Une louve blanche se trenait au bord de la rivière.
Elle n'y était pas venue depuis un moment... Ce n'était pas étonnant : elle n'aimait pas cet endroit. Mais elle avait un rendez-vous.
Rejetant la tête en arrière, Yawë hurla pour appeler le jeune patrouilleur. Puis elle se pencha sur le liquide pourpre et, après un instant d'hésitation, elle se mit à laper le sang. Elle se passa la langue sur les babine avec dégoût.

Le jeune patrouilleur courait de toutes ses forces; pour rien au monde raterait il son rendez-vous!
Alors, enfin entendi t'il le sang couler, l'eau d'une riviere de haine coulante.
REgardant son amie laper, il eu un petit rire. Cela se voiller bien pourquoi elle n'etait pas Devil!
-Sa te plais pas? Desolee du retard! Je suis pres.-
Pres pour quoi? Une lesson de la langue ancienne, perdu mais garder encore par quelques especes.

Yawë le salua d'un geste de tête.
- Kveta, Doom-Finiarel. Non, en effet, je ne supporte pas ce liquide répugnant. Il est la preuve que cet endroit n'est qu'un ristvak-bean...
Elle jeta un dernier coup d'oeil à la rivière puis sourit au jeune patrouilleur.
- Tu as encore grandi, depuis la dernière fois, et tu as gagné en subtilité.
Elle se leva.
- La première phrase que je t'aie dite est une salutation. Plus précisément, "kveta" signifie "je te salue". Quand au "Finiarel" associé à ton nom...
Elle eut un sourire malicieux.
- ..C'est un titre honorifique accordé à un jeune garçon prometteur.

Le loup ecouta avec interet et eclata de rire a la derniere phrase.
Mais ensuite, une chose lui revin, une chose qui pesait lourd dans son ceur.
Il savait que Yawe le devinerer surement, que quelques chose n'allait pas.
Pourtant, il ne dit rien. Ses yeux gris redevinrent les yeux triste du louveteaux.
Son regard alla vers la riviere la ou le liquide coulait a flot.

Yaw', en effet, remarqua immédiatement le changement du loup. Elle se rapprocha de lui et lui murmura :
- Baen ? Serais-tu triste, Doom-vor...?
Elle lui donna une petite lèche sur la joue et attendit en silence sa réponse. Cela l'affectait beaucoup de le voir dans cet état, lui si joyeux et si attentif, d'habitude..

Doom repoussa une larme, mais elle coula malgres lui.

-Il faut que je te disse...-

Ou comencer? Il ne savait pas, plus, il ne savait plus rien.

-J'etait un petit louveteau au yeux glaciale, qui n'avait comme amies que le froid et le vent. Je me moquer de l'amour ou de la famille, en fait, je ne savait pas se que cela voulait dire. Un jour, mes soucis, ou un petit bous son parti. J'ai rencontrer un loup qui ma adopter et qui ma presenter ma nouvelle famille. Mais ce n'est pas sa que je veut te dire. C'est que, deriere mes yeux gris, je ne sais pas qui je suis ou d'ou je vien.-

Les yeux ferme et la tete basse il chercha, mais ne trouva que la glace des terres nordiques.
Il ne savait qui il etait. Ses parents...

[/center]La louve baissa les yeux.

- Je ne peux pas t'éclairer... -

Elle posa sa tête sur son dos.

- Mais comprends que le monde t'a accordé ce que tu avais perdu pour que tu tire un trait sur le passé, et que... -

Elle ferma les yeux.

- ..je serai toujours là. Wiol ono. Pour toi.. -

Il ne le savait pas mais, bien des fois, elle l'avait croisé depuis leur rencontre.
Alors elle était restée cachée et avait eillé sur lui.[/center]

Il sourit malgres sa tristesse. Yawe etait bien un moment de repos et de boneur.
Car dans sa vie, rien ne sembler tres faciles c'est jours ci!
-Oui, je sais. Merci.-
Sa voi etait presque un murmur perdu et emporter par le vent, mais c'etait sincere.
Doom savait que personne pouvait l'aider a trouver son passe, mais juste pour arreter d'y penser.
Les yeux gris restenrent ouvert, mais sa tete etait perdu dans le blanc desert de Sibeska.

Doom posa alors son regard sur Yawe, encore un peu brillant des quelques larmes qui y avait roulaient.
Il se mit plus pres de la louve blanche, pour se reconforter.
Se moment de silence, comme quand il etait louveteaux, il savoura.
La silence, le vent... Et Yawe, devenait ses seul compagnions.
Soupirant, il se coucha sur le sol, tete sur les pattes.
-Yawe, parles moi!-

Doom lui sourit, et se laissa murmurait quelques mots, glissant entres ses levres.

-Je t'aime...-

La nuit avait prit place, laissant entres eux, rien apard les etoiles dans le ciel.
Les milliers de flames suspenduent dans l'air glaciale ou encore, les trous du dras couvrant le paradis, si haut mais si proche.
Le temps sembler s'arreter peut etre que quelques secondes, mais asser pour faire paraitre de cette nuit, une nuit magique.
Meme les mots ne pouvait decrire ce moment d'amour.

[ FIN ? ]

OUI! Fin...

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