x La Vallée de l'Aurore

Dans le creux de deux montagnes,
Au centre de l'attention,
Mais en dehors de l'horizon,
Une atmosphère de paix stagne.

Chacun ouvre ses volets,
Sur un nouveau matin,
Sur de nouveaux chemins,
Sous les rayons du soleil.

S'approche alors la lumière,
Celle que l'on appelle du jour,
Aussi imposante qu'une tour,
Et aussi tranchante qu'une rapière.

De sa beauté comparable a l'or,
Elle éblouit les plus sombres recoins,
Et reconquit l'amour d'un rien,
La voilà la Vallée de l'Aurore.

magnifique - le poeme et le texte, ils sont tout simplement super =D !
franchement, vraiment, j'adore- continue comme ca.
Tant que tu ecris avec de coeur et de l'imagination, en choisissant tes mots super bien et avec ton inspiration geniale- ca sera super ^^

C'est magnifique ma chérie ! Tu es une grande poète, tu écris super bien ! Je suis amoureuse de ton texte !
Le garçon devait être extraordinaire...
Je savais bien que tu es une personne unique, que j'adore plus que tout x3!

Bisoux

L'arc en ciel noir

Je n'ai pas peur d'affronter les chemins de la mort,
Simplement peur de voir les sentiers d'un nouvel avenir,
Où l'amour serais , qu'une idée, plus fort encore,
Où l'amitié deviendrait un véritable souvenir.

Mais cette terreur je n'aurais pas a l'affronter,
Puisque notre coeur est aussi friable que le sable,
Car nos paroles ne sont que des souhaits mensongés
Et que l'impossible nous semble innimaginable.

Et quand tous seras oublié malgré nos voeux,
Mon regard croiserais une silhouette le long d'un matin,
Elle signifierais tout l'or du monde a mes yeux,
Un mirage sans doute aussi douleureux que du venin.

Et au loin, dans le royaume de l'enfer,
Flamboyeras de sa lumière, a l'ombre d'un manoir,
Là ou demeure encore le diable lucifer,
La pénombre de nos doutes : l'arc en ciel noir...

En voila, un autre ^^ Sans titre x)

Quand je comtempletristement ce mur blanc
Aussi pâle et dépourvu que mon visage harassé
Je me rappelle d'une jeunesse pleines de chants
Où le désespoir semblait n'être qu'encore une idée.

Mais l'idée désormais une réalité fatal
Je n'ai plus le temps d'être un enfant.
Peut-être devrais-je me tirer une balle
Puisque la vie ma paraît aussi brève que le vent.

Chaques pas à travers mon avenir
Ma rapporche toujours un peu plus de la mort
Je n'ai plus la force de sourire
Sous le poid de mon coeur rongé de remords.

Ne serait-ce donc pas plus facile
De quitter ce monde de souffrances
D'ambitions destructrices et de vil,
D'y accomplir ma superflu vengeance ?

L'amertume est venue à bout de moi
De tout mon être jusqu'à mon âme,
Une trahison de plus me met en émoi,
Je n'ai plus pour pleurer assez de larmes.

Sur le seuil de la vie, a défaut de courage,
Je suis rester sans avancer, toujours là,
A quoi bon vouloir laisser éclater ma rage
Alors qu'il me suffit d'attendre mon trépas.

Et pourtant dans mon coeur demeure l'espoir,
d'un jour où se révèleront enfin les vraies couleurs
De ce monde qui me semblait auparavant si noir
Au final aussi unique et merveilleux que l'aurore.

Alors que je me laissais sombrer dans l'horreur,
S'offrait a moi maintes mains amicales
Que j'avais avec aisance déviée, prise de terreur
Mais qui désormais m'affranchisent du mal.

Car chaques instant vécu,
est messie d'une nouvelle rue,
Où l'avenir est un nouveau matin,
et la douleure un souvenir lointain.

Il nous suffit de croire des mensonges pour détruire notre vie, alors pourquoi ne pas accepter la vérité pour vivre en paix.

Souviens-toi de cette histoire,

Rien n’est mort, rien n’est vivant,

Rien n’est blanc, rien n’est noir,

Ainsi l’est et le sera pour longtemps.



La nuit n’est qu’un clair du jour,

La lune le reflet de la terre,

La mort qu’un nouveau séjour,

Après l’épuisante misère.



Rien ne subsiste à la fin,

Mais rien ne commence le début,

Nul ne peut connaître le destin,

Sans l’avoir déjà vécu.



La vie est comme le grain que l’on sème,

Jamais nous ne pensions le récolté,

Elle est aussi indépendante qu’un bohème,

Qui reprend nos limites a sa liberté.



Le sang est la preuve de souffrance,

Mais qu’est ce le pleur alors ?

Le rouge est significateur de violence,

Et les larmes la déplorent.



Les saisons vivent à leur rythme,

Sans se soucier de ceux qui les vivent,

Elles sont pour nous une énigme,

Un mystère a la réalité fictive.



Le soleil qui chaque matin se lève,

Annonce le dénouement du déclin du jour

La nuit qui se couche sur la grève,

Est l’épilogue de cette journée dont on a pu faire le tour.



Chaque pas que nous décalons vers la gauche,

Nous dévie du chemin qui nous promet de la paix la récompense,

Et chaque soir, à l’ombre des toits, au son de la cloche,

Je m’en vais vers ce chemin, celui de l’inatteignable délivrance.



Rien n’aboutit à cette fin promise,

Tout ce qui est matérielle semble futile,

Aucunes de nos envies sont acquises,

Nul objet de nature terrestre ne peut être utile.



Tout ce que nous vivons dans le doute,

Sa seule récompense n’est que la mort,

Ce que nous pensions être la bonne route,

Se révèle être un sentier dû a un mauvais sort.


Nous ne retenons que les évènements sombres de notre existence,

En oubliant de marquer dans notre calendrier les plus joyeux,

De nos malheurs, la malédiction de notre âme sera la sentence,

Du bonheur, nous découvrirons les océans qui mènent aux cieux.



Comme la flamme d’une bougie s’éteint dans un nuage de fumée,

Notre vie ne serait qu’un séjour éphémère dans la grande histoire,

Juste un passage dans la mémoire des personnes qui ne nous ont pas oubliés.

Un nom, peut-être moins, le simple souvenir d’un être empli d’espoir.



Chaque homme enferme en soi un secret qu’a nul il ne dévoile,

Un évènement, une pensée, un remord qu’il lui est impossible d’effacer,

Et dont il n’ose parler qu’aux silencieuses et célestes étoiles,

Les lumières qui dans l’obscurité de la nuit nous montre où marcher.



Ce secret, jusqu’à son trépas et son dernier souffle n’appartiendra qu’a lui,

Et jamais n’aura franchi la puissante barrière du doute de la fiabilité humaine,

Car notre confiance jamais nous ne la confions de peur qu’elle soit réduite,

A l’état d’une fable et qu’à la perte de notre amour propre cela nous mène.



Mais de ce poids qu’il aura du porter toute sa vie sur ses épaules,

Il en aura souffert, il lui aura pris une part de son âme qui corrompue le sera à jamais,

Et dans son cœur demeurait l’angoisse d’un jour défaillir vers le sol,

De se détourner de la lumière qui du cheminement de l’amour le guidait.


Il nous faut trouver la confiance en l’humain, même dans ses défauts,

Trouver cette personne à qui nous pouvons tout confier sans la peur,

Que de nos secrets soient dévoilés ou rendus une évidence fausse,

Que de nos souhaits devenus paroles soient devenus trompeurs.



Dire nos erreurs que nous regrettons et celles dont nous somme fière,

Est un soulagement de nos amertumes et est une preuve d’humilité noble,

Comme le roi qui devant tous ses sujets s’excusent de la perte de leurs terres,

Aussi admirable que, dans le ciel d’azur, l’aigle royal qui prends son envol.



De la réussite nous nous réjouissons et rions sans les moindres soucis,

Parfois même en oubliant celui qui se donne pour le mérite de son entourage,

Les talentueux sont toujours les mieux payés, ils ont tout réussis,

Mais les plus chétifs, qu’ils se débrouillent, seuls sans abris sous l’orage.



Mais au fond, à quoi consiste vraiment la vie a par toujours devoir se relever ?

Pourquoi devons nous continuer cette marche dans l’incertitude,

D’un jour être libérer de ces règles qui nous incitent à vivre sans nous laisser le temps de rêver,

Alors que l’avenir nous promet une destinée aussi brève qu’un prélude.



Mais n’oublie surtout pas et souviens-toi bien de cette histoire,

Rien n’est mort, rien n’est vivant,

Rien n’est blanc, rien n’est noir,

Et nul n’y pourra changer, pas même le plus grand des savants.