois, bien plus gros que le précédent, se coinça entre deux rochers. Aussitôt, furieuse de voir un gêneur en son sein, l'eau se précicipita dessus en hurlant, couvrant le rondin d'écume et de colère, appuyant de tout son poids sur son flanc.
Le rondin gémit, se fendilla légèrement. Sous la pression colossale que l'eau exerçait sur lui, il finit pas céder dans une cascade de petits fragments de bois. Les trois plus gros morceaux furent rapidement emportés par le courant, heureux de sa victoire. L'un d'eux se brisa à nouveau contre un autre rocher, les deux autres les évitèrent et disparurent hors de la vue de Griffe.
S'arrachant à la comtemplation du torrent, il recula de quelques pas et s'ébroua enfin, projetant à son tour des myriades de goutelletes scintillantes. D'un bond souple et agile, il descendit d'un cran. Il avait sauté sur un autre rocher, situé un peu plus en contrebas. Sans s'y arrêter, il repartit. Le loup gris longea le torrent pendant plusieurs minutes, le pas sûr et précis. Il avançait avec beaucoup de prudence sur les parties les plus raides du parcours, mais n'eut aucun accident à déplorer. A part peut-être une petite pierre qui, se détachant sous son poids, était allée se fondre dans la rivière. Mais personne, je crois, ne déplorera sa perte.
Enfin, Griffe arriva à cet endroit plus plane et plus tranquille où boire cette eau glacée ne posait pas de problèmes.
S'avançant toujours avec prudence, il se retrouva devant à nouveau face au torrent, mais à un torrent plus calme et serein. Du moins vers le rivage, car non loin, la même violence reprenait, avec toujours autant de hargne et de puissance.
Le loup gris lappa quelques gorgées de cette eau venue des montagnes. Elle était très fraîche, presque glacée - mais c'était comme ça qu'il l'aimait.

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 30.03.08 22:01

Elle, elle est en bas, sur le coté, où elle l'a déjà été au par avant. Une dernière larme sèche sur sa joue grise ... Les sentiments se bousculent, les souvenirs, eux, défilent devant ses yeux. Ils sont dure, puissants, et malgrè tout encore déterminés.
Arena, Roublard, Lune Bleu, et encore...maman. Un soupir, mais il n'est pas desesperé, simplement fatigué. Tant de choses en si peu de temps- plusieurs feuilles sont passés devant elle, se noyant sous la surface et se glisant au loin, se joignant dans une rivière ou bien le rivage après tout un long voyage. Maintenant, un baton, le morceau d'un branche un jour sur un arbre ... Il arrive près de la louve, et malgrè le rebord calme et serein sans trouble, le courant le fais rapide. Mistral laisse échaper une patte pour couler le bou de bois, qui reviens a la surface et qui repart, continuant sa route aquatique, qui sais, peut être vers le large?
Se regard bicolor, se pelage mouillé, ces cicatrices, ces loups.. Elle peut en sentir un, mais elle ne se bouge pas pour observé autour d'elle et savoir qui cela peu être- cela lui est égale. Finalement, après une longue hésitation, elle se remue et remonte la cascade sur le coté sur la terre ferme, et c'est la, sans vraiment y preter attention, quelle voi le loup.

Invité

Griffe de Lune releva la tête, encore dégoulinant de l'eau glacée dont il venait de s'abreuver. Des poils les plus longs du bout de sa gueule gouttaient des petites billes d'eau, qui rejoignaient leur mère avec emrpessement, se fondant en elle dès qu'elles touchaient la surface de ses flots. Elles disparaissaient ensuite, happées par l'immensité des eaux qe charriait le courant.
Toujours immobile, Griffe jaugeait la louve qui se tenait non loin de lui, souhaitant savoir quelle serait la conduite à tenir la plus approprié.
Ses yeux châtains étincelèrent, puis il s'ébroua enfin. Les derniers restes d'eau qui se réfugiaient encore dans sa fourrure furent projetés un peu partout, arrosant le sol - qui n'en avait pas vraiment besoin.
Malgré tout, le bout de sa gueule resterait humide pendant quelques instants, le temps que le soleil et le vent achèvent de retirer de sa fourrure toute trace d'humidité.

Le vent ne jouait pas en sa faveur, mais il put tout de même sentir, par vagues discrètes et furtives, l'odeur de solitaire qu'elle dégegeait. Il aimait beaucoup cette odeur.
Senteur du vent et de la forêt, de la pluie et du soleil.
Senteur de la liberté, sauvage et farouche...
Une solitaire, donc.
Elle avait un air mélancolique, absent, comme si elle était perdu dans les confins d'un monde oscur et plongé sous le brouillard.
Il s'approcha de quelques mètres.

- Quelque chose ne va pas ? demanda-t-il, direct mais d'une voix plutôt douce.

Du moins, de la voix la moins aggressive qu'il pouvait émettre.

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 07.04.08 14:38

Il est venue vers elle, elle l'a a peine sentit.
Sans même un bonjour, mais bon, il a raison, c'est vrai qu'elle dois avoir l'air un peu perdu.
Enfin, pas perdu- elle connais ces terres, ce sont les siennes - mais perdu dans ses propres pensées.
C'est dure a expliquer, ce n'est pas un sentiment, mais plusieurs, partout, une invasion interne de tout et de rien.
Elle le regarde de ses yeux déterminés et puissants, noisettes.
Secouant la tête, Mistral le dévisage un peu avant de répondre, bredouillant légerement, mais tout de même claire.

" Non.. Je, je .. c'est juste le souvenires. "

Finit t'elle par avouer.
Miss' n'a jamais mentit, elle prefère l'honnètetée, ca l'aide juste a se sentir plus confiante, sans avoir a inventé n'importe quoi.

[ désolée: no inspi. ]

Invité

Griffe pencha légèrement la tête sur le côté - très légèrement - sans cesser de fixer l'inconnue du regard.

- C'est généralement 'juste des souvenirs'. Le vécu est souvent l'une des choses les plus douloureuses qui soient. On ne peut pas le changer..

Sur ce point là, il était vraiment bien placé pour le savoir. Que n'aurait-il pas donné pour pouvoir réécrire son propre passé ! Que n'aurait-il pas donné pour n'avoir pas toutes ces traces sanguinolentes derrière lui. Certes, en fidèle Devil il appréciait la bataille, le combat et tout ce qui allait avec. Mais lorsque ses pulsions le rpenaient - pulsions qu'il tenait de son passé - cela allait beaucoup trop loin à son goût.

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 07.04.08 18:22

Elle haussa les épaules. Elle n'était qu'une égoïste. Si elle n'avait pas était si..si... ca serrais différent. Mais elle était faite, sa Vie, enfin, son passé, et elle vivrais avec, avec la tête haute. Elle avait fait son choix: de ne pas s'apitoyer sur son sort, mais de respecté le choix de ceux qui lui avaient fait coulé les larmes, sans oublier, non, seulement dire que, a partir de maintenant, ce sera différant. Oui, différent.
Oui, il avait raison, mais ca ele le savais. Elle le regarda a nouveau et lui souris, un sourire mélancholique, mais pas pour autand triste.

" Oui je le sais. Enfin, asser parlé sur cela, je, je veux penser a autres choses.. "

Dit elle, plus a elle même qu'a lui.

Invité

Griffe eut un drôle de sourire, à la fois pensif, mélancolique et chaleureux.

- Au contraire. Mieux vaut prendre ce qui gêne à pleins crocs et l'affronter, que de le traîner jusqu'à la fin de ses jours...

Un voile de regret mêlé de souffrance passa devant ses yeux, puis s'évapora. Comme s'il n'était jamais venu obscurcir son regard.
Cela faisait longtemps que lui avait affronté son passé, mais il avait trop attendu. Beaucoup trop attendu ! Il ne pouvait plus s'en détacher, maintenant, et regarder en arrière sans regretter.

- Croyez-en quelqu'un qui a fait cette erreur.

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 08.04.08 13:56

Elle secoua la tête vivement sans le regarder. Oui, il avait la voie d'un conaisseur, mais ils n'avaient surement pas le même passé. Il ne pourrait comprendre le sien.

" Non, ce n'est pas ca.. C'est.. "

Une petite inspiration. Peut elle lui faire confiance? Elle n'aime pas parlé de ses pensées les plus intimes avec n'importe quoi, mais une foie comencé elle dois bien finir sa phrase.

" C'est juste que je suis une égoïste, voila tout. "

Maintenant pour en comprendre plus il faut bien la connaitre, parce que ses derniers evenements sont les plus marquants.

Invité

Griffe s'assit, sans pour autant s'avancer vers la louve. Il ramena sa queue près de son corps, comme s'il désirait se réchauffer. Ce n'était pas le cas, bien sûr, car il ne souffrait absolument pas du froid. Il faisait plutôt bon, d'ailleurs..

- S'il l'on n'est pas un peu égoïste, on n'a aucune chance dans ce monde. De toute façon, par notre nature nous pensons avant tout à notre bien-être...

Comme toujours, constata le loup non sans une certaine irritation, il ne pouvait pas s'empêcher de se mêler des affaires des autres. Bah.. il était comme ça, après tout. Chaque fois qu'il soignait une blessure, physique ou de coeur, il soignait ses propres plaies. Et il en avait tant à soigner...

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 08.04.08 17:49

Peut être, mais pourquoi? Peut être ... Elle repensa a Arena; elle qui avait un si grand coeur, si belle et si généreuse. Elle n'avait pas tenue longtemps. Un soupir. Mais il ne savait pas, il ne savait pas que dans la mort, dans la mort de celle qu'elle regrette tant, il n'y avait pas de quoi être triste. Non... Même qu'elle avait sourit, malgrè les larmes. Elle avait sourit...
´C'est juste le souvenires ... ´ Mais elle sais que ce n'est pas fini, parce qu'elle l'entend, même maintenant, avec sa voie portée par le vent. Elle est revenue. Elle n'est même pas partie, elle le sait.
* Je sais que tu es là.. *
Un sourire, comme si de rien était. Mistral secoue la tête, pour se changer les idées. Elle n'a pas besoin d'aide.. elle n'est pas triste.
Se mettant a marché, elle regard en arrière vers le loup, l'invitant a venir si il veut.

Invité

Griffe accepta l'invitation, et se leva, sans paraître être agacé de devoir se levéer tout juste après s'être assis. Il suivit la louve, comme une ombre. Ses pattes dures et délicates à la fois se posaient doucement sur le sol, sans bruit.

- C'est toujours un souvenir.

Il eut un drôle de sourire. Enigmatique et mélancolique, un peu rêveur et pourtant sans regret.

- Même si certains sont plus vivaces que les autres.

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 08.04.08 18:22

" Uhmmm... "

Elle fixe l'eau, il l'a suivit... Le mâle a l'air de s'y connaitre, il sais de quoi il parle. Mais elle, elle va s'y prendre différament. Ni avec tristesse, comme Antartika, hanté par les souvenires avec un fantôme dans les yeux. Ni comme il lui a proposé, en mordant a pleine dents, ni comme lui, comme une ombre avec la tristesse et les souvenires qui suivent. Mais, avec joie. Oui joie. La joie d'encore avoir le souvenires, les bons commes les mauvais, elle n'a aucune envie d'oublier. Car quand on oublie, on perd aussi le moments hereux qu'on a vécu.

" Je préfère garder tou, garder tout les souvenires. "

Dit elle soudain.

Invité

Griffe resta silencieux, devinant qu'elle devait être en train de se livrer à ses propres réflexions. Il ne paru pas très étonné de ses paroles, qu'il prit avec un autre sourire, tout aussi mystérieux.

" Personellement, je n'ai de toute façon pas réussi à m'en débarrasser. "

Il se fit un peu plus pensif.

" Mais, je crois que je préférerais aussi les garder, si on m'offrait une occasion de les supprimer. Aussi douloureux qu'ils soient, ils font partie de moi.

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 09.04.08 16:39

La louve aquiesse doucement, qui abbandonerais un parte de sois même ainsi? Elle non. Lui non plus. Qui..? Se demande t'elle. Un petit sourire se creuse dans ses traits, illuminant son visage.
Qui est t'il, elle ne sais pas, mais pour l'instant elle s'en fiche. Elle aime même sa compagnie, presque agréable bien qu'elle ne conaisse pas son nom ou sa meute, et lui rien de plus sur elle non plus. Elle s'en moque. Sa présance et presque apaisant, si j'ose dire, en un lieu pareille, avec tant d'histoire qui coule et couleras dans cette eau.
Chaqu'un y laisse un peu de sa salive en se penchant pour lapper la surface du liquide, chaqu'un y laisses ses larmes quand nos pleures se mellent dans ceux des nuages, la pluie tombé dans les creux et les rivières des nombreux territoires.
Le torrent ...
Si magnifique, si pure, si dangereux, si puissant. C'est dure de choisir entre ces adjectifs, celui qui convient le plus a cette rivière truffée de rapides.

Invité

Respectant le silence de la louve, Griffe tourna lui aussi son regard vers le torrent. Il continuait sa route, infatiguable. Parfaitement indifférent au sort de ceux qui voyageaient à ses côtés, sur une route peut-être encore plus sombre que la sienne, siniueuse, pleine d'embûches. Il continuait son chemin, être furieux, écumant de rage et de colère, brisant la roche, creusant son lit dans la montagne. Majestueux, puissant, invincible. Nul ne peut le brimer, il pulvérise les rondins de bois, il ronge la roche jusqu'à la réduire en morceaux, morceaux emportés dans le courant.
Et pourtant, aussi indifférent qu'il était à tout autre chose que lui-même, il était porteur de tant de choses ! Des loups avaient confié leurs peines à son eau tumultueuse, leurs larmes s'étaient mêlées à son essence. Il donnait la vie aux créatures qui s'abreuvaient en son sein, il donnait la mort aussi, aux imprudents qui tentaient de le braver. En lui était dissous le sang de ceux qui mourrurent sur ses rives et dans son lit, le sang des morts, le sang des vivants, le sang de la vie...

- C'est beau, n'est-ce pas ?

Son regard était toujous fixé, un peu rêveur, sur le torrent.

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 17.04.08 17:35

La louve pose a nouveau son regard sur le torrent, les rapides frappant contre de petits rochers, des tourbillons ici et la comme des spirales pour hypnotiser le regard. C'est presque un endroit magique. La louve se laisses engouffrer par le spectacle, ses yeux passant d'une goutte a l'autre, du calme au puissant, du beau au merveilleux..
Elle secoue soudain la tete et fronce les sourcils avant de repondre plus froidement qu'elle ne le voulait.

" La beautee cache souvent une force puissante et obscure ... "

Et elle fixa ses pattes, marchant legerement plus rapidement avant de se calmer et retrouver son pas tranquille. Elle retourna sa tete vers le loup.

" Pardonnez moi, je..je me suis emporte. "

Mistral laissa echaper un soupir.

" C'est que, j'en ai deja vecu la souffrance.. "

Invité

D'après son avis personnel, Griffe de Lune pensait que, le plus souvent, toute belle chose cachait en réalité des ténèbres, plus ou moins dangereuses et plu ou moins perceptibles. Les arcs-en-ciels sont magnifiques, mais autrefois on les considérait comme des mauvais présages. D'ailleurs, le jour où sa première louve était morte - enfin, disparue, mais il ne l'avait jamais revue et la supposait morte - un arc-en-ciel s'était dessiné dans la brise du matin...
Ls eaux de ce orrent étaient magnifique, d'une beauté froide et glacée, mais tout de même splendides. Enfin, il fallait savoir trouver leur beauté. Pourtant, elles étaient terriblement dangereuses...
Un peu comme les Veuves Noires de leur Meute. Incroyablement belles, et incoryablement dangereuses. Enfin...

- Ce n'est pas grave. Je serais plus que mpal placée pour reprocher à quelqu'un de céder à la colère, ajouta-t-il avec une légère pointe de tristesse.

A nouveau, le silnce se fit. Lourd et pourtant incroyablement rasurant, comme une mère louve un peu collante qui ne se décide pas à lâcher ses petits. Même si elle est exaspérante à la fin, c'est tout de même un sacré réconfort..
Griffe de Lune n répondit pas. Du moins, pas dans l'instant.

- La souffrance.. est quelqu'un à qui il vaut mieux tendre la main, s'en faire une amie, plutôt que d'y résister et de souffrir encore plus. Du moins, c'est ce que je fais... j'apprivoise ma douleur, je la rasure comme un jeune daim effrayé, et elle s'apaise.

Après un autre temps de silence, il reprit.

- Je parle aussi bien de douleur physique que morale.

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 25.04.08 16:28

La louve l'ecouta, regardant le ciel au dessus d'eux avec un regard indescriptible. Ses yeux maron et puissant fixairent alors ses pattes, sa langue pendouillante sur le cote de sa geule. Ses poils, d'un gris quelque peu souillon au teintes rousses alant du noir jus'quau blanc et au reflets argent etaient caresse par le vent, ebourrifant quelque peu son pelage.
Elle detourna son attention au loup , ecoutant ses paroles, et eu un petit sourire sympathique, ses mots dansaient, aussi tristes soit ils, il etait digne d'un poete.. Ce qui etait sure, c'est qu'il etait un conaisseur, il savait ce qu'il disait. Mais de nos jours, sur les terres de Wolf Angel, beaucoup conaissant la peur, la crainte, la tristesse et les pleurs ...
Mistral ne dit rien, ne voulant pas gacher l'instant avec un simple "oui". Elle, elle ne pouvait faire danser les mots, preferant garder ses sentiments et pensees pour elle, maintenant qu'elle n'avait personne en qui les confies. Elle, elle avait d'autres reves et capacites, que l'on peu decouvrir plus tard quand on la connais mieu..

Invité

Le ballet incessant de deux feuilles à demi rongées par les chenilles captivait l'attention de Griffe. Emportée par le vent, elles tourbillonaient sans fin dans une danse pleine de grâce et de douceur. Elle s'élevaient au rythme de l'air, sans empressement mais avec une vitesse flamboyante. C'étaient la mort et la vie, qui se cherchaient toujours mais ne se trouvaient jamais. L'une de pouvait exister sans l'autre, et elles ne pouvaient pas non plus être deux dans un, il fallait qu'elles soient deux dans deux ou une dans un. Elles ne pouvaient pas ne pas être là, et pourtant on ne les voyait jamais...

Griffe de Lune respectait le silence de la louve, car lui-même n'aurait rien répondu à sa place.. A quoi bon ? C'était au-delà des mots. Leur danse, semblable à celle de ces deux feuilles, étaient impuissant à exprimer certaines choses, car elles dépassaient la compréhension des loups...

Sujet: Re: La vie s'en va, puis elle s'en vient - TERMINE 10.05.08 15:31

[ je veux bien faire un autre topic dans les montagnes xD ou la vallee ^^ a force de marcher ils vont bien finir par partir sur un nouveau territoir XDDDDDD ~~en autres mots: plus d'inspi~~ ]

Invité

[ Ouais je comprends, moi aussi je commence à sécher ^^
Un autre topic alors ? Où tu veux, j'ai pas de préférences.. ]

» Elle s'en va ... Puis elle s'en revient comme si de rien était .x.Pv.x.
» Chaleur !? Et puis.. [ PV First Male ]
» Bannière puis diapo
» >> Puis je vous aidez? { PV Maélyae }
» un vas et vient incessant...

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