Resserrer les liens, faire connaissance. ( PV Mistral, Reagan & Sacramenter )

Invité

LET SEE WHO YOU ARE...

Un vent violent balayait le sommet du ravin. Paysage plat et decouvert, cet endroit etait sans cesse le refuge de ce vent chaud et etouffant qui etait propre au desert, et a Sarique tout entier. Il brulait presque autant que le soleil lui-meme, et transportait le sable avec lui, capricieux, cherchant sans cesse a modifier le paysage, la forme des dunes, quitte a eparpiller le sable partout, jusque sur la pierre. Eternel insatisfait, le vent n'avait de cesse de voir les choses autrement, de changer de gout, et toujours il fallait qu'il refaconne ce monde friable a sa maniere.

Celtiks se tenait droit et fierement assis, sans fremir sous le vent. Il avait l'habitude. Depuis sa plus tendre enfance, son pere lui disait que le vent etait un etrange. Egoiste, capricieux, fier et sounois, il aimait diriger, il aimait que le monde se plie a ses desirs. Alors il fallait ressister, conserver la souplesse necessaire pour s'arquer sans casser, mais ne jamais s'incliner vraiment, sans quoi jamais il ne t'estimerait. Et alors, quand le vent voyait que tu le comprenais, que tu savais reagir a ses bourrasques, il pouvait lui arriver de se facher, et de souffler encore plus fort. Mais jamais il ne fallait rompre ni plier. Toujours s'arquer, dans le meme sens, poursuivre dans la meme voie, en resistant juste ce qu'il faut. Alors le vent finissait par abandonner, par souffler autoru de toi, par glisser sur toi sans te toucher, et parfois meme, il devenait un allie, un guide. Celtiks avait toujours aime les histoires de son pere. Maintenant qu'il etait adulte, il comprenait ce que Shame avait voulu dire par ce conte. Toujours, il fallait rester souple, mais ferme. Face au vent. Face aux ennemis, aux enfants, a la vie. C'etait toujours utile. Avoir la tolerance du roseau, et la volonte du chene, trouver un juste melange des deux. Celtiks s'efforcait de suivre cet exemple. Il adressa un sourire a sa Louve, sa jolie Louve, assise a cote de lui. Elle aussi, elle avait compris le vent, et ce depuis longtemps. Mais alors que celui-ci respectait Celtiks et glissait tout autour de lui, comme apaisant, il etait devenu reellement complice avec la jeune louve. Ils s'etaient toujours entendus a merveille. C'etait cela, la force de Mistral. Un esprit juste et droit, frais, qui savait garder les pattes sur terre malgre la liberte que conservait son coeur, comme un oiseau attache a la terre.

Le puissant male reporta son regard sur l'horizon. Face a lui s'etendait Hell, le territoire des Devils. Un fantassin etait venu le trouver le matin meme, pour l'avertir qu'une passation de pouvoir avait eu lieu au sein des Devils, et que les nouveaux Dominants souhaitaient rencontres leurs pairs Sakarites. Enfin, le loup noir discerna deux silhouettes qui approchaient.

Talking Business ...
Mistral elle, pliait entre l'anticipation et l'excitation de rencontrer les nouveaux dominants Devils. Qu'ils soient nouveau l'arangait, cela voulait dire qu'il pourrait mettre leurs termes a nouveau, faire un accord et se conaitre. Elle etait plutot contente de savoir les deux dominants etaient nouveau, cela voulaient dire que meme elle avait plus d'experience, et que Celtiks s'y connaitraient tres bien. Elle se retourna vers son beau loup du desert, elle aurait voulu etre refugie dans son pelage doux et protecteur, entoure de son odeur sauvage du desert, de cette chaleur qui l'envelopait, relaxante et inspirante. Mais l'heure etait a autre chose pour l'instant. Et puis, il faisait bien trop chaud..
La chaleure- presque brulant la peau, on aurait cru fondre. La chaleure- Mistral avait encore a s'habituer. Mais il y avaient encore le vent, bien que sec, il gardait cette meme melodie reconfortante qui remplacait les fois ou Celtiks la serrait fort contre lui. Le vent, sirocco ou raffale froide, avait toujours pour elle ce sourire volant dans la brise qui la faisait chanter interieurement avec lui. En ce moment, elle eue l'etrange sensation de sentir sa mere pres d'elle, a son epaule, mais quand elle tourna la tete il n'y avait rien- peut etre un rire lointain de la louve blanche, joueur, gaie, frivole- ou l'avait t'elle imagine?
Elle ne savait pas, mais la sensation de securitee ne s'envola pas. Elle regarda Celtiks, et repondit a son regard avec elle meme un sourire. Mais elle retourna le regard- quelque chose dans le coin de son oeuil avait bouge. Les deux autres loups arrivaient: on ne pouvait se douter qu'ils etaient tous deux dominants, comme elle. Ils avaient, comme eux, cet air de fierte, peut etre meme de noblesse, comme Celtiks, qui les distinguaient. Mistral se prepara.

Invité

Ce vent chaud ne me faisait pas peur, j'étais à ses côtés. Marchant au milieu du plus fou des éléments, impassible du hurlement qu'il produisait à mes oreilles, j'avançai. Il était là, près de moi, aussi beau d'un Dieu, et je m'obligeai presque à ne pas passer mon temps à le regarder. Aujourd'hui, nous avions bien mieux (ou pire ?) à faire. La rencontre avec les dominants Sakarites ne serait pas de tout repos. Parce que j'avais un caractère plutôt explosif, j'avais peur de mal agir. Après tout, je n'étais dominante que depuis très peu de temps, mais je savais qu'il y avait une nouvelle dominante Sakarite, certainement à peine plus expérimentée que moi. Quand à Reagan, il avait ça dans le sang, il savait prendre une meute en main aussi bien qu'il avait volé mon coeur. La chaleur sur Sarique était étouffante et je me forçais de garder cette noblesse qui teintait mes gestes. Je me demandais en silence pourquoi c'était nous qui devions nous déplacer, mais je restais silencieuse. Mes oreilles n'étaient pas droites sur ma tête, j'étais légèrement méfiante. Apparemment, les Sakarites avaient longtemps été ennemis aux Devils, et j'étais sûr que les deux meutes ne savaient que penser de l'autre. C'était normal, aujourd'hui avec Reagan nous avions le devoir de dissiper le brouillard qui séparait nos meutes. Je savais que les Devils n'aimaient pas que les Sakarites traînent sur nos terres, et d'après quelques rumeurs, c'était réciproque. Mais malgré le vent qui voulait me faire plier à ses volontés, comme Dieu, comme tout loup arrogant, je me sentais comme une bombe à retardement. Cette journée était l'une d'elle où vous mourrez d'envie de courir partout, de hurler une bonne fois. Tournant ma tête vers mon cher loup, je le regardais et par le biais de mes yeux lui expliquais mon état d'âme : une surexcitée morte de trouille et méfiante. Je m'inquiètais sûrement trop, je devais me décontracter, mais pour la première fois, même la présence de Reagan ne m'empêchait pas d'être posée. J'étais encore si jeune, si débordante d'énergie. Un sourire amusée passa sur mes babines, un léger air de défi sur mon visage. Lui léchant rapidement la joue, je tournais mon regard vers l'horizon, sans me dépatir de mon sourire. Les dominants Sakarites nous attendaient...

La vue du couple me fit perdre ce sourire pour redevenir sérieuse. Pourtant, une vilaine envie de sauter sur Reagan me donnait envie de mourir de rire. Non, non... Du calme, Sacramenter, du calme, tu es devant les dominants, donne une bonne impression de toi-même. Ces légères pensées me redonnèrent l'air calme, et j'avançai vers eux avec cette grâce génétique. Pour une fois, je m'en serais bien défaite, mais cela faisait partie de moi, de ma famille. Ma mère m'avait transmis sa grâce, mais aussi cette sorte de "cercle" qui continuellement m'entourait, je dégageai cette mauvaise impression de fourberie, d'agressivité et cela ne m'aidait pas. Et le pire était que je n'y pouvais rien. J'avais échappé à la folie, mais pas à ça. Etait-ce un si grand défault que d'inspirer haine ? Quand on se retrouvait à quelques mètres seulement d'un autre couple dominant, oui. Mais je comptais sur Reagan pour m'empêcher de gaffer, il devait savoir que j'étais souvent trop impulsive et que je vivais au rythme d'une course. M'arrêtant à environ un ou deux mètres de Celtiks, je saluai d'un heste du menton le couple et soutenais leur regard. Je m'efforçais, au bon Dieu, comme je m'obligeai à ne pas les défier du regard. J'étais jeune, beaucoup trop à mon goût, je me serais bien rajoutée quelques années et la sagesse qui va avec. L'envie de me gratter la gorge me prit, je fis encore mon possible pour ne pas le montrer. Tournant légèrement ma tête vers Reagan, seul lui pouvait lire sur mon visage, et celui-ci disait : merde.

**ADMIN** ✖ Don't pray your Gods...

- Et bien, nos Fantassins paraissent plus rapide qu'avant j'ai l'impression. Merci en tout cas d'avoir répondu a notre appel.

**ADMIN** ✖ Don't pray your Gods...

[Up, Celtiks c'est a toi !]

Invité

Desolee !

Le male observa les deux Devils venir a eux. Il les connaissait vaguement, l'un et l'autre, separement, mais ne les avait encore jamais vus ensemble. La premiere chose que le Sakarite se dit fut qu'ils devaient s'aimer, et qu'ils faisaient un couple a la fois harmonieux, attirant, et effrayant. Sacramenter... Une etrange aura l'entourait. Cette louve avait toujours un petit quelque chose de... derangeant ? Oui, c'etait cela, derangeant mais fascinant. Quand a Reagan, il degageait une aura de force terrible. Il n'etait pas le petit fils de Baphomet pour rien. Et de les voir s'avancer cote a cote, a pas feutres, en harmonie, c'etait a la fois angoissant et captivant. Comme des fauves qui se meuvent gracieusement vers leur proie.

Mais le grand loup secoua la tete. Rien dans leur attitude n'indiquait une quelconque malveillance. Il savait qu'il ne devait pas les juger sur cette atmosphere qui ne les lacherait sans doute jamais. Dans sa tete, le jeune loup se dit avec amusement que Mistral etait la seule louve blanche, au milieu de trois loups d'un noir profond. Pure, irreelle et pourtant si realiste, si fraiche. Elle etait comme un souffle d'air frais et doux, un vent de liberte.

Les Dominants se rencontrerent enfin, et stopperent leur marche. Ce fut Reagan qui, le premier, prit la parole. Naturellement, Celtiks inclina la tete pour les saluer et repondit avec sa chaleur habituelle.

- C'est tout naturel. Nous souhaitions egalement vous rencontrer. Je n'ai pas eu l'honneur de connaitre votre pere du temps de sa Dominance, je le regrette. -

Il avait entendu parler de la faiblesse de l'ancien Dominant des Devils, Dreamcatcher. Reagan semblait cependant pret a tenir le role. Mais Celtiks attendait de mieux connaitre les nouveaux Alphas de ses allies pour se faire une idee. Peut-etre l'heure etait-elle venue de rapprocher les deux meutes, de resserrer les liens ? S'il etait toujours reste mefiant envers les Devils, Celtiks pensait qu'il etait cependant preferable de s'assurer que les relations entre leurs deux meutes soient paisibles, ne serait-ce que pour la securite de sa meute. Dans l'immediat, c'etait ce qu'il y avait de plus interessant pour eux, et le loup esperait que les sakarites le comprenaient, meme s'ils n'aimaient pas, pour la plupart, voir des Devils sur Sarique.

Mistral regarda les deux figures avancer. Deux loups sombres, elle sentit un neu se former dans son estomac, mais le vent chaud qui passa sur son visage essuya un goutte de sueur sur son front et sa nervositee. Apres tout, pourquoi paniquer? Elle se forca a sourire, et il devint naturel, comme avec tous les loups quelle rencontrait. Pourquoi cette rencontre serait t'elle si differente? Bon, un peu formel, mais bon.. Finalement, elle opta pour la facon d'etre la plus simple, qui serait facile- elle meme. Elle eu un regard rapide vers Celtiks, mais il regardait les deux loups. Elle sourit un peu plus.. quand cette reunion se terminerait, ils irait a l'Oasis, a l'ombre, ensemble pour se rafraichir un peu.
Enfin les deux loups etaient la. Bien que Mistral n'aimait pas juger trop par les apparances, sans aucun mots d'echanges, mais elle remarqua quand meme quelques choses.. Comme, ce drole de sentiment qui acompagnait Sacramenter. Elle ne les conaissaient pas- meme pas de vu.. La louve semblait jeune- au moin un an de moins qu'elle, peut etre deux. Elle semblait pleine d'energie, bien plus forte qu'elle pourrait etre, mais un peu agite.. Non, agite? Elle n'aurait su dire. Il y avait quelque chose, elle ne savait pas si etre a l'aise. Reagan, lui, semblait imposant, froid. Il n'avait pas la chaleur de Celtiks, qui venaient a tout le monde, mais avait lui aussi la noblesse naturelle des Dominants nes. Elle se dit qu'il faudrait mieu voir plus tard ce qu'elle pensait d'eux, et ne pas se faire des idees maintenant. Elle les salua avec respect, d'un signe de tete, a tous les deux.
Elle n'etait pas bien sur de comment commencer..

" Bonjour a vous, nous sommes tres heureux de vous rencontrer. Il etait temps pour nos deux meutes que l'on se conaissent un peu mieu. "

Dit t'elle d'une voie pose et legere, plutot vive et "fraiche", comme Celtiks aimait bien dire.

Invité

Il y avait des choses plus difficiles que d'autre dans une vie, cette rencontre serait peut-être décisive pour nos deux meutes, pourtant j'avais l'impression qu'il n'y aurait jamais une parfaite entente entre les deux meutes. Je contemplai dans un silence profond les dominants Sakarites, me rendant compte que je les dévisageai littéralement. Détournant mon regard une demi-seconde, je posai mon regard sur les terres sableuses et jaunes, des brûlantes continuellement baignées d'une lueur éblouissante. Je laissais les dominants parler, ne faisant pas exactement attention à ce qu'ils disaient car mon regard fixait au loin l'astre solaire d'un rouge sanglant. Je sentis sa lueur me pénétrer, me prendre, me transporter. Me plonger dans une telle contemplation me rappela le regard de Reagan que j'aimais tant, mais aussi que je n'étais pas ici pour contempler un soleil. J'essayais de me concentrer sur cette rencontre, écoutant les dernières paroles de la louve blanche. Sa voix était douce, en constraste parfait avec ce qu'on pouvait attendre dans des terres aussi arides. Longuement je le contemplai, avec un mélange de respect et de surprise, je ne m'attendais pas à cela. Certes, des nous quatre elle était la plus surprenante par sa fourrure, mais c'était sa voix qui me laissait bouche bée pendant quelques secondes. Ne sachant que dire, je n'étais pas très douée pour ça. J'inclinais donc ma tête, comme pour acquiser ce que la dominante venait de dire. Me râclant légèrement la gorge, j'allais parler quand de nouveau, je regardais le soleil. Et, d'une voix murmurante, je parlais pour la première fois, d'une voix profonde et d'un calme qui me fit peur moi-même.

- Ravis de vous connaître. En effet, il est grand temps de connaître votre meute. Ce n'est pas parce qu'un ravin sépare nos terres respectives, qu'il faut que cela soit pareil pour nos relations avec les Sakarites. Sauf votre respect, dominants, vous avez des terres grandioses.

Je ne cherchais pas à les flatter, ni eux ni leur égaux, mais c'était vérité, et après tout, personne ne savait quoi dire, pourquoi pas ça ? Je leur souris doucement quand une odeur âcre me parvint aux narines. D'un geste rapide, je tournai mon regard de l'autre côté du ravin. Des loups s'y tenaient, je fus surprise de si bien les reconnaître : des Devils. Haussant discrètement les sourcils, je comprenais un peu ce que les dominants de Sarique pouvaient ressentir, les Devils pouvaient continuellement les épier. C'était rarement réciproque...

[A toi Baph' =)]

**ADMIN** ✖ Don't pray your Gods...

[Je me fais remonter le top pour que j'y réponde demain matin]

**ADMIN** ✖ Don't pray your Gods...

Me tenant toujours au coté de Sacramenter savoir sa présence me suffisait pour rester des plus calme. Oui effectivement il était temps pour nous tous que nous nous rencontrions. Cela ne servait a rien sinon d’avoir des allier si ce n’est pas pour s’entendre et se faire un festin de temps a autres. Autant tenir des relations amicales avec eux, surtout qu’ils n’ont pas l’air d’etre virulent comme Loup si je puis me permettre. Ma pensée m’arracha un bref sourire intérieur avant que je ne secoue la tête pour me remettre tout en place. Me raclant la gorge j’écouta a tour de rôle les Loups qui prenaient la parole et lâcha un bref soupire. Oups, c’était un geste impolie, mais malheureusement j’ai hérité de quelque gène impoli de ma famille. Et encore, je ne vous ai pas encore baillé à la tronche. Espérons simplement que la conversation ne soit pas ennuyante… Cependant je restais silencieux et acquiesça au dire de ma Louve, oui leur terre étaient splendide mais je ne pourrais surement pas y vivre constamment…

[Désolé c’est court]

Invité

Le mâle eut un nouveau sourire, content du compliment. Il aimait ces terres. Elles étaient une partie de lui, elles l'avaient porté depuis sa naissance, avaient porté ses parents avant lui. Il avait grandi en elles, apprenant à mieux les connaître, à comprendre le vent furieux et le désert impassible qui le laissait s'essouffler, qui laissait glisser ses grains de sable pour lui donner l'illusion satisfaisante d'avoir prise sur lui alors que, s'il laissait se modifier les apparences, son coeur était le même, inébranlé, hors d'accès du vent prétentieux. Celtiks avait toujours admiré la sagesse du désert. Il était son maître et, chaque jour que lui accordait la vie, le loup noir tentait d'apprendre de lui.

- Je suis heureux qu'elles vous plaisent. Toutefois, je doute que vous vous y sentiez à l'aise. Je vous propose donc de faire route jusqu'à une oasis que défend le désert, et où nous serons au frais, près de l'eau et sous le couvert des palmiers. Nous pourrons parler en chemin, et vous aurez ainsi l'occasion de découvrir le coeur de nos terres que vous trouvez si belles. -

D'une légère inclinaison de la tête, il invita les loups à le suivre et se mit en route, s'assurant toutefois de ne pas distancer ses invités afin de ne pas se montrer impoli. Il profita du mouvement pour couler, discrètement, un regard brillant d'amour à sa Louve.

Des terres grandioses? Elle savait que Celtiks portait ces terres dans son coeur, tout comme elle le portait lui. C'etait une histoire d'amour dans la quelle elle ne pourrai jamais entrer. La chaleure qui appartenant au loup noir, les grains de sables dont etaient fait son ame- elle ne l'aurait jamais, elle. Tout comme elle n'aimerait jamais le territoir de Sarique comme lui. Oui, en le voyant ainsi, ce desert etendu et vaste, de dunes et de sable, elle ne pouvait se lasser d'admirer une telle terre, celle ou ses parents s'etaient connus et s'etaient aimes. Mais elle n'etait pas faite de sable, elle, elle etait faite de vent et de feuilles vertes comme le printemps, d'une brise qui va sur la mere et apport l'ecume, du soufle du ciel avec le soleil et leurs nuages. Pas de cette chaleure et secheresse, la poussiere. Mais il est vrai que le Sud etait beau. Ou, epoustouflant.

" Oui, alons y... "

Elle se mise aux cotes Celtiks et lui sourit avec complicitee et amour, son regard brillant d'etoiles. Il etait toujours si sur de lui, si fier, on voyait bien qu'il etait plus habitue a toutes ces formalitees et reunions,...

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